Charpentier. 1908-1919. In-12. Broché. A relier, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 416 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : RO40008392
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Paris, Bibliothèque Charpentier, 1908 In-8° de xviii 416 pp.
Reliure maroquin brun, dos à nerfs ornés de filets gras en noir, filet e, doubles filets maigres dorés, tranches dorées mouchettes. Très légers défauts pour cette très belle reliure signée. Dédiée à Fernand Charon , le constructeur de l’automobile « Charron 628-E8 », cette œuvre inclassable n’est ni un véritable roman, ni un reportage, ni même un récit de voyage digne de ce nom, dans la mesure où le romancier-narrateur n’a aucune prétention à la vérité documentaire, ne se soucie aucunement de vraisemblance, et mélange allègrement les registres du vécu, du rêve et de la fantaisie.Hymne à la paix en Europe. Dans son automobile Charron immatriculée 628-E8, il parcourt le nord de la France, qui donne l'occasion d'une page sur le règne de Louis XIV, la Belgique dont les mœurs caricaturées et dont le roi Léopold II, présenté comme un affairiste sans scrupules, est vilipendé à cause du scandale du « caoutchouc rouge » au Congo, les Pays-Bas , où on retrouve le souvenir de Rembrand , de Monet et de Van Gogh, et enfin l'Allemagne de Guilaume II décrite propre et prospère, qui constituerait un partenaire économique idéal pour une France trop souvent sale et "attardée", pour le plus grand intérêt des peuples et pour garantir la paix en Europe. En même temps qu’un hymne à la paix et à l’amitié franco-allemande, La 628-E8 est un hymne à l’automobile, qui est le personnage principal du récit : elle contribue à l’essor économique, elle rapproche les peuples et elle bouleverse aussi notre perception du monde. Mais Mirbeau n’est pas pour autant dupe des illusions scientistes et il se méfie des ingénieurs qui, au nom du Progrès mythifié, se comportent souvent d'une façon irresponsable et menacent l’avenir de la planète." Réf AA409
Circa 1925. 2 tapuscrits reliés en un vol. au format in-4 (278 x 212 mm) de 58 pp. ; 1 f. bl., 2 ff. n.fol. et 173 pp. Reliure de l'époque de demi-percaline vert-bronze à l'imitation de chagrin, dos lisse orné de doubles filets dorés, titre doré.
Réunion de deux tapuscrits de l'éminent spécialiste balzacien Bernard Guyon. Le premier reproduit le passage supprimé - et qui n'a figuré que dans la première édition de 1907 - de l'ouvrage d'Octave Mirbeau La 628-E8 relatif à la mort de Balzac. Le second - recelant de nombreuses corrections et annotations manuscrites - constitue le Mémoire pour l'obtention du Diplôme d'Etudes Supérieures présenté en 1924 devant la Faculté des Lettres de Paris par Guyon relatif à une étude sur Le Médecin de campagne de Balzac. Contrecollée au premier feuillet : une carte de visite avec mot autographe de Guyon. Coupes et coiffes légèrement élimées. Papier légèrement jauni. Du reste, très belle condition.
1908 1 in-4 3 pages in-4 signées et monogrammées, montées en tête de l'ouvrage d'Octave Mirbeau. Paris, Charpentier et Fasquelle, 1908, in-4, demi-maroquin fauve à coins, dos lisse à encadrement de fleurs et feuillages mosaïqués Art nouveau, titre et tête dorés, couverture illustrée rempliée conservée, XX pages, 416 pages. (Reliure René Aussourd).
Manuscrit autographe d'Octave Mirbeau (Trévières 1848 - 1917 Paris) de 3 pages, signé et monogrammé O. M. , "Une heure chez Rodin", publié in Le Journal, le 8 juillet 1900. Ces pages manuscrites sont suivies par l'ouvrage d'Octave Mirbeau "La 628-E8", orné d'illustrations de Bonnard (Fontenay-aux-Roses 1867-1947 Cannet). Édition de luxe illustrée de croquis dans les marges. Un des 200 exemplaires sur vélin dArches. Légères marques et usures. Mirbeau fidèle ami et grand admirateur de Rodin, malgré des divergences idéologiques, a longtemps soutenu son ami et lui a permis de recevoir de nombreuses commandes. Le texte est dithyrambique, manifestement exalté, très imagé, capital pour la compréhension de l'uvre de Rodin. Mirbeau vient de visiter les sculptures de Rodin : « Ici cest comme un jardin qui serait rempli de bien des fleurs je les respire.. je me grise de leurs odeurs je me sens moi-même devenir un ( ) et ces femmes et ces visages et ces formes me font comprendre des choses. Je comprends la beauté des fleuves, des mers, des forêts, des grands ciels où passent les nuageset des montagnes rondes comme des seins Et voici que s'ouvrent devant mes yeux éblouis toutes les portes et tous les palais et tous les jardins de la vieDésormais je ne pourrais plus voir dautres sculptures que celle-là ».
Paris, Bibliothèque Charpentier, 1908. Un vol. au format in-12 (188 x 123 mm) de xviii - 416 pp. Reliure de l'époque de demi-chagrin maroquiné ébène, dos à nerfs orné de filets gras en noir, filet en pointillés dorés sur les nerfs, doubles filets maigres dorés, titre doré, tranches mouchetées. (H. Lilie).
Exemplaire sous reliure signée de H. Lilie. Dédiée au constructeur de l’automobile de Mirbeau, l’Angevin Fernand Charron, cette œuvre inclassable n’est ni un véritable roman, ni un reportage, ni même un récit de voyage digne de ce nom, dans la mesure où le romancier-narrateur n’a aucune prétention à la vérité documentaire, ne se soucie aucunement de vraisemblance, et mélange allègrement les registres du vécu, du rêve et de la fantaisie. Dans sa voiture immatriculée 628-E8, il parcourt le nord de la France, ce qui nous vaut une page superbement démystificatrice sur le règne de Louis XIV, - la Belgique, dont les mœurs sont caricaturées non sans drôlerie - les Pays-Bas, où il retrouve le souvenir de Rembrandt, de Monet et de Van Gogh, et enfin l’Allemagne de Guillaume II, propre et prospère, qui constituerait un partenaire économique idéal pour une France trop souvent sale et tardigrade, pour le plus grand intérêt des peuples et pour garantir la paix en Europe. Dos passé ; lequel présente en outre quelques frottements. Papier légèrement oxydé. Rares rousseurs. Du reste, belle condition.
1907 Paris, Bibliothèque-Charpentier, Eugène Fasquelle éditeur, 1907; in-8 de XVIII - 468pp.; demi-chagrin lisse brun a coins, dos à nerfs, auteur et titre dorés, date dorée en pied, couverture conservée, tête dorée. Ex-libris étiquette d'Albert Messein. Inscription autographe signée sur le faux-titre, d'Eugène Fasquelle, concernant la présence du chapitre consacré à Balzac. Bob exemplaire bien relié de l'Edition originale, exemplaire de première émission.
Voyage en Europe dans une automobile immatriculée 628-E8. Exemplaire de première émission avec la faute "Abel Bonnard" pour Pierre Bonnard et surtout la présence des chapitres consacrés à Balzac et Mme Hanska, dont celui qui évoque en particulier la mort de Balzac, rapportée par Jean Gigoux, alors que Mme Hanska était sa maitresse. L'ensemble des pages consacrées à cette relation fut supprimé à la demande des héritiers de Balzac. (Reu-Bur)