Minerva. 1995. In-Folio. Cartonné. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 144 pages illustrées de très nombreuses photos en couleurs, dans et hors texte. Contre-plats illustrés de photos en couleurs.. . . . Classification Dewey : 908.449-Régionalisme : Provence-Alpes-Côte-d'Azur
Reference : RO30323901
ISBN : 2830701348
Classification Dewey : 908.449-Régionalisme : Provence-Alpes-Côte-d'Azur
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
MINERVA. non daté. In-4. Cartonnage d'éditeurs. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 126 pages. Nombreuses illustrations en couleurs, dans le texte et hors texte.. . . . Classification Dewey : 908.449-Régionalisme : Provence-Alpes-Côte-d'Azur
Classification Dewey : 908.449-Régionalisme : Provence-Alpes-Côte-d'Azur
COTE MAGAZINE. 2006. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 226 pages augmentées de nombreuses photos en couleurs in texte dont contre-plats.. . . . Classification Dewey : 908.449-Régionalisme : Provence-Alpes-Côte-d'Azur
Classification Dewey : 908.449-Régionalisme : Provence-Alpes-Côte-d'Azur
Saint Jean-Cap-Ferrat 4 N ovembre 1958, 13,5x21cm, trois pages et demi sur deux feuillets.
Lettre autographe signée de Jean Cocteau, 52 lignes à l'encre bleue, à Olivier Quéant adressée depuis la villa Santo-Sospir de Saint Jean Cap-Ferrat qu'il a décorée. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli. Jean Cocteau s'enthousiasme bucoliquement pour le lieu où il réside et travaille : "... chaque jour je travaille à flanc de colline dans une sorte de ferme exquise où ne fleurisse que les grains qui tombent d'ailleurs..." et s'extasie sur l'artisanat local : "... des artisans véritables.. travailler chez eux c'est le contraire de lire un journal. On aime voir ce miracle de l'équilibre entre le coeur et la main..." Il informe Olivier Quéant de sa prochaine exposition : "J'expose le 15 (13 pour la première) 6, rue Bonaparte. je ne te demande pas de venir voir mes oeuvres mais leur besogne, ils le méritent." et lui explique également les causes esthétiques qu'il entend défendre désormais : "... nous menons la même croisade : celle de soutenir ces braves types qu'on dédaigne comme des aristocrates du milieu ouvrier. Le drame c'est que l'artiste qui tournait amoureusement un pied de fauteuil Louis 15 apporte la même application (mais froide) à forger la pièce d'une machine qui fabriquera le fauteuil." tout en déplorant que les traditions artisanales et la savoir-faire sombrent dans l'oubli : "... les jeunes refusent d'apprendre le métier, par exemple des femmes de soixante ans qui firent ce prodige : ma tapisserie de Judith et Holopherne... disaient : c'est la dernière ." Il espère voir son ami Olivier Quéant bientôt : "Tu en verras une chez les Weill si tu me fais la grâce de venir et si le déluge parisien cesse et si tu ne dois pas atteindre la rue Bonaparte en arche ou gondole." - Photos sur www.Edition-originale.com -