‎Axelrad Edouard‎
‎le jaune‎

‎Michel Pastoureau: Jaune. Histoire d'une couleur.‎

‎<meta charset="utf-8"><div class="texte" id="description-ouvrage" data-mce-fragment="1"><div class="texteLong" data-mce-fragment="1"><p data-mce-fragment="1">Or, soleil, chaleur, citron, prospérité, soufre, mensonge, bile, trahison, folie.</p><p data-mce-fragment="1">Des origines à nos jours, une histoire de la couleur jaune racontée par l’historien Michel Pastoureau.</p></div></div><div class="achat no-print" data-mce-fragment="1"></div> Paris, 2022 Points 256 p., broché. 11,5 x 17,5‎

‎Neuf‎

‎De la Fièvre jaune, observée aux Antilles et sur les Vaisseaux du Roi, considérée principalement sous le rapport de sa transmission.‎

‎Paris, Imprimerie Royale, 1823. 1 vol. in-8, (23 x 15,5 cm) ; faux-titre, frontispice, titre, [2] ff., 64 pp. Broché, sous couverture d'attente de papier bleu. Non rogné. ‎

‎Ouvrage sur la fièvre jaune écrit à une époque où les médecins ne connaissaient pas encore vraiment la nature de cette maladie. En général, ils étaient divisés entre ceux qui croyaient à la contagion et ceux qui n'y croyaient pas. Dans cet ouvrage, qui fut tout d'abord publié, sans frontispice, en 1822 dans la Revue des Deux Mondes, l'auteur expose les deux hypothèses mais ne prend pas parti. Il s'intéresse plutôt à la protection de la fièvre jaune à bord des vaisseaux. Pendant le premier quart du XIXe siècle, la fièvre jaune était le fléau des Antilles, et les vaisseaux contaminés avaient transporté l'épidémie en Europe avec des résultats dévastateurs. Aux Antilles, Napoléon perdit les troupes qui n'avaient pas été déjà décimées par les Haïtiens. En 1821, dix des quinze médecins français qui étaient aux Antilles moururent de la fièvre jaune. Le frontispice, lithographié par Villain d'après Arago, est dédicacé "À la Mémoire des Officiers de santé de la Marine royale victimes de la Fièver jaune aux Antilles en 1821". Pierre-François Keraudran (1769-1858) était inspecteur général du service de santé de la Marine. La première partie est un examen des motifs d'après lesquels on prétend que la fièvre jaune n'est jamais contagieuse. La deuxième partie montre les nouveaux faits concernant la transmission de la fièvre jaune et traite de la prophylaxie de la fièvre jaune sur les vaisseaux. Y sont données les recommandations nécessaires à suivre pour éviter de convoyer la maladie en France : l'assainissement, la ventilation, et la mise en quarantaine aussi bien des individus malades que des vaisseaux contaminés. Polak, 4847. ‎

‎Le NAIN JAUNE, ou Journal des Arts, des Sciences et de la Littérature.‎

‎fain Paris 1814-15 2 vol. 2 vol. in-8 de 2 ff.n.ch. XCVI 388 pp. et de 389 à 540 pp. 456 pp. 72 pp. (Fantaisies), cartonnage XIXème à la bradel, pièces de titre et de tomaison.‎

‎Collection complète de ce fameux journal satirique dirigé par Cauchois-Lemaire, les principaux rédacteurs étaient Merle, Jouy, Etienne, comptait parmi ses collaborateurs anonymes, où le titre n'apparaît qu'avec le n°341, tandis que les quatre numéros de tête (337, 338, 339 et 340) portent encore le titre de Journal des Arts des Sciences et de la Littérature (Hatin, p. 286). Réunion de 43 livraisons, publiées du 15 décembre 1814 au 15 juillet 1815 à Paris. Suivi, dans la même reliure, de : - Le NAIN JAUNE réfugié. Bruxelles, imp. de Wahlen, mars-novembre 1816. 2 vol. in-8 de 432 pp. et 568 pp. 42 livraisons du Nain jaune réfugié, imprimées entre mars et décembre 1816 à Bruxelles, où Cauchois-Lemaire était exilé, supprimé lors du retour des Bourbons. Avec l'unique livraison parue du Nain tricolore (imprimé dans la pagination en 3 couleurs), dont l'éditeur et les rédacteurs furent arrêtés et condamnés à la déportation peu de temps après sa publication. "Ce fut la rédaction du Nain Jaune qui inventa l'ordre des chevaliers de l'Eteignoir comprenant les personnalités les plus notables du parti de l'Ancien Régime, et l'ordre de la Girouette, dans lequel on comprit les hommes politiques les plus connus par la variation de leurs opinions. Le journal soutint Napoléon lors des Cent-Jours et fut supprimé au second retour des Bourbons le 15 Juillet 1815". Ouvrage complet des 8 grandes caricatures dépliantes en couleurs numérotées et du brevet en noir de l'Ordre sombre de l'éteignoir (le second brevet de l'Ordre de la girouette manque) : représentant les Journaux - les Théâtres - la Réception d'un Chevalier de l'Éteignoir - la Constitution - l'Homme aux six têtes - la Balance politique - les Descentes de croix, la Colonne Vendôme (seule et unique planche appartenant à la série bruxelloise). Notre exemplaire comporte plusieurs particularités : - Le numéro du 18 juin 1816 commémorant la défaite de Waterloo est relié avec sa couverture de "deuil" noire. - Opuscule supplémentaire : Fantaisies politiques, morales, critiques et littéraire, à la fin du second volume du "Nain jaune". - Impression de l'explication de la caricature de la "place Vendôme". Et enfin, deux livraisons de couverture, conservées. Il manque malheureusement les 8 pages de tables du volume III. Collections complètes des "Nain jaune". Rares (Hatin, 320-324 – Vicaire VI, pp. 19-22).‎

‎[André Citroën, Croisière Jaune] Lettre signée 19 octobre 1933‎

‎ L.S., Paris, 19 octobre 1933. 1p in-4. Belle lettre à en-tête « Mission scientifique et artistique française à travers l'Asie - Expédition Citroën Centre-Asie - 3e Mission G-M Haardt L.Audouin-Dubreuil » avec bordure de deuil (Georges-Marie Haardt est décédé des suites de la maladie contractée pendant la Croisière Jaune). Dans cette lettre signée Goerger, il est fait mention d'un paiement pour les services rendus par l'Argus de la Presse. Rare en-tête. ‎

‎[André Citroën, Croisière Jaune] Lettre signée 26 janvier 1933‎

‎L.S., Paris, 26 janvier 1933. 1p in-4. Belle lettre à en-tête « Mission scientifique et artistique française à travers l'Asie - Expédition Citroën Centre-Asie - 3e Mission G-M Haardt L.Audouin-Dubreuil » avec bordure de deuil (Georges-Marie Haardt est décédé des suites de la maladie contractée pendant la Croisière Jaune). Dans cette lettre signée par Goerger, il est fait mention d'un paiement pour les services rendus par l'Argus de la Presse. Rare en-tête. ‎