Les Editeurs Français Réunis. 1968. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 566 pages.. . . . Classification Dewey : 973-Etats-Unis
Reference : RO40209824
Les Etats désunis. Qui a tué H.O. Burrell ? 19 février 1968. Classification Dewey : 973-Etats-Unis
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[Escalade] Denkinger, Guillot, Goth, Bonifas, Boissonnas, Choisy, Arthur Massé, David Piaget, Dufour-Vernes, Eugène Ritter, Gaberel J., Henri Lenoir et al.:
Reference : 18548
Genève, Jules-Guillaume Fick / Tribune de Genève / Eggimann / Département de l'instruction publique / Regamey / Gruaz / Kundig / Georg / Ramboz et Schuchardt / Ducloz / Bonnant, 1843 à 1902. 2 volumes in-8, demi-percaline moutarde, pièces de titre en maroquin. En belle condition. Inscription et certains titres à la plume.
Exceptionnel ensemble de publications, la plupart étant introuvables (sans parler des articles de presse, soigneusement contrecollés). Les "Chansons de l'Escalade" chez Ducloz furent tirés à 150 exemplaires numérotés seulement (le nôtre numéro 83). Plusieurs plaquettes comportent des illustrations, dont 2 dépliantes.
[Escalade] H. Denkinger, A. Guillot, Ch. Goth, Ch. Bonifas, D. Délétra, J.-L. Boissonnas, H. Roehrich, J.-Eugène Choisy - E. Latour (préf.), Ph. Serex (ill.):
Reference : 24567
(1902)
Genève, Eggimann, 1902. In-12, pleine percaline titre au dos et au premier plat, couverture conservée. Illustrations en noir in-texte et à pleines pages par Serex ainsi que "La meilleure des gravures de l'Escalade" attribuée à Dioati, en double planche hors-texte.
Les trois récits sont: L'ange du Seigneur (Charles Bonifas) - L'Escalade (A. Guillot) - Après l'Escalade (Charles Goth). A noter aussi des vers par Bonifas, Délétra, Boissonnas et Roehrich ainsi que la traduction du Cé qu'é l'aino.
Genève, Slatkine, 2003. In-8 broché, couverture couleurs. Illustrations en noir et en couleurs.
"En 1602, les Savoyards ont tenté d'envahir Genève, sans succès. En 2002, des habitants de Genève ont fêté le 400e anniversaire de leur indépendance préservée. L'Escalade, tel est le nom de cette tradition genevoise qui se fête chaque année vers le 12 décembre. Lors des préparatifs du 400e de l'Escalade, une enquête pour le musée d'art et d'histoire de Genève a été menée. Elle a voulu traduire une prise d'ambiance contemporaine, récolter des réactions, des anecdotes ainsi que des questionnements autour de cet événement. Elle a ainsi privilégié le point de vue de tout un chacun, amateur ou non de ce moment d'histoire. Une analyse légère de propos choisis met en lumière certains enjeux sociaux et culturels de l'Escalade, ainsi que certains aspects de la construction de cette tradition. Elle permet aussi de découvrir des attentes et des besoins spécifiques des habitants de la cité de Calvin. Cette mise en valeur différenciée de l'Escalade a été perçue positivement tant par les personnes rencontrées que par différents médias romands. Cet ouvrage présente ici un exercice d'ethnologie illustrée par une série de dessins de l'auteure."
Genève, Ch. Eggimann, 1902. In-12, demi-cartonnage muet, couverture conservée. Quelques rares rousseurs.
L'ange du Seigneur (Charles Bonifas) - Avant l'Escalade (Dunkinger) - L'Escalade (A. Guillot) - Après l'Escalade (Charles Goth). A noter aussi des vers par Bonifas, Délétra, Boissonnas et Roehrich ainsi que la traduction du Cé qu'é l'aino.
Genève, Slatkine, 2019. In-8 broché, couverture illustrée par Exem.
"Genève n’a pas toujours célébré l’Escalade autour d’un défilé historique. Entre les années 1860 et 1939, la fête avait avant tout la forme d’un carnaval. Alors que le canton connaissait une forte immigration et devenait majoritairement catholique, des dizaines de milliers de fêtards profitaient de l’anniversaire de la bataille de 1602 pour faire les fous lors de mascarades de rue et de bals masqués. Ils paradaient dans les Rues-Basses, s’invectivaient, badinaient, buvaient, dansaient au son de musiques diverses. Mais une partie des Genevois ne supportaient pas ces amusements. Patriotes et protestants, ils voulaient qu’on célèbre la victoire du 12 décembre 1602 en rendant grâce à Dieu et à la patrie. Se déguiser et se masquer, selon eux, ne pouvait se faire à ce moment de l’année. Ils fondent en 1906 une Association patriotique destinée à organiser des cortèges historiques pour reconquérir la rue laissée à « la masse flottante d’émigrés », selon les mots du Journal de Genève d’alors. Le combat a été mené par deux présidents successifs de l’Association des intérêts de Genève, Jules et Louis Roux. Ces deux frères ont déclenché une véritable guerre contre les mascarades de l’Escalade avec l’appui des milieux économiques, politiques et médiatiques. Face à des anonymes désorganisés, ils ont réussi à éliminer le carnaval pour lui substituer un cortège patriotique et des Fêtes de Genève plus propices aux affaires. Les vainqueurs n’ont rien fait pour garder le souvenir des vaincus. Il était temps de retracer la naissance, l’importance et la mort du carnaval de l’Escalade."