‎Doherty Berlie‎
‎Chez inconnue‎

‎Gallimard. 2002. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 255 pages.Achevé d'imprimer en Septembre 2002.. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne‎

Reference : RO30305715
ISBN : 2070536823


‎Traduit de l'anglais par Anne Krief. Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne‎

€14.90 (€14.90 )
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‎Journal de la Société des Africanistes - R. Decary - C. Le Cur - Cap. Gay - J. Fourneau - Cap. Carrique - Dr. G. Muraz - E. Passemard, H. De Saint-Floris - A. Bowler-Kelley - Th. Monod‎

Reference : 82490

(1935)

‎"Revue Journal de la Société des Africanistes - Tome V - Fascicule 1 (seul) , (Les tatouages chez les indigènes de Madagascar - Le Tibesti et les Téda : une circoncision (Tchad) - Sur la ""Sebiba"" - Le Néolithique au Cameroun - Notice sur la ""Ville inconnue"" découverte à N'Galaha (Borkou) - Remarque sur un champignon, ceinture de parure - Les peintures rupestres de l'Ennedi - Sur une pointe provenant de Healdtown (Province du Cap) - Notes bibliographiques sur le Sahara occidental)"‎

‎Journal de la Société des Africanistes Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1935 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur crème grand in-8 1 vol. - 124 pages‎


‎Fascicule 1 : 8 planches totalisant près de 25 photographies et 13 planches montrant 57 peintures rupestres de l'ennedi, quelques figures dans le texte 1ere édition, 1935 "Contents, Chapitres : Fascicule 1 : R. Decary : Les tatouages chez les indigènes de Madagascar - C. Le Cur : Le Tibesti et les Téda : une circoncision (Tchad) - Cap.Gay : Sur la ""Sebiba"" - J. Fourneau : Le Néolithique au Cameroun - Cap. Carrique : Notice sur la ""Ville inconnue"" découverte à N'Galaha (Borkou) - Dr. G. Muraz : Remarque sur un champignon, ceinture de parure - E. Passemard, H. De Saint-Floris : Les peintures rupestres de l'Ennedi - A. Bowler-Kelley :Sur une pointe provenant de Healdtown (Province du Cap) - Th. Monod : Notes bibliographiques sur le Sahara occidental - Bibliographie africaniste en fin d'ouvrage" Paginé 1 à 124 - Infimes pliures sur les bords des plats avec des petites déchirures sans gravité, un micro petit manque sur le bord du mors du plat supérieur, la couverture reste en bon état, l'intérieur est propre mais le papier est un peu jauni, bien complet des 21 planches hors-texte (Fascicule 1 seul de l'année 1935, tome V, complet en lui-même, sans le fascicule 2 qui aborde d'autres articles) - Bord d'une planche legerement effrangé, petit défaut d'ouverture sans gravité‎

Librairie Internet Philoscience - Malicorne-sur-Sarthe
EUR25.00 (€25.00 )

‎Collectif‎

Reference : RO10042847

(1904)

‎Le globe trotter n° 148 - Une battue chez les Papous - terre inconnue, Jacques Rodier, chapitre VII par G. de Wailly, Une évasion du bagne par E. Istivie, La garde indigène du Dahomey, occupations variées par G.F., Une chasse au babiroussa par Jean‎

‎Cloitre Saint Honoré.. 1er décembre 1904. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Déchirures. Paginé de 337 à 352. Nombreuses gravures en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 910.4-Voyages‎


‎Sommaire : Une battue chez les Papous - terre inconnue, Jacques Rodier, chapitre VII par G. de Wailly, Une évasion du bagne par E. Istivie, La garde indigène du Dahomey, occupations variées par G.F., Une chasse au babiroussa par Jean Méphisto, Vers l'écueil de Minicoy, chapitre VI par le comte Festetics de Tolna Classification Dewey : 910.4-Voyages‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎Collectif‎

Reference : RO10040444

(1947)

‎Journal des voyages et des aventures de terre, de mer et de l'air, nouvelle série n° 95 - La grotte au trésor par Raymond Doudain, L'amazone inconnue, 9 mois chez les indiens ignorés du matto-grosso par Roger Courteville, La cierva et ses autogires par A.‎

‎Bureau du journal. 18 décembre 1947. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 1877 à 1892. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.4412-Le journal des voyages‎


‎Sommaire : La grotte au trésor par Raymond Doudain, L'amazone inconnue, 9 mois chez les indiens ignorés du matto-grosso par Roger Courteville, La cierva et ses autogires par A. de Gobart, Le meurtrier insaisissable par Henriette Robitaillé, L'envers du décor colonial, insalubrité des régions tropicales par Jean Dissard Classification Dewey : 70.4412-Le journal des voyages‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎[Imprimerie Emile Flouret] - ‎ ‎DE LA BATUT, Jeanne et Pierre‎

Reference : 44471

(1900)

‎Carnet Manuscrit de "Souvenirs et anecdotes de Tante Lair", Angèle Lair, fille du peintre Alexandre-Gabriel Decamps, vraisemblablement notés par sa nièce Jeanne Dentu Epouse De La Batut puis son petit neveu Pierre de La Batut.[ Anecdotes sur Decamps, Gambetta, Emile Gaboriau, etc. ] : [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎

‎1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎


‎Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR180.00 (€180.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110629905

(1898)

‎Le Figaro illustré 16e année n° 95 - Buste de femme, une inconnue, La dompteuse de Bois-Colombes par Edouard Cadol, Chez Ménélik, le programme d'un livre par Gabriel Bonvalot, La bouquetière du pont neuf par Georges Cain, Les dangers du symbolisme‎

‎Boussod, Valadon et Cie. Février 1898. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 21 à 40. Nombreuses illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte. Couverture en couleurs.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Buste de femme, une inconnue, La dompteuse de Bois-Colombes par Edouard Cadol, Chez Ménélik, le programme d'un livre par Gabriel Bonvalot, La bouquetière du pont neuf par Georges Cain, Les dangers du symbolisme par Judith Gautier Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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