Editions de Châteaudun. 1964. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos frotté, Intérieur acceptable. 66 pages. Illustré de nombreux dessins en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 843.064-BD périodiques
Reference : RO40117848
Vedette incognito. Une nouvelle aventure de Sonia... Classification Dewey : 843.064-BD périodiques
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«Don Quichotte» relié pour la Princesse de Lamballe, l’amie intime et dévouée de la reine Marie-Antoinette, en éclatant maroquin vert de l’époque. En Haia por P. Gosse y A. Moetjens, 1744. 4 volumes in-12 en plein maroquin vert, triple filet doré encadrant les plats, armoiries dorées de la princesse de Lamballe au centre, dos à nerfs ornés, filet or sur les coupes, roulette intérieure, tranches dorées. Reliure armoriée de l’époque. 157 x 95 mm.
«Don Quichotte» relié spécialement pour la Princesse de Lamballe (1749-1792) l’amie intime de la reine Marie-Antoinette, vers l’année 1775, en maroquin vert avec une sélection de vingt figures d’après Coypel gravées par Folkema, Fukke et Tanje, les exemplaires ordinaires comptant un portrait et 24 figures. Don Quichotte, chef-d’œuvre de la littérature mondiale, fut écrit probablement entre 1598 et 1604. La première partie fut publiée en 1605. Dix ans plus tard, en 1615, parut une deuxième partie qui est en quelque sorte l'illustration, l'interprétation et la conclusion définitive de la première. Selon ce que Cervantès nous déclare lui-même dans le Prologue de la Ire partie, son but a été d'écrire un roman de chevalerie, capable de se détacher de tous les autres largement répandus à cette époque. « Le roman est issu, à l'origine, d'une inspiration polémique contre les livres de chevalerie dont il devait prendre tout simplement le contre-pied sous la forme d'une imitation ; mais il s'est transformé, petit à petit, en une représentation poétique et sincère d'un monde de plus en plus vaste et complexe, au sein duquel agit une force analogue à celle qui explique la vie individuelle et la vie universelle, l'histoire humaine et son devenir perpétuel. Pour Cervantès, cette force se manifeste essentiellement sous trois aspects, facettes d'un même prisme : d'un côté, la générosité et la grandeur morale de Don Quichotte ; de l'autre, le réalisme et l'égoïsme pratique de Sancho Pança ; mais ces deux modalités de l'action, apparemment inconciliables, profondément contradictoires, cèdent le pas devant le mystérieux attrait d'un idéal de beauté qui, s'il ne triomphe, du moins survit aux déceptions, donnant un constant démenti à l'affligeante réalité. Mais cet idéal, quel est-il ? La réponse ne peut être qu'obscure ; sinon que, profondément enraciné dans l'homme, le pouvoir lui a été donné de se dépasser; et plus particulièrement pour ce qui est de Cervantès, ce dépassement se réalise dans l'œuvre d'art où il trouve un champ d'action propre à l'exercice de son talent. En face de cet univers poétique que son imagination installe dans la réalité, Cervantès est amené à éprouver un sentiment de charité qui adhère, avec une indulgence bienveillante, à toutes les formes dans lesquelles l'amour se réalise : sorte d'inspiration d'un genre naturel qui entraîne l'ensemble des hommes dans son sillage. Et même au sein de sa hâte pleine d'angoisse, c'est vers une vie contemplative qu'il nous conduit. Ainsi grâce à ce sentiment de charité, tous entrent dans le sillage lumineux des aventures incroyables de Don Quichotte : l'œuvre entière est comme enveloppée d'un sourire immatériel et translucide, qui laisse percer secrètement une inépuisable richesse d’humanité et d’expériences réellement vécues. La magie de ce sourire, en conférant au récit un caractère inimitable, a assuré à Cervantès une renommée triomphale.» Précieux exemplaire revêtu de fraîches reliures en maroquin vert vers l’année 1775 aux armes de la princesse de Lamballe, l’une des provenances les plus rares et émouvantes de l’Ancien Régime. Ernest Quentin-Bauchart (Les Femmes bibliophiles de France – Paris 1886) ne cite que 6 ouvrages reliés aux armes de cette princesse et insiste sur leur très petit nombre et leur médiocre condition habituelle: « Marie-Thérèse de Savoie-Carignan, princesse de Lamballe, naquit à Turin le 8 septembre 1749. Elle était la quatrième fille de Louis-Victor de Savoie-Carignan et de Christine- Henriette de Hesse-Rhinfelds-Rothembourg, sa femme, grand'tante du roi de Sardaigne. Bientôt l’amitié la plus tendre unit la reine à la princesse. Nous n’en voulons d’autre preuve que cette lettre touchante, écrite par Marie-Antoinette à la mort de la princesse de Carignan: « J'ai appris avec une bien vive douleur, ma chère Lamballe, la mort de votre bonne mère à qui vous gardiez si grande tendresse et respect, j'ai pleuré de votre lettre, je connoissois toutes les vertus de la princesse de Carignan, ma douleur s'en augmente, c'est un poids trop fort à supporter pour vous et pour ceux qui vous aime, mon amie il me tarde de vous voir et de meler mes larmes avec les votres, car il nia pas de consolation pour un parreil désespoir et je ne peu que pleurée avec vous et prier Dieu. Nous parlions tout à l'heure de vous le roy et moi et nous déplorions la triste destinée qui poursuit une ange telle que vous si bien faitte pour appeler le bonheur autour delle et si digne de le gouter, mais votre touchante résignation est au-dessus de vos maux et l'amitié du bon M. de penthiévre et la notre vous reste, nous voudrions que cela put adoucir un peu lamertume de vos chagrins. Adieu ma chère Lamballe, je vous embrasse du meilleur de mon cœur comme je vous aimerai toute ma vie. Marie-Antoinette le roy entre et veut vous ajoutter quelques mots.» Un mot, un seul, Madame et chère cousine, mais un mot du fond du cœur. Vous savez combien nous vous aimons, que Dieu soit avec vous. Louis. Madame de Lamballe était en Allemagne quand elle apprit l’arrestation de la famille royale à Varennes. N’écoutant que les inspirations de son cœur, elle rentra à Paris le 14 novembre 1791, malgré les instances de la reine, qui la suppliait d’attendre: « Non, je vous le repette, ma chère Lamballe, ne revenez pas en ce moment ; mon amitié pour vous est trop alarmée, les affaires ne paraissent pas prendre une meilleure tournure malgré l'acceptation de la Constitution sur laquelle je comptois. Restez auprès du bon Monsieur de Penthièvre qui a tant besoin de vos soins ; si ce n’étoit pour lui il me seroit impossible de faire un pareil sacrifice, car je sens chaque jour augmenter mon amitié pour vous avec mes malheurs ; Dieu veuille que le temps ramenne les esprits ; mais les méchants répandent tant de calomnies atroces, que je compte plus sur mon courage que sur les évènemens. Adieu donc, ma chère Lamballe, sachez bien que de près comme de loin, je vous aime et que je suis sure de votre amitié.» Marie-Antoinette. La princesse, après avoir partagé pendant quelques jours, la captivité de la reine au Temple, fut enlevée la nuit et transférée à la Force. C'était son arrêt de mort. «Les livres de Madame de Lamballe sont en très petit nombre et leur condition est médiocre.» (Ernest Quentin Bauchart. Les femmes bibliophiles de France). Exceptionnel exemplaire, de toute rareté, du Don Quichotte de Madame de Lamballe conservé dans ses reliures armoriées en éclatant maroquin vert de l’époque.
Exemplaire somptueusement reliée en maroquin de l’époque de Simier aux armes de la Duchesse de Berry (1798-1870). Paris, Ménard et Desenne, 1818. 4 parties en 1 volume petit in-8 de (2) ff. et 298 pp., 4 gravures hors texte. Plein maroquin bleu nuit, filet doré et roulette à froid encadrant les plats, armoiries frappées or au centre, dos à nerfs orné, coupes décorées, roulette intérieure, tranches dorées. Reliure en maroquin armorié de l’époque de Simier. 134 x 90 mm.
«La Princesse de Clèves» imprimée sur papier vélin fin. «Madame de Clèves, jeune beauté parfaite en tout point, fait des débuts remarqués à la cour de la reine dauphine, belle-fille d'Henri II. Pour ce modèle de vertu, l'image de Diane de Poitiers plane tout au long du roman comme le contre-exemple absolu. Mais sous des dehors innocents, la Princesse de Clèves, par sa faculté à analyser et à maîtriser ses sentiments, fait preuve d'une personnalité étonnante et rarement exposée avec tant de justesse auparavant. Car, si l'amour courtois trouve ici d'indéniables échos, cet ouvrage paru en 1678, souvent considéré comme le premier roman de la littérature française, est indéniablement un pas énorme vers le roman tel qu'on le connaît aujourd'hui. La galerie de portraits dressée par Madame de Lafayette peut s'avérer un peu rébarbative pour le lecteur moderne, de même que sa langue est un peu austère. Néanmoins, l'analyse psychologique est d'une vraisemblance résolument novatrice et rachète l'invraisemblance de certaines scènes. En outre, l'exploit de faire naître tout un roman d'une intrigue aussi ténue, pratiquement sans action, fait de "La Princesse de Clèves" un ouvrage d'autant plus pathétique que les personnages laissent peu d'emprise aux événements extérieurs et se condamnent eux‑mêmes.» Précieux et superbe exemplaire relié en maroquin bleu de l’époque de Simier aux armes de la Duchesse de Berry. Marie-Caroline-Ferdinande-Louise de Bourbon-Sicile, fille de Ferdinand 1er roi des Deux‑Siciles, et de Marie-Clémentine, archiduchesse d'Autriche, née à Naples le 5 novembre 1798, épousa le 17 juin 1816, Charles-Ferdinand d'Artois, duc de Berry, second fils du futur Charles X, qui fut assassiné le 13février 1820. La duchesse de Berry, veuve à 22 ans, se consacra à l'éducation de ses deux enfants, Louise-Marie-Thérèse d'Artois et Henri-Charles-Ferdinand-Marie-Dieudonné, duc de Bordeaux, né posthume ; très courageuse, elle essaya en 1832 de fomenter en Vendée un soulèvement légitimiste qui échoua ; trahie le 7 novembre de la même année par le juif converti Deutz, elle fut enfermée dans la citadelle de Blaye où elle mit au monde une fille qu'elle avait eue du comte Hector Lucchesi-Palli, qu'elle avait épousé secrètement en 1831 ; remise en liberté en juin 1833, elle fut tenue à l'écart par la famille royale et se vit enlever la direction de l'éducation de son fils. Elle vécut à Venise et mourut le 17 avril 1870 au château de Brunnsee en Styrie. Cette princesse, aux goûts artistiques très développés, avait constitué dans son château de Rosny, près Mantes, une luxueuse bibliothèque remarquable tant par le choix des éditions et la richesse des reliures que par l'importance des manuscrits qu'elle renfermait.
S. n. | Londres 1768 - 1765 | 10 x 16 cm | relié
Rare réunion de ces 3 oeuvres de Voltaire. Pour La princesse de babilone, il s'agit d'une des réimpressions à la date de l'originale. Le texte est conforme à celui de l'originale avec quelques variantes (on lit Candide au lieu des Quatre facardins p. 85 ; la lettre de l'archevêque de Cantorbéry à l'archevêque de Paris se trouve à la fin). Bengesco pense cette édition sortie des presses de Dresde, alors que Beuchot la pense imprimée par Carmer à Genève. Saul, tragédie de Voltaire est une nouvelle édition non répertoriée par Bengesco. 1765. Nouvelle édition du Dîner du Comte de Boulainvilliers à la fausse date de 1728 [1767]. Elles est fort semblable à l'originale décrite par Bengesco, à la différence que la première ne possède qu'un feuillet de titre et 60p., celle-ci possédant un faux-titre et un titre. Reliure en plein veau brun marbré d'époque. Dos lisse orné à la grotesque. Trois pièces de titre en maroquin rouge. Coiffes arasées. Mors supérieur fendu, mpors inférieur fendu en queue. Frottements. 3 coins émoussés. Manque au dernier feuillet en marge basse de La Princesse de babilone. Sur la page de garde au crayon de bois, notice manucrite sur La princesse de Babilone et Le Dîner avec la mention Ex. d'Emile Henriot. La princesse de Babilone est à juste titre l'un des plus célèbres contes philosophiques de Voltaire, dans lequel l'auteur, au travers d'un conte oriental plein de rebondissements et d'humour peint la condition humaine et les différentes société politiques de son temps. Le dîner est un série d'entretiens sur la religion. Voltaire fut rapidement reconnu derrière cet écrit paru sous le nom de St. Hiacynthe. Il fut une nouvelle fois accusé d'impité et désavoua l'écrit en arguant qu'il n'en était nullement l'auteur. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Chez Guillaume Saucrain | à Paris 1722 | 16 x 9.50 cm | 2 volumes brochés
Nouvelle édition après l'originale de 1657 (Sommaville). Edition illustrée d'un frontispice et de 6 fig. non signées (une pour chaque nouvelle en frontispice). Brochés, dépourvus de reliure. Une mouillure claire en fin de volume du tome I, au milieu. Segrais (1624-1701) fut le secrétaire de Mlle de Montpensier (dont Madame de Lafayette tirera un récit), et le directeur de l'Académie française. Le recueil est composé de 6 nouvelles historiques, genre qui fut inauguré quelques années plus tôt par La princesse de Clèves de Madame de Lafayette. Les romans de Lafayette parurent sous le pseudonyme de Segrais... Dans la préface, Segrais parle d'une princesse proche de Louis XIV et retiré dans un château avec ses suivantes, chacune racontera une histoire, et l'ensemble formera les divertissements de la princesse Aurélie. Ces nouvelles composent un ensemble important pour la littérature du XVIIe et un pas décisif, proche de la littérature de Madame de Lafayette, vers le récit moderne. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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S. n. | s. l. s. d. [circa 1980] | 13.50 x 9 cm | une feuille
Bristol de spécimen de la signature de son altesse sérinissime la Princesse de Monaco Grace Kelly. Agréable exemplaire, tampon imprimé "spécimen" au verso du bristol. Signature manuscrite de Grace Kelly au feutre noir. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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