‎Zaragoza Georges‎
‎Le personnage de théâtre‎

‎Armand Colin. 2006. In-8. Broché. Bon état, Coins frottés, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 173 pages. Légères mouillures.. . . . Classification Dewey : 792-Théâtre‎

Reference : RO30367650
ISBN : 2200340443


‎"Collection ""Lettres sup"". Classification Dewey : 792-Théâtre"‎

€29.80 (€29.80 )
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‎PARIS THÉÂTRE (Revue Mensuelle)‎

Reference : 13994

Phone number : 04 78 38 32 46

EUR8.00 (€8.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R110041719

(1962)

‎LES ANNALES 69e ANNEE N°146 - Les objets et les hommes : curiosité et commerce des arts, par Maurice RHEIMS. — Livres d’art : Du Tassili aux peintres d’aujourd’hui, par G. GASSIOT-TALABOT. — Un personnage de théâtre : Madame Angot, par Francis AMBRIÈRE.‎

‎AU BUREAU DU JOURNAL. DECEMBRE 1962. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 64 pages. Texte en colonnes. Nombreuses photographies en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.493-Les annales / Conferancia‎


‎Revue mensuelle des lettres françaises. Sommaire : Les objets et les hommes : curiosité et commerce des arts, par Maurice RHEIMS. — Livres d’art : Du Tassili aux peintres d’aujourd’hui, par G. GASSIOT-TALABOT. — Un personnage de théâtre : Madame Angot, par Francis AM BRI ÈRE. — Aux pièges de l’amour, par Raymond LAS VERGNAS. — Mozart, II. Le génie meurt toujours seul : les ténèbres de la fin, par Jean MISTLER. — Les films du mois, par Jacques NELS. —Le mois à Paris, par GÉRALD. Classification Dewey : 70.493-Les annales / Conferancia‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎LE GALLOIS de GRIMAREST Jean Léonard‎

Reference : 102.744

‎"La vie de Jean-Baptiste Poquelin de Molière; très fameux comédien, tant par son personnage en théâtre que par ses uvres qu'il a composez."‎

‎Bruxelles, Chez Jean de Smedt, 1706. 8 x 14, 179-9 pages, bandeaux, lettrine et culs-de-lampe, reliure d'époque plein cuir, dos cuir à 4 nerfs, dos orné de 5 fleurons, bon état (peu de rousseurs).‎


‎1 gravure en frontispice.‎

Librairie Ausone - Bruxelles

Phone number : 32 (0)2 410 33 27

EUR100.00 (€100.00 )

‎THEVENET Lucie.‎

Reference : 29895

ISBN : 9782251324562

‎Le personnage : Du mythe au théâtre. La question de l'identité dans la tragédie grecque.‎

‎<meta charset="utf-8"><div id="description-content" data-mce-fragment="1"><p data-mce-fragment="1">Quand le théâtre contemporain parle de la crise du personnage, de sa déconstruction, il n'est pas inutile de se pencher sur sa constitution à travers l'exemple fondateur de la tragédie grecque, pour y interroger la prétendue unicité du personnage.</p><p data-mce-fragment="1">C'est l'objet du livre de Lucie Thévenet. Il met au jour la tension qui, chez Eschyle, Sophocle et Euripide, se crée entre les différents éléments du mythe et le passage à la scène, puis, de pièce en pièce, dans les parcours que dessinent les réemplois des mêmes personnages mythologiques et les échos de leurs trajectoires.</p><p data-mce-fragment="1">Dans le labyrinthe du moi, un fil directeur: lire les passages dans lesquels le personnage énonce sa propre identité, avec l'idée que la parole sur l'identité personnelle, affirmée ou niée selon le type de scène, renseigne sur la construction du personnage, dans son trajet du mythe au théâtre, jusque dans l'élaboration de sa dimension tragique même.</p><p data-mce-fragment="1">Lucie Thévenet est titulaire d'un doctorat en Langue et Littérature grecques anciennes de l’Université de Caen. Ses travaux de recherche portent sur la tragédie grecque, ce qui l’a amenée à enseigner le théâtre antique en filière littéraire et en arts du spectacle. Agrégée de lettres classiques, elle donne actuellement des cours de français dans le secondaire et de grec à l’université.</p></div> Paris, 2009 Les Belles Lettres 366 p., broché. 15 x 21,5 ‎


‎Neuf‎

Antinoë - Brest

Phone number : 02 98 80 52 48

EUR45.00 (€45.00 )

‎PERRIN, Emile‎

Reference : 44449

(1860)

‎Chronique Musicale. [ Manuscrit autographe signé de 12 pp. in-8, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860 ] "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎

‎Manuscrit signé de 12 feuillets in-8 oblong rédigés au recto, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860, tome IX, pp. 409-413 : Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et de sa réception en France sont très informées. "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎


‎Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et la présentation de sa réception en France sont celles d'un critique très informé. Manuscrit provenant du fonds Dentu (l'éditeur Edouard Dentu prit la direction de la Revue Européenne de 1859 à 1862).‎

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