‎CURTI Guido / TELLIAC N.‎
‎NE VIENS PAS‎

‎Colisée. XXème. In-12. En feuillets. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 3 pages. Gravure couleur de Piro en couverture représentant Miss Bartira.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions‎

Reference : RO50002371


‎Partitions pour chant. Classification Dewey : 780.26-Partitions‎

€29.80 (€29.80 )
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5 book(s) with the same title

‎DANIEL GUICHARD‎

Reference : R130010253

‎DISQUE VINYLE 33T L'ENFER, MA MOME, JE VIENS PAS TE PARLER D'AMOUR, JE NE FAIS RIEN, JE N'AI PAS LE COEUR A SOURIRE, MESDAMES, ELLE ME DISAIT, LE BONHEUR DE VIVRE EN COMMUN, CHANSON POUR ANNA, PLUS BLEU QUE LE BLEU DE TES YEUX, LA TENDRESSE, MON VIEUX....‎

‎STEREO. non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette en couleurs, enregistrement: THEATRE D'ASNIERES. Réalisation et arrangements musicaux: DANIEL GUICHARD. Enregistrement public.. . . . Classification : 410-33 Tours‎


‎Disque n° KS 30.09 DG 452 Classification : 410-33 Tours‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR14.90 (€14.90 )

‎Nobel dit Pierrot Rouge - Krier Georges - Nobel‎

Reference : 101254

(1922)

‎Partition de la chanson : Ne viens pas à Paris ! Monologue ‎

‎ Krier Georges 1922 approx.‎


‎ Très bon état Petit format ‎

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR12.00 (€12.00 )

‎Lincourt Marie‎

Reference : AFH50RT

ISBN : 9782754713054

‎Surtout ne viens pas !‎


‎du Panthéon Broché D'occasion bon état 02/12/2016 224 pages ‎

Phone number : 01 43 29 11 00

EUR10.00 (€10.00 )

‎BERNE-BELLECOUR, Etienne‎

Reference : 56073

(1883)

‎[ Lot de 9 lettres autographes signée ] 1 LAS datée de Cannes le 31 Janvier 1883 : "Tu serais bien gentil de demander pour moi, au fils de l'Amiral Garnand, l'autorisation qu'il m'a si gracieusement offerte, alors qu'il est venu me voir : la permission de visiter 'escadre du Golfe Juan, pour moi et quelques membres de ma famille. Si cela offrait quelques difficultés, dis-le moi franchement, ceci entre nous - et je m'adresserais à mon ami Miot [ ... ] ; 1 LAS datée de Cannes le 21 avril 1883 : [ ... ] "Je t'adresse un mot pour Garnand en te priant de le lui faire parvenir. Je voudrais aussi envoyer ma carte à la personne qui m'a présenté au Capitaine Michel [ ... ] ; 1 LAS datée de Paris le 25 Février 1885 : [ ... ] Il y a environ dix-huit mois que je suis allé, avec mon ami Miot, à ton ministère où je t'ai vu pour savoir s'il y avait des petits canons de marine. Tu dois te souvenir de cela ? Il n'y en avait point. Aujourd'hui on m'affirme qu'il y en a. Je viens te demander le service de vérifier le fait et de m'en écrire un mot le plus tôt possible, car je suis bien pressé par mon tableau du salon prochain, qui tu le sais représente un débarquement. [... ] J'irai dîner demain au Cercle de la Presse. Tâche d'y venir tu verras Arban, Lami et d'autres ex-copains des malheureux anti-libéraux !!..." ; 1 LAS datée de Paris le 4 mars 1885 [ Il invite son correspondant à Sevran pour venir voir son tableau ] ; 1 LAS datée de Paris le 29 mars 1888 [ Il expose une sollicitation pour un jeune homme dont les parents sont d'Egreville en Seine-et-Marne ] "Nous travaillons ferme à une entreprise qui, si elle réussit, réunira à nouveau tous mes anciens camarades..." [... ] ; 1 LAS datée d'Egreville (Seine-et-Marne) le 27 juin 1888 : [ Il demande pour une famille d'un marin décédé sa montre, et sollicite pour un autre moisson un congé d'un mois "au moment des moissons, c'est-à-dire vers la fin de Juillet. Je sais que cela s'accorde car je viens de l'obtenir pour un soldat du 76e de ligne". Il invite son correspondant Gustave Lévy à Egreville où il pourra dormir "dans la chambre du Commandeur (Nicham !) qu'on te réservera" ] ; 1 LAS datée du Château d'Egreville le 16 septembre 1888 : [ Il le sollicite encore pour son soldat et continue : ] "Quand donc t'aboucheras-tu avec Edouard Philippe - dont j'ai à faire un petit portrait - pour venir me voir à Egreville" [ ... ] ; 1 LAS datée de Paris, le 4 décembre 1888 : "Mon Cher Vieux, Comment je ne t'aurai pas répondu pour te remercier du dernier service, que je t'avais demandé et que tu m'avais fait obtenir ? Comment ? Eh ! bien je t'avoue franchement que je suis un cochon. Toutefois, il faut avoir un peu d'indulgence, et me pardonner : je t'ai tellement écrit pour te réclamer quelque chose que, ma foi, j'ai cru sincèrement t'avoir écrit pour te remercier. Puis mon intention très-ferme était d'aller te serrer la main aussitôt mon retour à Paris, mais Patatra ! Voilà environ trois semaines que je suis arrivé et je n'ai pas eu une heure à moi. Je suis rentré dans la fournaise, et j'ai repris ma sale existence vertigineuse de la Capitale. [ Il l'invite à dîner au Cercle de la Presse pour rencontrer ses vieux copains Philippe, Lami, Arban, etc... ] ; 1 LAS du 13 décembre 1888 : "Mon Cher Vieux, c'est encore moi. Tu sais mon protégé le soldat-marsouin Chevrillon, celui pour lequel je t'ai si bien remercié... Eh bien ce pauvre diable qui vient d'avoir la fièvre typhoïde ainsi qu'on t'en avait informé n'est pas encore bien chic [ Il sollicite pour un lui un renouvellement de congé. Il a regretté de ne pas le voir au Cercle de la Presse avec Arban, Lami et Crémieux. ] "Nous avons énormement causé de toi avec de Marçai, chez Bloch" [ il évoque l'Amiral Besnard "lequele entre parenthèses ne m'a pas l'air d'être fort commode" qu'il a également sollicité indirectement en vain... ]‎

‎9 lettres autographes signées rédigées de 1883 à 1888, adressées à son ami Gustave Lévy. Les lettres avaient été montées sur onglet, et deux lettres sont restées contrecollées, sans respect de l'ordre chronologique : [ Lot de 9 lettres autographes signée ] 1 LAS datée de Cannes le 31 Janvier 1883 : "Tu serais bien gentil de demander pour moi, au fils de l'Amiral Garnand, l'autorisation qu'il m'a si gracieusement offerte, alors qu'il est venu me voir : la permission de visiter 'escadre du Golfe Juan, pour moi et quelques membres de ma famille. Si cela offrait quelques difficultés, dis-le moi franchement, ceci entre nous - et je m'adresserais à mon ami Miot [ ... ] ; 1 LAS datée de Cannes le 21 avril 1883 : [ ... ] "Je t'adresse un mot pour Garnand en te priant de le lui faire parvenir. Je voudrais aussi envoyer ma carte à la personne qui m'a présenté au Capitaine Michel [ ... ] ; 1 LAS datée de Paris le 25 Février 1885 : [ ... ] Il y a environ dix-huit mois que je suis allé, avec mon ami Miot, à ton ministère où je t'ai vu pour savoir s'il y avait des petits canons de marine. Tu dois te souvenir de cela ? Il n'y en avait point. Aujourd'hui on m'affirme qu'il y en a. Je viens te demander le service de vérifier le fait et de m'en écrire un mot le plus tôt possible, car je suis bien pressé par mon tableau du salon prochain, qui tu le sais représente un débarquement. [... ] J'irai dîner demain au Cercle de la Presse. Tâche d'y venir tu verras Arban, Lami et d'autres ex-copains des malheureux anti-libéraux !!..." ; 1 LAS datée de Paris le 4 mars 1885 [ Il invite son correspondant à Sevran pour venir voir son tableau ] ; 1 LAS datée de Paris le 29 mars 1888 [ Il expose une sollicitation pour un jeune homme dont les parents sont d'Egreville en Seine-et-Marne ] "Nous travaillons ferme à une entreprise qui, si elle réussit, réunira à nouveau tous mes anciens camarades..." [... ] ; 1 LAS datée d'Egreville (Seine-et-Marne) le 27 juin 1888 : [ Il demande pour une famille d'un marin décédé sa montre, et sollicite pour un autre moisson un congé d'un mois "au moment des moissons, c'est-à-dire vers la fin de Juillet. Je sais que cela s'accorde car je viens de l'obtenir pour un soldat du 76e de ligne". Il invite son correspondant Gustave Lévy à Egreville où il pourra dormir "dans la chambre du Commandeur (Nicham !) qu'on te réservera" ] ; 1 LAS datée du Château d'Egreville le 16 septembre 1888 : [ Il le sollicite encore pour son soldat et continue : ] "Quand donc t'aboucheras-tu avec Edouard Philippe - dont j'ai à faire un petit portrait - pour venir me voir à Egreville" [ ... ] ; 1 LAS datée de Paris, le 4 décembre 1888 : "Mon Cher Vieux, Comment je ne t'aurai pas répondu pour te remercier du dernier service, que je t'avais demandé et que tu m'avais fait obtenir ? Comment ? Eh ! bien je t'avoue franchement que je suis un cochon. Toutefois, il faut avoir un peu d'indulgence, et me pardonner : je t'ai tellement écrit pour te réclamer quelque chose que, ma foi, j'ai cru sincèrement t'avoir écrit pour te remercier. Puis mon intention très-ferme était d'aller te serrer la main aussitôt mon retour à Paris, mais Patatra ! Voilà environ trois semaines que je suis arrivé et je n'ai pas eu une heure à moi. Je suis rentré dans la fournaise, et j'ai repris ma sale existence vertigineuse de la Capitale. [ Il l'invite à dîner au Cercle de la Presse pour rencontrer ses vieux copains Philippe, Lami, Arban, etc... ] ; 1 LAS du 13 décembre 1888 : "Mon Cher Vieux, c'est encore moi. Tu sais mon protégé le soldat-marsouin Chevrillon, celui pour lequel je t'ai si bien remercié... Eh bien ce pauvre diable qui vient d'avoir la fièvre typhoïde ainsi qu'on t'en avait informé n'est pas encore bien chic [ Il sollicite pour un lui un renouvellement de congé. Il a regretté de ne pas le voir au Cercle de la Presse avec Arban, Lami et Crémieux. ] "Nous avons énormement causé de toi avec de Marçai, chez Bloch" [ il évoque l'Amiral Besnard "lequele entre parenthèses ne m'a pas l'air d'être fort commode" qu'il a également sollicité indirectement en vain... ]‎


‎Photographe, peintre, graveur et illustrateur, Etienne Berne-Bellecour (1838-1910) se spécialisa dans la peinture militaire et notamment de marine. Il évoque dans cette correspondance un tableau de débarquement de marine, probablement le sujet vendu en 2011 chez Artcurial : "Débarquement de troupes de Marine Française dans des chaloupes" daté de 1885 (à moins qu'il ne s'agisse là que d'un travail préparatoire). Prix du lot, non séparable‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR450.00 (€450.00 )

‎LOUIS XVIII ; COMTE D'ARTOIS, Charles-Philippe‎

Reference : 66583

(1815)

‎Lettre du Roi à toutes les Gardes Nationales de la France. [ Donné à Ath, le 27 avril 1815 ] Braves gardes nationales, Buonaparte vous appelle aux armes, je viens vous ramener la paix ; il anéantit votre commerce, je viens le rétablir. Armez-vous ; mais que ce soit pour maintenir l'ordre et la tranquillité dans vos foyers respectifs. Vous n'avez dans l'Europe entière d'autres ennemis que les rebelles qui vous promettent aujourd'hui la liberté, et qui espèrent acheter l'impunité au prix de votre sang. [ ... ] Pour éviter le trouble, résultat ordinaire du choc des opinions, souffrez, pour le moment, la cocarde aux trois couleurs. Je sais qu'elle pèse à vos fronts, la garde de Robespierre la portait ; mais l'instant n'est pas éloigné où le panache du bon Henri doit reparaître dans toute sa splendeur. Braves gardes nationales ; les alliés connoissent votre valeur ; je leur ai répondu de votre amour pour moi".‎

‎1 placard format 26 x 21,2 cm, s.n., Ath, 27 avril 1815 : Lettre du Roi à toutes les Gardes Nationales de la France. [ Donné à Ath, le 27 avril 1815 ] Braves gardes nationales, Buonaparte vous appelle aux armes, je viens vous ramener la paix ; il anéantit votre commerce, je viens le rétablir. Armez-vous ; mais que ce soit pour maintenir l'ordre et la tranquillité dans vos foyers respectifs. Vous n'avez dans l'Europe entière d'autres ennemis que les rebelles qui vous promettent aujourd'hui la liberté, et qui espèrent acheter l'impunité au prix de votre sang. [ ... ] Pour éviter le trouble, résultat ordinaire du choc des opinions, souffrez, pour le moment, la cocarde aux trois couleurs. Je sais qu'elle pèse à vos fronts, la garde de Robespierre la portait ; mais l'instant n'est pas éloigné où le panache du bon Henri doit reparaître dans toute sa splendeur. Braves gardes nationales ; les alliés connoissent votre valeur ; je leur ai répondu de votre amour pour moi".‎


‎Très intéressante lettre publiée par Louis XVIII lors de son exil à Gand pendant les Cent Jours. On notera la mention de Robespierre et l'acceptation de la cocarde tricolore. Le document porte les noms du roi Louis et de son frère le comte d'Artois, "colonel-général des gardes nationales du royaume". Etat très satisfaisant (pliure centrale avec petits frott.). On peut rapprocher ce document de la brochure adressée "Aux Gardes Nationales de France", de l'Imprimerie royale en exil à Gand, et visible dans notre catalogue.‎

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