Alfred Mame & Fils, Tours. 1894. In-8. Cartonnage d'éditeurs. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos abîmé, Intérieur acceptable. 94 pages. Gravure en noir et blanc en frontispice. Illustré de gravures en noir et blanc hors texte. Manques importants sur le dos en coiffes de tête et de pied.. . . . Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants
Reference : RO40116445
Le bourg de Batz. La tempête. Un concert de charité... Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants
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1940 cartonné gauffré in-octavo, dos rouge - titre frappé et décoration or, premier plat décoration or et à froid, deuxième plat décoration à froid, toutes tranches dorées, illustrations : frontispice + bandeaux + culs-de-lampe et gravures hors-texte, très rares et légères piqûres, 191 pages, sans date (début vingtième Siècle) à Paris Librairie d'Education,
Collection "Les Cents Récits Nouveaux", traduit de l'Allemand avec l'autorisation de l'Auteur, bon état général
1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul.
Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...
DIESBACH BELLEROCHE, Benoît de, MÜLLER, Serge de, TORNARE, Alain-Jacques & MARADAN, Evelyne:
Reference : 71348aaf
Fribourg, Intermède Belleroche, 1992, in-8vo, 122 p. ill., dédicace de Serge de Müller, l'un des auteurs, à Dr. Brunner, brochure originale.
Phone number : 41 (0)26 3223808
Mme Élisabeth Müller (PSEUDONYME DE LÉONIE BÉDELET) - Marie Edmée
Reference : 25158
(1867)
1867 A. Bédelet (Paris) 1867,in folio pleine percaline rouge,titre sur le 1er plat,: 26 p.,tranches dorées, :frontispice et 9 pl. lithogr.coloriées, sous serpentes ; in-fol.,reliure défraichie,manque au bas du dos;interieur frais,trés rare.Marie Edmée PAU 1845 1871 son existence fut ponctuée de luttes entre ses aspirations professionnelles artistiques , religieuses, intimes, amoureuses difficilement conciliables dans la France du Second Empire.Marie-Edmée Pau (1845-1871) est une dessinatrice originaire de l'Est de la France. Hormis ses illustrations du Journal de Marguerite, elle signe aussi une Histoire de Jeanne d'Arc qui connait un certain succès. Cette artiste catholique nous laisse également ce journal intime, qui couvre ses années d'adolescence jusqu'à sa mort prématurée, à l'âge de 26 ans.
reporoduit avec planches lithographies en noir:https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6567213j.texteImage Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
L'INTERMEDIAIRE DES CHERCHEURS ET CURIEUX. JUIN 1967. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 529 à 640. Lecture en colonnes.. . . . Classification Dewey : 1-Le savoir
Mensuel de questions et réponses historiques, littéraires, artistiques et sur toutes autres curiosités. Sommaire : QUESTIONS 529:J.-H. Muller et la génétiquemoderne. — 530 : « Veste ». — 530 : Polaire. — 530 : « La canne à papa », chanson. — 531 : Famille Druz. — 531 : Double nationalité française et écossaise.—531 : Demeures de la princesse Ma-thilde. — 531:Richemont.—532:Opéra à identifier. — 532 : Le peintre Allin. — 532 : La « grande muette ».—532: Famille de Jean Barbin. —532 : Le phi grec et l’f latin. — 533 : L. ¿H. Esmangart-Defeynes. —533:Juifs et francs-maçons. — 533 : Baldur von Schirach. — 533 : Couleurs du pelage des animaux. — 533 : Le prince Henri de Prusse et l’ouverture des états généraux de 1789. — 534 : Profond et peufond. — 534 : Mgr Claude-François de Narbonne-Pelet. — 534 : Sociétés antiesclavagistes. — 534: Les enfants deJules Simon. — 534 : Prédictions de Ca-zotte en 1718. — 534:Cabart-Danne-ville. — 534 : Taque de cheminée à interpréter. — 535 : « La solitaire des rochers. — 535 : Robinet ? — 535 : Les premières cartes géographiques. — 535 : Les meubles de Tuart. — 535 : Maughier, patronyme. — 535: Les flageloluanes.—535 : Déportation des prêtres. — 535 :Famille de Maldonado. — 536: Verred’Angleterre. — 536 : La cantatrice Lucienne Bréval. — 536 :Le soufre, remède universel. —536:Princessed’Essling. — 536 : Sérum de vérité. — 537: Les seigneurs du Boisguillot. —537: Noms savants, communs, poéti-ques ou argotiques pour désigner les prostitutées. — 537 : Les premières Légions d’honneur. — 538 : L’œuvre de M. Lassez. — 538 : L’amour et la mort. —538: Famille Vignon, d’Arras. —538 : Tapisserie : marquise de Pompadour en déesse de Pété. — 538 : Où est Marajavoslavet ? —538:Une devised’Anne d’Autriche. — 538 : Mgr Lucien Lacroix, évêque de Tarentaise. — 539 : Les côtes anglaises du détroit du Pas-de-Calais. —-539:Maîtres d’armesroyaux anoblis. — 539 : Empereur dom Pedro II et le comte Arthur de Gobineau. — 540 : Enseigne « à la boule ».—540 : Auteur de deux poèmes à identifier.RÉPONSES 540: A propos de « l’Intermédiairedes chercheurs et curieux ». — 542:Allô ! appel téléphonique. — 542 : Statues représentant le corps de l’homme ouvert. — 543 : Des prêtres catholiques mariés. — 543 : Catholiques et franc-maçonnerie. — 543 :Les plus beauxmonuments aux morts de la guerre 1914-1918. — 544: Savary, duc de Rovigo.—544 : Enclaves des Hautes-Pyrénéesdans les Basses-Pyrénées. — 544 : Changements des noms de rues. — 544 : Population au xvme siècle. — 545 : Plaisants patronymes. — 545 : Origine de nos députés. — 545 : Incunable du cinéma et doyen des figurants. — 546 : Le pissadou. — 546 : Jean-Baptiste Clé-singer, sculpteur (1814-1883), gendre de George Sand. — 546 : Datation des objets familiers. — 546 : Femmes traînées par les cheveux. — 546 : Enfants de Dieu et filles des hommes. — 547:Langue auxiliaire mondiale. — 547:Interdiction de la lecture des livres saints. — — 547 : Pourquoi dit-on que Dieu est au ciel ? — 548 : A propos du 602 : Emérite. — 603 : Zoophilie. — Classification Dewey : 1-Le savoir