‎GREGORI Giuseppe‎
‎L'UNIVERSELLE‎

‎G. FLAXLAND. XIXème. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 5 pages. Gravure noire et blanche de Barbizet en couverture. Quelques bouts de papier adhésif.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions‎

Reference : RO50007387


‎A.R. 676. Partitions pour piano. Classification Dewey : 780.26-Partitions‎

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‎CLOOTS Jean-Baptiste de dit Anacharsis‎

Reference : 81438

(1792)

‎La République universelle ou adresse aux tyrannicides ‎

‎Chez Les Marchands de nouveautés, Paris An IV de la rédemption (1792), in-8 (12,5x20,5cm), (2 p.) 196 pp., relié.‎


‎| L'encre versée par l'Orateur du genre Humain | Très rare édition originale. Reliure en demi-veau fauve, dos lisse orné de fleurons et de doubles filets dorés, quelques frottements sur les mors, plats de cartonnage moutarde, gardes et contreplats de papier à la cuve, tranches mouchetées. Coiffe de tête absente (comme il se doit), mors frottés et quelques épidermures. Annotation manuscrite à la plume d'un ancien propriétaire en regard de la page de faux-titre concernant l'auteur : condamné à mort le 24 mars 1794. » Rarissime envoi autographe d'Anacharsis Cloots au révolutionnaire Nicolas Joseph Pâris : « Pour NJ Pâris de la part de l'auteur ». Cet ami de Danton et de Cloots, greffier du Tribunal révolutionnaire de Paris, fut plus connu sous son pseudonyme de Fabricius qu'il emprunta, comme son ami Cloots, à l'histoire des Républiques antiques. L'édition originale de cet ouvrage essentiel d'Anacharsis Cloots, dont les « divers autres écrits ne sont que des parties détachées » (Léonard Gallois, Histoire des Journaux et des journalistes de la Révolution française, 1846) est d'une grande rareté, et nous n'avons pu trouver aucun autre exemplaire enrichi d'un envoi autographe. Notre exemplaire est adressé à un autre révolutionnaire témoin des grands procès de la Terreur qui se rendit célèbre en prévenant Danton du complot de Robespierre et Marat, comme le racontera Victor Hugo dans Quatre-vingt-treize : « C'était le temps où l'expéditionnaire Fabricius Pâris regardait par le trou de la serrure ce que faisait le Comité de salut public. Ce qui, soit dit en passant, ne fut pas inutile, car ce fut Pâris qui avertit Danton la nuit du 30 au 31 mars 1794. » ALLONS ENFANTS DE TOUTES LES PATRIES Penseur révolutionnaire, Cloots est avant tout un penseur de la Révolution. Ce baron allemand dont la condition politique, sociale et économique ne le portait pas naturellement à prendre le parti d'une révolution populaire et bourgeoise, fut pourtant le plus ardent défenseur de l'universalisme porté par la Déclaration des Droits de l'Homme. « Nul, [parmi les Allemands exilés] ne s'est plus senti investi d'une mission philanthropique universelle que Johann Baptist Cloots qui rêvait d'une Internationale républicaine, ouvrant en cela la voie aux grands théoriciens socialistes de la génération suivante, le tailleur Wilhelm Weitling, l'instituteur Friedrich Mäurer, et bien évidemment Karl Marx qui eux aussi connurent l'exil à Paris. » (Thierry Feral, Plaidoyer pour une rénovation du discours historique sur l'Allemagne). Pourtant, comme le note Albert Soboul, « le grand visionnaire que fut ce banquier cosmopolite demeure un incompris de l'histoire. Seul Jaurès, porté par sa chaleur humaine et sa large vision de l'évolution historique, a compris, dans son Histoire socialiste de la Révolution française, ce que les anticipations d'Anacharsis Cloots pouvaient avoir de réaliste : ce grand visionnaire n'était pas un rêveur. » (Soboul Albert. Anacharsis Cloots, l'Orateur du genre humain. In Annales historiques de la Révolution française, n°239, 1980. pp. 29-58.) L'ÉTRANGER DE LA FAMILLE En réalité, la progressive suppression de Cloots de l'histoire de la Révolution est assez tardive. En 1792, l'aristocrate prussien prenant fait et cause pour la France des Sans-culottes est une des grandes célébrités de son époque: « Les boutiques de tous les libraires de Paris sont tapissées de ce que les uns appellent les lubies d'Anacharsis, et ce que beaucoup d'autres admirent comme les prophéties d'un sage, d'un véritable ami de l'humanité. » Les journaux s'arrachent ses articles : « C'était même une bonne fortune qu'une lettre ou un discours de Cloots, presque tous remarquables par l'originalité des idées qu'ils renfermaient, par le style, et surtout par sa constance à poursuivre l'objet de tous ses vux, qui était la République Universelle. » (Gallois, ibid). Dans son célèbre Précis historique de la Révolution françoise suivi des Réflexions politiques sur les circonstances, publié en 1792, Rabaut- Saint-Étienne dresse un portrait de Cloots qui nous éclaire sur l'aura de cet homme unique : « Il a paru en France un de ces hommes qui savent s'élancer du présent dans l'avenir : il a annoncé que le temps viendrait où tous les peuples n'en feraient qu'un, et où les haines nationales finiraient ; il a prédit la République des hommes et la nation unique ; il s'est fièrement appelé l'Orateur du genre humain, et a dit que tous les peuples de la terre étaient ses commettants ; il a prévu que la Déclaration des droits, passée d'Amérique en France, serait un jour la théologie sociale des hommes et la morale des familles humaines, vulgairement appelées nations. Il était Prussien et noble, et il s'est fait homme. Quelques-uns lui ont dit qu'il était un visionnaire, et il a répondu par ces paroles d'un écrivain philosophe (Soméri) : « On ferait un volume des fausses maximes accréditées dans le monde ; on y vit sur un petit fonds de principes dont fort peu de gens se sont avisés de reculer les bornes. Quelqu'un ose-t-il prendre l'essor et voir au-delà, il effraye ; c'est un esprit dangereux, c 'en est tout au moins un bizarre. [citation placée en exergue de la République universelle] » Cloots, français d'âme depuis longtemps, voulait dès 1786, rattacher la rive gauche du Rhin à la France (Vux d'un gallophile, 1786). Il fut d'ailleurs fait citoyen d'honneur de la France le 26 juin 1792, avec George Washington, Jeremy Bentham, James Madison, Joseph Priestley, William Wilberforce, James Macintosh, Alexander Hamilton et Thomas Paine (seul autre étranger, avec Cloots à avoir été élu représentant du peuple à la Convention). L'ORATEUR DU GENRE HUMAIN Mais c'est paradoxalement en tant qu'étranger qu'il contribuera à transformer une Révolution nationale en principe universel. Si l'instauration de la République en France, pourtant précédée par le Commonwealth anglais et la Constitution américaine, prit immédiatement une valeur internationale et reste aujourd'hui encore le modèle de toutes les révolutions démocratiques à travers le monde, c'est grâce à cette universalité que lui ont reconnu des penseurs tels que Cloots, comme le relèvera Jules Michelet : « Cette révolution nécessaire du dix-huitième siècle donne en métaphysique Kant et la Raison pure ; en pratique, la tentative religieuse de [Gilbert] Romme et d'Anacharsis Clootz, le culte de la Raison. » (Michelet, Histoire de la Révolution française, 1847) Dans La République universelle, celui qui se clame « Orateur du genre humain », opère comme Brissot et sa lutte contre la traite des Noirs, ou Olympe de Gouges et sa défense des droits de la femme, une véritable rationalisation du mouvement révolutionnaire pour en extraire l'essence universaliste, dans la lignée de la pensée des Lumières. C'est dans cette optique que lui vient l'idée de l'Ambassade du 19 juin 1790 : il se présente à la barrière de l'Assemblée comme le porte-parole d'un Comité d'étrangers représentatifs de tous les peuples de l'univers souffrant de l'arbitraire, et sollicite pour eux l'autorisation de participer comme tels à la Fête de la Fédération le 14 juillet suivant. La délégation ne manqua pas de surprendre et d'enthousiasmer la majorité des députés par sa composition et son pittoresque : on y reconnaissait des exilés politiques et certains des participants avaient revêtu leurs tenues nationales, parfois exotiques. Mais c'est bien sûr la harangue de Jean Baptiste Clootz qui porta l'émotion à son comble, nous explique le moniteur. En effet, dans son discours, le Clèvois de naissance et cosmopolite parisien qu'il est, demande que la Fête de la Fédération soit aussi celle du genre humain car « La trompette qui sonne la résurrection d'un grand peuple, clame-t-il, a retenti aux quatre coins du monde. Et les chants d'allégresse d'un cur de vingt-cinq millions d'hommes libres ont réveillé les peuples ensevelis dans un long esclavage. » À cette fin, il réclame pour son comité le droit de paraître officiellement le 14 juillet : « Jamais Ambassade ne fut plus sacrée ; nos lettres de créance ne sont pas tracées sur le parchemin, mais notre mission est gravée en chiffres ineffaçable dans le cur de tous les hommes. » Et surtout, justification suprême : « Quelles leçons pour les despotes ! Quelle consolation pour les peuples infortunés... » Le président de l'Assemblée De Menou donna son accord à l'« Orateur ». Au comble de l'émotion, le député Fermont proposa qu'on acclame la députation et Pétion exigea qu'on fasse imprimer et distribuer la harangue et la réponse du président, proposition qui fut acceptée à l'unanimité. Si les conservateurs tentèrent de la ruiner par le ridicule, il n'en resta pas moins que l'opération permit de faire de la Fête de la Fédération une fête des Droits universels de l'homme ! » (François Labbé, Anacharsis Cloots le Prussien francophile. Un philosophe au service de la Révolution française et universelle, 2000) La République universelle pose les fondements philosophiques de cette utopie internationaliste et nourrira la réflexion des grands penseurs tels que Jean Jaurès, Karl Marx, Engels et d'artistes et d'écrivains de toutes nations dont Joseph Beuys (pour qui Anacharsis est « un autre lui-même qui l'a précédé dans sa révolte, sa quête et son anticonformisme »), Italo Calvino (Le Baron perché étant une allégorie du philosophe) et surtout Herman Melville. C'est dans Moby Dick que l'on découvre la première occurrence de Cloots sous la plume de l'auteur américain pour décrire la composition de l'équipage du fameux baleinier, qualifié de « délégation d'Anacharsis Cloots de toutes les îles de la mer et des quatre coins du monde, accompagnant le vieil Achab sur le Péquod pour aller témoigner des torts du monde devant cette barre d'où peu d'entre eux sont revenus ». « An Anacharsis Clootz deputation from all the isles of the sea, and all the ends of the earth, accompanying Old Ahab in the Pequod to lay the world's grievances before that bar from which not very many of them ever come back. » (Herman Melville, Moby Dick) La référence n'est pas anodine comme le montrera le philosophe Cyril Lionel Robert James : « Ses candidats à la République universelle sont liés par le fait qu'ils travaillent ensemble sur le même baleinier. Ils forment une fédération mondiale d'ouvriers industriels modernes ». François Labbé considère même cette référence comme « une clé de la métaphore « mobydickienne » ; la quête d'Achab et l'action d'Anacharsis magnifiées l'une par l'autre. » Auteur d'une des plus belles utopies humanistes, Anacharsis « engage sa plume et sa vie dans les luttes d'idées du dernier quart du siècle [et] illustre le passage de la pensée des Lumières à l'activisme révolutionnaire [...].Sa ligne politique est claire : parvenir à la République universelle, seul cadre possible de son ambition philosophique, et indiquer à l'homme les voies de sa liberté. » Cette unique dédicace d'Anacharsis sur son uvre capitale à Fabricius Pâris, futur greffier du procès de Marie-Antoinette, constitue un inestimable témoignage de la courte vie de cet humaniste révolutionnaire, guillotiné à 34 ans, et de l'émergence d'une pensée mondialiste : « Insistons éternellement sur la fusion parfaite, sur la confédération des individus, sans quoi les corps reparaîtront avec l'esprit de corps. Et pourquoi les corporations sont-elles dangereuses ? C'est parce qu'il est plus difficile de les contenir sous la puissance légale, que les simples individus. L'ambition individuelle est aussi ardente que l'ambition collective ; mais la faiblesse de l'une change les disputes particulières en simples procès, pendant que la force de l'autre lui permet d'entreprendre des guerres sanglantes et rarement interrompues. Les corps provinciaux et les corps nationaux sont les plus grands fléaux du genre humain. Quelle ignorance, quelle barbarie de nous parquer en différentes corporations rivales, pendant que nous avons l'avantage d'habiter une des moindres planètes de la sphère céleste ! Nous multiplions nos jalousies, nos querelles, en divisant l'intérêt commun, la force commune. Un corps ne se fait pas la guerre à lui-même, et le genre humain vivra en paix, lorsqu'il ne formera qu'un seul corps, la Nation Unique » Provenance : Nicolas-Joseph Pâris, dit Fabricius (commissaire national à Lille et greffier du Tribunal révolutionnaire à Paris), puis bibliothèque Henri Joliet avec son ex-libris à la devise « Plus penser que dire » encollé sur la première garde. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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‎L'EXPOSITION UNIVERSELLE DE PARIS 1889. inauguration de la Tour Eiffel ‎

‎publiée avec la collaboration d'écrivains spéciaux Complet des quatre tomes en 2 volumes in-folio.300x210, reliés demi cuir, accrocs et frottements, parfait état intérieur. 323 et 324 pages, imprimées sur 3 colonnes. 80 livraisons. Édition enrichie de vues, de scènes, de reproductions d'objet d'art, de machines, de dessins et gravures par les meilleurs artistes. Richement illustré de photos, reproductions, cartes et plans, dans, hors-texte, et souvent pleine page, ainsi que de grandes planches dépliantes rehaussées et signées. Paris, à la Librairie Illustrée, 1889. L'Exposition universelle de Paris de 1889, également connue sous le nom d'Exposition universelle de Paris ou encore d'Exposition universelle de 1889, était une exposition internationale qui s'est tenue à Paris, en France, pour célébrer le centenaire de la Révolution française. L'exposition s'est déroulée du 6 mai au 31 octobre 1889 et a attiré des millions de visiteurs du monde entier. Elle a été organisée sur le site du Champ de Mars, où se trouve aujourd'hui la Tour Eiffel, qui a été construite spécialement pour l'occasion et est devenue l'un des symboles les plus emblématiques de Paris. L'Exposition universelle de 1889 présentait des pavillons de nombreux pays participants, qui exposaient leurs réalisations technologiques, industrielles et artistiques. Les visiteurs pouvaient découvrir des inventions telles que le téléphone, la phonographie, la machine à écrire et le cinématographe, qui était l'un des premiers appareils permettant de projeter des films. L'un des temps forts de l'exposition a été l'inauguration de la Tour Eiffel, conçue par l'ingénieur Gustave Eiffel. À l'époque, la tour était la structure la plus haute du monde et a suscité à la fois l'admiration et la controverse. Elle est rapidement devenue un symbole emblématique de la ville de Paris. L'Exposition universelle de Paris de 1889 a marqué une étape importante dans le développement de l'architecture, de la technologie et de la culture au XIXe siècle. Elle a laissé un héritage durable avec la Tour Eiffel qui est aujourd'hui l'une des attractions touristiques les plus populaires au monde.‎


Livres & Autographes - La Madeleine

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‎Collectif,Vigreux Ch. Fils‎

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(1893)

‎Revue technique de l'exposition universelle de 1889, par un comité d'ingénieurs, de professeurs, d'architectes et de constructeurs. Organe officiel du congrès international de mécanique appliquée, tenu à Paris du 16 au 21 septembre 1889. 11e partie tome deux : industries chimiques‎

‎Paris, E. Bernard et compagnie, imprimeurs – éditeurs, 1893, 11e partie, tome deux : industries chimiques. Demi-reliure à coins in-4, 434 pages, dos à nerfs,titre et auteur au dos en caractères dorés. Éraflures, manques de cuir, tâche sur tranche. Intérieur en bon état. D 07.‎


‎L'industrie du pétrole à l'Exposition Universelle, pas. CH. Bardy. La distillation à l'Exposition Universelle de 1889. La tannerie à l'Exposition Universelle de 1889 par M. CH. Bardy. La brasserie et la vinaigrerie de l'Exposition Universelle de 1889, par M. CH. Bardy.La Stéanerie et l'industrie des corps gras à l'Exposition Universelle de 1889. Le matériel de la pharmacie et l'exposition universelle de 1889, par M. CH. Bardy.‎

Phone number : 0695797810

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‎Collectif - COMTE (Jules)‎

Reference : 48968

(1900)

‎L'Art à l’Exposition universelle de 1900.. Texte de MM. Ernest Babelon - Léonce Bénédite - Henri Béraldi - Fernand Camettes - Maurice Demaison - Louis de Fourcaud - édouard Garnier - J. Guadet - André Hallays - Henry Havard - Georges Lafenestre - Gaston Migeon. Gravures‎

‎Librairie de l’Art Ancien et Moderne, Ancienne maison J. Rouam et Cie 1900 In-4 31 x 25,5 cm, reliure demi-percaline brune, plats granités verts, tête dorée,101 illustrations hors-texte et pleine page, nombreuses illustrations dans le texte, 513 pp. Couverture fatiguée, mors fragilisés, intérieur frais. En l’état.‎


‎L'Exposition Universelle de 1900 inaugurée par le président de la République Emile Loubet a été organisée entre l'esplanade des Invalides et le Champs de Mars.L'Art Nouveau y est à l'honneur, les Petit Palais etle Grand Palais , de même que les entrées du Métropolitain entrées du Métropolitain de d'Hector Guimard sont des exemples représentatifs de ce courant. Apparu au début des années 1890, l’Art nouveau s’est diffusé dans toute l’Europe, renouvelant les arts décoratifs et l’architecture. Avant 1900, des expositions importantes ont déjà eu lieu dans différents pays. Mais jamais encore l’Art nouveau n’a connu une manifestation d’une telle ampleur qu’à l’Exposition universelle de 1900 à Paris. En effet, c’est la première fois qu’une exposition universelle réunit un tel nombre de pays, d’exposants et de visiteurs : du 14 avril au 12 novembre 1900, plus de cinquante millions de visiteurs s’y rendent pour contempler les efforts de quarante et un pays participants. Ces revues, principalement Art et décoration , L’Art décoratif et la Revue des arts décoratifs , ont consacré tous leurs numéros entre mai et décembre 1900 à l’Exposition universelle, et constituent une mine d’informations pour la connaissance de l’Art nouveau. Divers essais sont également intéressants, comme ceux de Jean Lahor, Roger Marx ou Robert de la Sizeranne, parmi d’autres : ils livrent une réflexion sur l’Art nouveau tout en permettant de connaître les œuvres présentes à l’Exposition universelle. Bon état d’occasion ‎

Librairie de l'Avenue - Saint-Ouen

Phone number : 01 40 11 95 85

EUR147.00 (€147.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO10079261

(1867)

‎L'ILLUSTRATION JOURNAL UNIVERSEL N° 1261-Texte : Revue politique de la semaine. — Courrier de Paris. — Salon de 1867. — Exposition universelle de 1867 : la Manufacture impériale de Sèvres. — Un Duo, nouvelle (lin).—Fantaisie sur l’Exposition universelle,‎

‎Au bureau du journal. 27 avril 1867. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages environ illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc - Paginées de 258 à 272. . . . Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon‎


‎SOMMAIRE : Texte : Revue politique de la semaine. — Courrier de Paris. — Salon de 1867. — Exposition universelle de 1867 : la Manufacture impériale de Sèvres. — Un Duo, nouvelle (lin).—Fantaisie sur l’Exposition universelle, par Bertall. — La dame qu’on ne tou-• che pas, nouvelle. — L’aviso à vapeur « le Renard. » — État actuel de Sébastopoi.— Le Calendrier des livres (suite etfin). — Les machines à l’Exposition universelle (suite). — Goya, par M. Ch. Yriarte.Gravures : Mim-Bou-Tayou et les principaux personnages de sa suite. — Exposition universelle de 1867 : l’orchestre du café tunisien; costumes suédois et norvégiens; — Salon de l’exposition des Manufactures impériales. — Fantaisie sur l’Exposition universelle, par Bertall (20 gravures). — Les événements d’Irlande : le procès des fenians. — L’aviso à vapeur le Renard. — Les ruines de Sébastopoi (3 grav.). — Goya, par M. Ch. Yriarte. — Rébus. Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon‎

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