Club du Livre Sélectionné. 1955. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 272 pages. Dessins en couleur en frontispice et en page de titre. Reliure d'éditeur marron et dorée.. . . . Classification Dewey : 890-Littératures des autres langues
Reference : RO40124424
Ouvrage tiré à 3000 ex. num. Exemplaire n° 316. Maquette et illustrations de Gérard Schmitt. Classification Dewey : 890-Littératures des autres langues
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Edouard Moradpour. La Compagne de Russie. In English /Edouard Moradpour. La Compagne de Russie. Eduard Moradpour. Russian campaign in French France MICHALON 2012. 253s. We have thousands of titles and often several copies of each title may be available. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKUalbd48a73b719785581.
Fleury-Mérogis 21 Octobre 1976 | 21 x 29.50 cm | une page recto verso
Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du jeudi 21 Octobre 1976, 70 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis, se réjouit d'avoir pu s'entretenir au parloir avec sa bien-aimée également emprisonnée: "Quel très agréable parloir, tu étais en plus très féminine dans cet ensemble qui est bien dans ton style de femme... même le double du prix car il me plaît" et tente de la rassurer afin qu'elle ne perde pas toute pugnacité contre le régime carcéral qui broie les détenus : "Mais si par malheur un nouveau refus te touchait n'aies pas cette mauvaise réaction que tu m'as dite car ceux qui t'entourent et t'ont aidée ne méritent pas de payer l'injustice des autres. Il te faudrra faire face comme toujours. Car les portes s'ouvriront un jour et tu le sais." En patriarche protecteur, Jacques Mesrine s'inquiète du désespoir qui pourrait la frapper elle et sa fille Murielle placée à la DASS : "Mais pour toi je m'en fais énormément, car tu as une limite... et je crois que tu l'as atteinte ! ou presque... Au sujet de Mury et de cette juge bidon... nous verrons pour la retirer de la Dasse... je préfère payer ses études et madame Chevallier et tout son entretien s'il le faut. Si tu sors ! Dis-moi... que de femmes à entretenir... j'ai intérêt à faire des heures supplémentaires (sic)" L'ennemi public N°1 évoque la prochaine liberté de Jeanne Schneider en lui intimant de ne plus retomber dans la criminalité : "...Si tu sors interdiction formelle de t'occuper de moi sur un plan que nous comprenons très bien tous les deux. Je ne veux plus te voir en prison car toi dehors c'est un peu de moi même qui sera libre. Tu donnes une parole pour cette liberté... prouve que nous autres, la tenons toujours en bien comme en mal" Jacques Mesrine loue la droiture de sa compagne, clef de voûte de leur union forte à travers la privation de liberté : "C'est ce qui nous unit le plus ; voyous, dangereux ?... mais droits. C'est ce qui fait que je t'aime, avec toi pas de surprises désagréables ; tu es "blanc-bleu" et pour moi tu as bien la valeur du diamant. C'est la seule pierre qui est plus dure que l'acier (sic)... mais moins dure que moi (resic)" Il termine cette missive par cette note d'humour traduisant la terrible réalité intrusive du système pénitentiaire : "Et si mon colis de Noël est préparé par toi... l'administration va le passer aux rayons X" mais aussi par ces tendres mots : "De doux décots se posent sur tes lèvres... geste d'amour qui nous unit depuis toujours et pour longtemps... EL VIEJO Bandido !" Rare et très belle lettre de Jacques Mesrine dans laquelle on le découvre protecteur et avide de liberté pour sa compagne et pour qui la franchise doit être érigée en règle de vie. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Imprimerie Arte Adrien Maeght Relié 1998 Rare grand album au format in-4° (24,5 * 28,7 cm), non paginé, l'ouvrage en lui même comporte 24 feuillet imprimé au recto dont 15 d'illustrations, suivi par deux pages de textes de Claire Cominetti, tirage à 200 exemplaires numérotés, de plus il a été tiré XX exemplaires hors commerce, ici le numéro 70 ; très bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.
Paris s. d. [circa 1944] | formats divers | 10 feuilles
Ensemble de 8 photographies de la famille de Nicolas de Staël vers 1942-1944, en tirage argentique d'époque. Les clichés ont été pris vers 1944, deux ans après la naissance d'Anne de Stäel, fille du peintre et de sa compagne l'artiste Jeannine Guillou. En septembre 1943, la famille composée d'Anne et du petit Antek (futur écrivain connu sous le nom d'Antoine Tudal) fils d'un précédent mariage de Jeannine Guillou, arrive à Paris et s'installe grâce à l'amitié de la galeriste Jeanne Bucher au 54, rue Nollet, dans l'hôtel particulier de l'architecte Pierre Chareau.Staël transforme le grand salon du rez-de-chaussée en atelier où il se consacre entièrement à l'abstraction caractérisée par des lignes géométriques entrelacées, rythmant une toile sombre. - Portrait de la famille au complet (Nicolas de Staël, Jeannine Guillou portant Anne dans ses bras, Antek Teslar âgé de 14 ans), devant l'hôtel particulier de la rue Nollet - Jeannine Guillou et Anne dans le jardin de l'hôtel particulier de la rue Nollet - Jeannine souriant tenant Anne dans ses bras, rue Nollet. -Jeannine souriant tenant Anne dans ses bras devant un décor marocain, rue Nollet. - Reproduction de la photographie d'identité de Jeannine Guillou, de profil. - Vue de la façade intérieurede l'hôtel particulier de la rue Nollet. - Jeannine Guillou en costume de plage - Planche contact avec deux des précédentes photographies, ainsi que deux autres représentant Antek Teslar étudiant dans la mansarde de l'hôtel particulier (25,2x20,4cm). - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Paris 12 Octobre 1976 | 21 x 29.50 cm | une page recto verso
Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du mardi 12 Octobre 1976, 70 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine alors incarcéré à la Santé se montre d'une grande tendresse et se dévoile sous un autre jour, celui de l'amoureux affectueux et attentionné : "Bonsoir petite fille...tu aimes bien jouer "au St Bernard", tu ne changeras jamais à ce sujet. C'est toi qui a 7 ans 1/2 de taule et tu dois remonter le moral des "gamines" qui ont joué du calibre !" Il encense et s'étonne un peu de la dévotion de sa compagne pour un couple de jeunes criminels : "Tu me parles d'une sentence de 20 ans pour elle ! tu rigoles ou quoi... elle ne peut pas prendre plus de 8 ans je la vois plutôt avec 5 ou 6, si les choses s'arrangent. Son mari avec 20 ans au maximum." et tente de lui transmettre tout son optimisme, sa pugnacité et de lui remonter le moral : "Tu sais, ma puce; quand tu m'écris que la cause de Michou, est une cause perdue d'avance je ne te comprends plus. Il n'y a pas de cause perdue d'avance. Dans la vie il faut se battre jusqu'au bout. tu sais pourtant ce que cela représente. Tu vois, moi je vais au maximum ! et pourtant je vais me défendre toutes dents dehors. Car ma liberté il faudra me la prendre. Je ne la donnerai pas faute de combat !" Jacques Mesrine évoque également son amour des courses hippiques tout en se targuant d'être un spécialiste des paris : "Oui j'avais joué "Dernier tango" mais seulement à la place. J'avais 2000frs dessus, je gagne donc 6000frs. Ce n'est pas de la chance, mais un savant calcul. Il m'arrive de perdre mais avec ma méthode, je suis obligé d'être gagnant... Forécement pour la suivre il faut un certain capital. J'ai mis plus d'un an à faire tous les calculs de probabilité. Cela doit me rapporter à peu près 7000frs par mois. Net d'impots (sic)..." Il ironise sur sa situation de prisonnier disposant de beaucoup de temps pour échaffauder ses stratégies de gains pécuniaires : "J'ai aussi mis au point une méthode pour le jeu de baccara. Que veux-tu... j'ai le temps de calculer un tac de choses (sic !) Tu me comprends ? ... L'administration aussi ! (resic). " mais déplore son impossbilité à poursuivre l'écriture de l'Instinct de mort : "... je suis actuellement incapable d'écrire une page de mon bouquin... je ne sais pas comment tourner ce passage-là... enfin je vais bien trouver la solution." Jacques Mesrine achève cette belle lettre par une émouvante déclaration d'amour toute d'espoir et d'avenir et toute empreinte d'une certaine innocence: "Nanou d'amour. Votre futur "z'époux" qui pour l'instant n'est que votre "vieil amant" pose ses lèvres sur les tiennes en une douce caresse amoureuse... Te quiero & EL VIEJO." Rare et très belle lettre de l'ennemi public N°1 dans laquelle on le découvre animé d'une grande bienveillance, d'un tendre amour pour son aimée et... les courses hippiques. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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