‎D'embalette Jacques‎
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‎Edition midi libre. non daté. In-18. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Papier jauni. 64 pages. Couverture désolidarisée et légèrement abîmée.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎

Reference : RO40005134


‎ Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎

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‎BOURRELY, Marius‎

Reference : 63977

(1841)

‎[ 3 lettres autographes signées adressées à Melchior Barthès : ] 1 L.A.S. de 2 pages datée de Marseille le 17 avril 1874 : [ Marius Bourrely se réjouit d'être rentré en contact avec son confère, "que j'ai peut-être connu à mon séjour à St Pons en 1841. Votre lettre m'a rappelé d'agréables souvenirs et la mémoire d'un ami d'enfance que j'ai toujours porté dans mon coeur, Louis Boujol ] "J'accepte de grand coeur votre proposition d'échange de livres [... ] je commencerai toujours par mon premier volume de "Fables de La Fontaine", en vers provençaux, en attendant les autres. L'époque n'est guère à la littérature provençale et les souscripteurs se font tirer la manche. Je comprends cela par les tiraillements que nous fait éprouver la politique de nos gouvernants et jusqu'à ce que le problème de monarchie ou de République soit résolu, il en sera ainsi. Il faut avouer que nous sommes un singulier peuple et que la France une nation bien étrange. Votre qualité de Membre de la Société Archéologique de Béziers ne vous amènerait-elle pas dans cette ville, le 14 du mois prochain ? [ ... ] Je rêve aussi de revoir St Pons [ ... ] Excusez-moi si je ne vous ai pas répondu plus vite, mais j'étais en train d'achever les Fables de Florian, en provençal toujours, et mon oeuvre achevéen je vous au écrit" [...] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 4 juin 1877 : "Cher confrère, Beaucoup de gens voudraient pouvoir, comme vous, avoir la folie de publier un volume de poésies néo-romanes ; mais hélas ! pour beaucoup la fable du Renard et des raisins sera éternellement vraie. Ensuite ce volume vous ouvrira les portes du Majorat et qui sait si un jour vous ne serez pas appelé à occuper mon fauteuil ! Nous sommes tous mortels et je serai flatté de savoir ma Cigale d'Or passer dema boutonnière à celle de mon confrère érudit [il évoque ensuite la réclame qu'il fera pour lui, cite trois vers en provençal, évoque un M. Bizet de la gare de Cette, parle de sa brochure "Cigau e Cigalo" et conclut sur son homonyme Victor Bourrelly, de Rousset... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 27 juin 1878 : "Mon Cher Felibu, Je viens un peu tard vous accuser réception des deux derniers exemplaires des Flouretos ; mais il n'y a pas de ma faute [ cela en raison de la fête félibréenne qu'il détaille ] "Je vous ai adressé samedi Jan de La Valado" [... ] "J'ai propagé votre oeuvre dimanche, mais nos félibres marseillais ne sont pas languedociens et leur enthousiasme poétique ne dépasse pas Avignon. Mon dernier mot n'est pas dit, et je ne désespère par encore de vous trouver quelques adhérents dans nos contrées. J'accepte de bonne part les observations que vous me faites au sujet des Contes de La Fontaine, et je m'y attendais à l'avance ; aussi vous disais-je que cet ouvrage n'était pas destiné à la publicité. J'aurais pu employer mieux mon temps dites-vous. On ne peut pas faire toujours des oeuvres sérieuses et l'esprit a besoin, souvent, de se retremper dans la gaudriole pour reprendre son élan et s'élever dans les sphères plus hautes. Ma Muse est très inconstante et quand elle trouve des obstacles, elle aime à les franchir [ ... ] Que penserez-vous quand je vous dirai que j'ai entamé l'Orland Furioso de l'Arioste, un poème en 46 chants, toujours en provençal ? [etc... ]‎

‎3 L.A.S. adressées à Melchior Barthès, à savoir : 1 L.A.S. de 2 pages datée de Marseille le 17 avril 1874 : [ Marius Bourrely se réjouit d'être rentré en contact avec son confère, "que j'ai peut-être connu à mon séjour à St Pons en 1841. Votre lettre m'a rappelé d'agréables souvenirs et la mémoire d'un ami d'enfance que j'ai toujours porté dans mon coeur, Louis Boujol ] "J'accepte de grand coeur votre proposition d'échange de livres [... ] je commencerai toujours par mon premier volume de "Fables de La Fontaine", en vers provençaux, en attendant les autres. L'époque n'est guère à la littérature provençale et les souscripteurs se font tirer la manche. Je comprends cela par les tiraillements que nous fait éprouver la politique de nos gouvernants et jusqu'à ce que le problème de monarchie ou de République soit résolu, il en sera ainsi. Il faut avouer que nous sommes un singulier peuple et que la France une nation bien étrange. Votre qualité de Membre de la Société Archéologique de Béziers ne vous amènerait-elle pas dans cette ville, le 14 du mois prochain ? [ ... ] Je rêve aussi de revoir St Pons [ ... ] Excusez-moi si je ne vous ai pas répondu plus vite, mais j'étais en train d'achever les Fables de Florian, en provençal toujours, et mon oeuvre achevéen je vous au écrit" [...] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 4 juin 1877 : "Cher confrère, Beaucoup de gens voudraient pouvoir, comme vous, avoir la folie de publier un volume de poésies néo-romanes ; mais hélas ! pour beaucoup la fable du Renard et des raisins sera éternellement vraie. Ensuite ce volume vous ouvrira les portes du Majorat et qui sait si un jour vous ne serez pas appelé à occuper mon fauteuil ! Nous sommes tous mortels et je serai flatté de savoir ma Cigale d'Or passer dema boutonnière à celle de mon confrère érudit [il évoque ensuite la réclame qu'il fera pour lui, cite trois vers en provençal, évoque un M. Bizet de la gare de Cette, parle de sa brochure "Cigau e Cigalo" et conclut sur son homonyme Victor Bourrelly, de Rousset... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. de 3 pages datée de Marseille le 27 juin 1878 : "Mon Cher Felibu, Je viens un peu tard vous accuser réception des deux derniers exemplaires des Flouretos ; mais il n'y a pas de ma faute [ cela en raison de la fête félibréenne qu'il détaille ] "Je vous ai adressé samedi Jan de La Valado" [... ] "J'ai propagé votre oeuvre dimanche, mais nos félibres marseillais ne sont pas languedociens et leur enthousiasme poétique ne dépasse pas Avignon. Mon dernier mot n'est pas dit, et je ne désespère par encore de vous trouver quelques adhérents dans nos contrées. J'accepte de bonne part les observations que vous me faites au sujet des Contes de La Fontaine, et je m'y attendais à l'avance ; aussi vous disais-je que cet ouvrage n'était pas destiné à la publicité. J'aurais pu employer mieux mon temps dites-vous. On ne peut pas faire toujours des oeuvres sérieuses et l'esprit a besoin, souvent, de se retremper dans la gaudriole pour reprendre son élan et s'élever dans les sphères plus hautes. Ma Muse est très inconstante et quand elle trouve des obstacles, elle aime à les franchir [ ... ] Que penserez-vous quand je vous dirai que j'ai entamé l'Orland Furioso de l'Arioste, un poème en 46 chants, toujours en provençal ? [etc... ]‎


‎3 très belles lettres autographes signées adressées par l'écrivain d'expression provençale et majoral du Félibre Marius Bourrely (1820-1896) à son confrère le poète occitan de Pons-de-Thomières, Melchior Barthès (1818-1886). Ces lettres sont d'autant plus remarquables que Marius Bourrely fut le préfacier des "Flouretos" de Berthet, et qu'il s'y exprime sur les difficultés rencontrées dans la publication de la littérature occitane, et s'y justifie de sa traduction en provençal des "Contes" de La Fontaine.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR375.00 (€375.00 )

‎RENARD, Maurice‎

Reference : 53850

(1902)

‎[ Manuscrit autographe signé ] Page d'Histoire : [ Il évoque la mort du dauphin Louis puis continue ... ] "Et le peuple affranchi déjà de son tyran / Se souvint tout à coup des Comtes émigrants, / Douta de voir jamais leur race anéantie / Et n'osa point trouver la Libert grandie / Avec sous son pied rouge un cadavre nouveau, / Ce cadavre d'enfant et non de tyranneau. / Or, comme un meurtrier poursuivi par son crime / Voit toujours devant lui les traits de sa victime / O France qui ne fut méchante qu'une fois / Tu devrais le revoir ce fils blond de tes Rois / Et quand des imposteurs t'ont dit chacun : "Regarde!" / "Je suis Louis dix-sept ! " tu répondis, hagarde : / "Tous mes Rois sont morts, tous !" Et tu devais souffrir, / Car tu connaissais bien comme ils savaient mourir !" / 'Et c'était tout le temps et l'angoisse et la gêne / Dans cette liberté que tu goûtais à peine ! / Sans cesse on l'habillais de régimes nouveaux / Aussitôt rejetés, n'étant pas aussi beaux; / Tel un amant jaloux qui cherche avec ivresse / Les plus brillants joyaux pour parer sa maîtresse / Et n'en juge pas un digne de sa beauté, / Tel, le peuple, voulant orner la Liberté / Lui mit le Consulat après le Directoire / Et trouvant tour à tour chaque robe trop noire, / Chaque gouvernement trop étroit ou trop laid, / Enfin croyant trouver celui-là qu'il fallait / La força d'embrasser un vêtement, le pire / Et lui meurtrit le cou dans ce carcan : l'Empire / Mais nul ne supposa que son avènement / Sonnait pour nos aïeux l'heure du châtiment. / [ ... ] "Et la France partit dans la gloire au trépas ! / Et la France mourut ne s'apercevant pas / Qu'elle payait ainsi quelque dette divine, / Qu'un sabre châtiait alors la guillotine / Et que livrant à l'Aigle un par un tous ses fils / L'Aigle en les dévorant vengeait la fleur de Lys".‎

‎4 pages autographes de 49 vers signés sur 2 feuillets in-4 (avec deux repentirs), avec mention à l'encre, d'une autre main, en bas de la dernière page : "Paris Bd Saint Germain 1902" : Nous en livrons une transcription partielle : [ Manuscrit autographe signé ] Page d'Histoire : [ Il évoque la mort du dauphin Louis puis continue ... ] "Et le peuple affranchi déjà de son tyran / Se souvint tout à coup des Comtes émigrants, / Douta de voir jamais leur race anéantie / Et n'osa point trouver la Liberté grandie / Avec sous son pied rouge un cadavre nouveau, / Ce cadavre d'enfant et non de tyranneau. / Or, comme un meurtrier poursuivi par son crime / Voit toujours devant lui les traits de sa victime / O France qui ne fut méchante qu'une fois / Tu devrais le revoir ce fils blond de tes Rois / Et quand des imposteurs t'ont dit chacun : "Regarde!" / "Je suis Louis dix-sept ! " tu répondis, hagarde : / "Tous mes Rois sont morts, tous !" Et tu devais souffrir, / Car tu connaissais bien comme ils savaient mourir !" / 'Et c'était tout le temps et l'angoisse et la gêne / Dans cette liberté que tu goûtais à peine ! / Sans cesse on l'habillait de régimes nouveaux / Aussitôt rejetés, n'étant pas aussi beaux; / Tel un amant jaloux qui cherche avec ivresse / Les plus brillants joyaux pour parer sa maîtresse / Et n'en juge pas un digne de sa beauté, / Tel, le peuple, voulant orner la Liberté / Lui mit le Consulat après le Directoire / Et trouvant tour à tour chaque robe trop noire, / Chaque gouvernement trop étroit ou trop laid, / Enfin croyant trouver celui-là qu'il fallait / La força d'embrasser un vêtement, le pire / Et lui meurtrit le cou dans ce carcan : l'Empire / Mais nul ne supposa que son avènement / Sonnait pour nos aïeux l'heure du châtiment. / [ ... ] "Et la France partit dans la gloire au trépas ! / Et la France mourut ne s'apercevant pas / Qu'elle payait ainsi quelque dette divine, / Qu'un sabre châtiait alors la guillotine / Et que livrant à l'Aigle un par un tous ses fils / L'Aigle en les dévorant vengeait la fleur de Lys".‎


‎Beau poème autographe signé de Maurice Renard (1875-1939), l'écrivain à succès de nombreux romans fantastiques et de science-fiction, parmi lesquels le célèbre ouvrage "Les Mains d'Orlac". Dans le présent poème manuscrit, il évoque la mort tragique du dauphin Louis-Charles de France (1785-1795), connut comme "Louis XVII", et le poids de ce crime sur la conscience de la Nation... Bon tat (petites fentes en pliures)‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR390.00 (€390.00 )

‎BOCHSA, N. Ch. ; DUSSEK, J. L. ; HUMMEL, J. N. ; BEETHOVEN, Ludwig van ; PLEYEL, Ignace ; ROSSINI ; BEETHOVEN, Louis Van‎

Reference : 53852

(1810)

‎Deuxième Grand Concerto dit le Militaire, Pour la Harpe avec Accompagnement de Grand Orchestre, Composé et dédié au Duc de Wellington par N. Ch. Bochsa fils et exécuté pr l'Auteur à Londres [ Avec : ] Grand Quintetto pour Forté-Piano Avec Violon, Alto et Violoncelle Obligés, Contre-Basse Adlibi Composé par J. L. Dussek [ Avec : ] Grand Trio pour le Piano-Forte, Violon et Violoncelle, Composé par J. N. Hummel [ Avec : ] Trois Trios pour le Piano-Forte, Violon et Violoncelle Composés et dédiés A S. A. Mgr Le Prince Charles Lichnowsky par L. Van Beethoven Oeuvre 1 N°1 [ Avec : ] Grand Trio pour Piano Forte, Clarinette ou Violon et Violoncelle par L. Van Beethoven Op. 11 [ Avec : ] Sonate pour Forte-Piano avec un Cor ou Violoncelle Composée ou dédiée A Madame la Baronne de Braun par Louis van Beethoven Op. 17 [ Avec : ] Variations pour le Piano-Forte avec Violoncelle obligé sur le thème Je vais Revoir l'Amant que j'Aime dans l'Opéra des Mystères d'Isis de Mozart, composées et dédiées A Son Excellence Monsieur Le Comte de Browne, Brigadier au Service de l'Empereur de S. M. l'Empereur de Russie, par Louis van Beethoven [ Avec : ] Variations sur l'Air des Mystères d'isis par Mozart La Vie est un Voyage pour Le Piano Forte Avec un Violoncelle obligé Composée par Louis Van Beethoven [ Avec : ] Trois Sonates pour Piano-Forte Violon & Violoncelle tirées des nouveaux Quintetti de Boccherini par Ignace Pleyel, Oeuvre 1ère Première et deuxième Sonates [ Avec : ] Ouverture della Gazza Ladra pour le Piano Forte Musique de Rossini‎

‎1 vol. grand in-4 reliure de l'époque demi-vélin blanc, supra libris au nom de "Malvina Balaresque", s.d. (circa 1805-1825), Deuxième Grand Concerto dit le Militaire, Pour la Harpe avec Accompagnement de Grand Orchestre, Composé et dédié au Duc de Wellington par N. Ch. Bochsa fils et exécuté par l'Auteur à Londres, Veuve Dufaud & Dubois (avec signature manuscrite), avec étiquette rajoutée Augn Filliatre et Neveu, 31 pp. [ Avec : ] Grand Quintetto pour Forté-Piano Avec Violon, Alto et Violoncelle Obligés, Contre-Basse Adlibi Composé par J. L. Dussek Op 41 ou 47 , Chez Sieber Père, Paris (avec signature manuscrite), avec étiquette rajoutée Augn Filliatre et Neveu, 21 pp. [ Avec : ] Grand Trio pour le Piano-Forte, Violon et Violoncelle, Composé par J. N. Hummel, Chez Sieber Père, Paris (avec signature manuscrite), avec étiquette rajoutée Augn Filliatre et Neveu, 21 pp. [ Avec : ] Trois Trios pour le Piano-Forte, Violon et Violncelle Composés et dédiés A S. A. Mgr Le Prince Charles Lichnowsky par L. Van Beethoven Oeuvre 1 N°1, Chez Sieber Père, Paris (avec signature manuscrite), avec étiquette rajoutée Augn Filliatre et Neveu, 17 pp.[ Avec : ] Grand Trio pour Piano Forte, Clarinette ou Violon et Violoncelle par L. Van Beethoven Op. 11, Chez Pleyel Père et Fils, Paris, 19 pp. [ Avec : ] Sonate pour Forte-Piano avec un Cor ou Violoncelle Composée ou dédiée A Madame la Baronne de Braun par Louis van Beethoven Op. 17 et dédiés A S. A. Mgr Le Prince Charles Lichnowsky par L. Van Beethoven Oeuvre 1 N°1, Chez Sieber Père, Paris (avec signature manuscrite), avec étiquette rajoutée Augn Filliatre et Neveu, 13 pp. [ Avec : ] Variations pour le Piano-Forte avec Violoncelle obligé sur le thème Je vais Revoir l'Amant que j'Aime dans l'Opéra des Mystères d'Isis de Mozart, composées et dédiées A Son Excellence Monsieur Le Comte de Browne, Brigadier au Service de l'Empereur de S. M. l'Empereur de Russie, par Louis van Beethoven, Chez Embault, , avec étiquette rajoutée Augn Filliatre et Neveu, 11 pp. [ Avec : ] Variations sur l'Air des Mystères d'Isis par Mozart La Vie est un Voyage pour Le Piano Forte Avec un Violoncelle obligé Composée par Louis Van Beethoven, Chez Embault, , avec étiquette rajoutée Augn Filliatre et Neveu, 11 pp. [ Avec : ] Trois Sonates pour Piano-Forte Violon & Violoncelle tirées des nouveaux Quintetti de Boccherini par Ignace Pleyel, Oeuvre 1ère Première et deuxième Sonates, Chez Ignace Pleyel, Paris, 43 et 43 pp. [ Avec : ] Ouverture della Gazza Ladra pour le Piano Forte Musique de Rossini, Chez Pacini, Paris, avec étiquette rajoutée Augn Filliatre et Neveu, 11 pp.‎


‎Beau recueil de partitions gravées. Etat très satisfaisant (une tache d'encre en dos et plat, cartonnage lég. frotté, bon état par ailleurs)‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR1,300.00 (€1,300.00 )

‎SEGALEN Victor‎

Reference : 79615

(1904)

‎Lettre autographe signée adressée à Emile Mignard : "J'aurais été fort triste de ne plus revoir Tahiti. Le départ de cette île a cela de spécial qu'il est définitif et qu'il n'y a guère, pour les sympathies qu'on laisse là-bas, derrière soi, de valable Au Revoir."‎

‎Nouméa 15 mai 1904, 11,5x17,8cm, 4 pages sur un double feuillet.‎


‎Lettre autographe signée de Victor Segalen adressée à Emile Mignard. Quatre pages rédigées à l'encre noire et au crayon de couleur bleu sur un double feuillet.Pliure transversale inhérente à l'envoi. Emile Mignard (1878-1966), lui aussi médecin et brestois, fut l'un des plus proches amis de jeunesse de Segalen qu'il rencontra au collège des Jésuites Notre-Dame-de-Bon-Secours, à Brest. L'écrivain entretint avec ce camarade une correspondance foisonnante et très suivie dans laquelle il décrivit avec humour et intimité son quotidien aux quatre coins du globe. C'est au mariage de Mignard, le 15 février 1905, que Segalen fit la connaissance de son épouse, Yvonne Hébert. Segalen se trouve à Nouméa, ville qu'il exècre, depuis début avril 1904. Il a assisté au conseil de santé réunissant chaque année les médecins des navires de la division française du Pacifique pour décider des convalescences, congés et mutations. Depuis plus de deux semaines, un problème d'ordre mécanique empêche la Durance de quitterNouméa. Il avait même été envisagé, comme le relate Segalen dans une lettre écrite à Mignard le 10 mai 1904, le désarmement du navire vieillissant à Saïgon, sans escales à Tahiti. Il vient cependant d'apprendre qu'il pourra regagner son île pour quelques mois avant son retour en métropole: «Transes. Joyes. Retranses. Espoirs mitigés de retour vers Tahiti, et crainte subconsciente du désarmement à Nouméa, de mon passage sur la Meurthe, stationnaire du pays. Huit mois de Calédonie!!! Mon bilan des 15 derniers jours. Néanmoins tout semble s'arranger et surtout nos vieilles chaudières qui étaient en cause. J'aurais été fort triste de ne plus revoir Tahiti.» Pour une raison demeurée inconnue, un très beau passage concernant Tahiti a été barré au crayon de couleur bleu: «J'aurais été fort triste de ne plus revoir Tahiti. Le départ de cette île a cela de spécial qu'il est définitif et qu'il n'y a guère, pour les sympathies qu'on laisse là-bas, derrière soi, de valable Au Revoir.» Cet exil nouméen permet à Segalen de poursuivre la rédaction de ses Immémoriaux, qui paraîtra finalement en 1907 au Mercure de France sous le pseudonyme de Max-Anély (Max en hommage à Max Prat et Anély, l'un des prénoms de sa femme), Segalen n'étant pas autorisé, en sa qualité de médecin militaire, à signer une uvre fictionnelle de son patronyme: «Les feuillets raturés s'accumulent; j'espère rentrer avec les 2/3 de «composés» [...] Je voudrais avoir remis les épreuves avant ma prochaine campagne; de façon à clore en même temps un gros morceau de vie intense, être paré à de nouveaux spectacles, resensibilisés pour de nouvelles races et de nouveaux soleils.» - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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EUR2,000.00 (€2,000.00 )

‎De Stael (Nicolas) - Anne de Staël - Jean-Luc Daval‎

Reference : 1765

‎Revoir Nicolas de Stael - catalogue édité à l'occasion de l'exposition ""Revoir Nicolas de Staël"", à la galerie Jeanne Bucher du 21 mai au 12 juillet 1981"‎

‎ Galerie Jeanne Bucher à Paris 1981, 1981. Book Condition, Etat : Bon broché In-4 1 vol. - 60 pages Contents, Chapitres : Anne de Stael : Esquisse d'un portrait - Jean-Luc Daval : Revoir Nicolas de Stael (une trentaine de pages de présentation) - 64 illustrations dont 7 en couleurs‎


‎RAY GAL ‎

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