André Barry. Non daté. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 53 pages augmentées de nombreuses photos en noir et blanc, dans et hors texte. .. . . . Classification Dewey : 728.8-Château
Reference : RO30302098
"Collection ""Monographies des châteaux de France"" Classification Dewey : 728.8-Château"
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Chambord sous toutes ses couleurs [Paris], Imprimerie de P. Didot l'aîné, [1821]. 1 vol. in-folio de 2 f. n. ch. (faux-titre et titre , présentant chacun une vignette lithographiée), 33 p. imprimées sur papier de différentes couleurs (vert, bleu, rose, crème), avec 3 vignettes lithographiées, 11 planches lithographiées (dont 2 plans) sur fond teinté et sur papiers de couleurs, avec rehauts de couleurs à la main. Demi-maroquin cerise, dos lisse orné de guirlandes et fleurons dorés, coins en vélin vert, couverture imprimée conservée. Unique édition de ce très bel album, établi au moment de la souscription nationale en faveur du duc de Bordeaux, futur comte de Chambord. Rarissime sinon unique exemplaire imprimé sur papiers de couleurs : les différentes parties du texte sont tirées sur papier vert, crème, rose et bleue, ainsi que les planches gravées, toutes rehaussées à la main. Les titres et têtes de chapitres sont également enluminées dans d'éclatants coloris, rendant cet exemplaire tout à fait exceptionnel : aucun autre exemplaire sur papier de couleur et rehauts n'est référencé. Onze planches et plans gravés, dessinés par Fragonard, Périé, Villeneuve, Dupré et Desmadryl.
Un symbole du pouvoir royal et de la puissance de la France : c'est ainsi que François Ier, son bâtisseur, a voulu Chambord, un palais surgit au coeur des terres marécageuses de Sologne. Le vaste domaine boisé de Chambord fut à l'originale acheté en 1392 aux comtes de Blois par la famille d'Orléans : lorsque le duc d'Orléans devient roi de France en 1498 sous le nom de Louis XII, le domaine de Chambord devient alors propriété de la Couronne. C'est à son retour d'Italie en 1516 que François 1er décide de réaliser l'édifice, dont le chantier s'ouvre en 1519, sur l'emplacement d'un ancien château fort. À partir de 1526, 1 800 ouvriers travaillent à la construction du château, qui va nécessiter quelques 220 000 tonnes de pierres de tuffeau. Elle s'achève après de multiples agrandissements en 1547, à la mort du roi, par l'aile des appartements royaux. Chambord n'est pas conçu pour être une résidence permanente : François Ier n'y passe que quelques semaines, pour quelques parties de chasse et pour démontrer à des souverains et ambassadeurs son pouvoir et affirmer sa puissance face à son rival, Charles Quint. Le plan du château et ses décors ont été conçus autour d'un axe central : le fameux escalier à doubles révolutions qui mène à l'immense terrasse supérieure et au foisonnement féérique des cheminées et chapiteaux sculptés qui la jalonnent. En 1639, Louis XIII offre Chambord à son frère Gaston d'Orléans, mais il faut attendre le règne de Louis XIV pour que l'édifice soit enfin achevé : ce dernier faire couvrir la chapelle et relie les quatre appartements du vestibule nord du premier étage en enfilade pour en faire son logis, avec la création d'en théâtre - une architecture intérieure que l'on retrouvera au château de Versailles : Molière y a donné sa première représentation du Bourgeois gentilhomme le 14 octobre 1670. Chambord sera relativement épargné par la Révolution : le château est pillé et le gouvernement révolutionnaire fait vendre le mobilier en 1792, mais le monument échappe à la destruction. Il connaît ensuite une longue période d'abandon avant que Napoléon n'en fasse don en 1809 au maréchal Berthier, prince de Neuchâtel et Wagram, en remerciement de ses services. Ce dernier n'y fait qu'un court séjour et sa veuve, Elisabeth de Bavière, demande en 1821 rapidement l'autorisation de vendre cette grande demeure en mauvais état. Grâce à une souscription nationale qui fait grand bruit, le domaine est offert au jeune Henri d'Artois, duc de Bordeaux - petit-fils du roi Charles X -, né l'année précédente, sept mois après l'assassinat de son père, le duc de Berry et, pour cette raison, baptisé «l'enfant du miracle». C'est à cette occasion qu'est réalisé l'ouvrage : il est imprimé par le maître-imprimeur de l'époque, Pierre Didot : c'est le fils de François-Ambroise Didot et le frère aîné de Firmin Didot, qui grave les caractères utilisés pour le volume. Le volume se compose d'un avant-propos (2 p.), d'une introduction (4 p.), de l'Origine et description du Château de Chambord (10 p.) et enfin des Anecdotes historiques sur le Château de Chambord (17 p.) : des textes qui rassemblent, pour la première fois, nombre de données passionnantes et de premières main sur l'histoire du Domaine et la construction du château. Son auteur est Jean-Toussaint Merle qui, à l'aube de la période romantique, se laissent aller à la « la légende des fées bâtisseuses» : «les historiens du XIXe se sont laissés prendre au piège de la vision de Chambord comme incarnation d'un rêve, réclamant le concours de puissances parallèles pour en comprendre la construction (...) Il est peu de monuments qui de tout temps aient aussi vivement impressionné l'imagination de ceux qui l'abordèrent [...]. Quant aux Romantiques, ils exultent, à commencer par les historiens du château, Merle et La Saussaye. C'est la demeure des fées, un « palais enchanté », un « château magique » [...]. Toute une légende s'est créée à son sujet et la réalité elle-même prend ici une allure de légende. On a voulu contre toute vraisemblance (surtout pour les deux premiers), y voir l'oeuvre de Vignole, du Primatice et de Léonard de Vinci." (cité par p. 33). Malgré cela, force est de constater le merveilleux de la réalisation : Merle et son dessinateur Périé, fascinés par la profusion sculptée des terrasses, expriment l'étendue de leur admiration en imaginant que seul un enchantement secret a pu permettre aux sculpteurs de venir à bout d'un si bel ouvrage : « Nous ne craindrions pas de dire qu'une seule niche, une seule cheminée, un seul couronnement de croisée, a dû coûter une année de soins au ciseau de l'artiste le plus exercé ; et comment l'imaginer cependant, quand on réfléchit qu'il serait impossible d'évaluer le nombre de ces prodigieux ornements ». A la suite des textes, onze planches viennent illustrer le recueil : elles sont l'oeuvre d'Antoine-Hilaire-Henri Périé de Senovert, mieux connu sous le nom d'Hilaire Périé : cet ancien élève de David sera, à partir de 1831, conservateur du Musée de beaux-arts de Nîmes : il donne les dessins in-texte, dont les célèbres Deux personnages de la cour se rencontrant en haut de l'escalier menant à la lanterne et le François Ier écrivant son célèbre distique sur une vitre, accompagné de sa soeur Marguerite de Valois, et plusieurs des gravures hors-texte : la Vue de lanterne qui termine le grand escalier, la Vue de l'escalier de l'aile d'Orléans, les Chapitaux et les Les Fragments d'architecture. On notera trois dessins de Jean-Honoré Fragonard : la Vue intérieure de la grande chapelle, celle de l'Oratoire de la Reine et celle du Grand escalier. Deux vues, celle du château prise du côté des appartements de François Ier la Vue de la façade du château, sont faites par Villenuve ; le plan du château est l'oeuvre de Dupré, le plan du parc de Chambord, qui clôt le recueil, est exécuté par le cartographe Narcisse Desmadryl. Toutes les planches sont gravées par Godefroy Engelmann, le futur lithographe du Faust de Goethe illustré par Delacroix. Il s'était installé dès 1816 à Paris, avec son beau-frère Pierre Thierry, pour créer leur imprimerie au 18, rue Cassette. Leur premier travail d'envergure est, en 1820, le Portefeuille géographique et ethnographique, qui rassemble diverses cartes géographiques, paysages, costumes et dessins scientifiques, qui leur apporte une première renommée que la publication sur Chambord viendra confirmer. Dès l'année suivante, ils seront associés au Voyages romantiques et pittoresques dans l'ancienne France dont le premier volume, consacré à la Normandie, paraît en 1822. Dès lors, Engelmann sera, sous la Restauration et la monarchie de Juillet, l'un des grands imprimeurs de prestigieuses entreprises lithographiques. L'ensemble du Domaine de Chambord est ensuite offert en 1821 par une souscription nationale au duc de Bordeaux, . Les événements politiques qui le conduisent en exil ne lui permettent pas d'habiter son château. Il ne le découvre qu'en 1871 à l'occasion d'un court séjour pendant lequel il rédige son célèbre « Manifeste du drapeau blanc » qui l'amène à refuser le drapeau tricolore, et par là-même le trône. À distance pourtant, le comte de Chambord est attentif à l'entretien du château et de son parc. Il fait administrer le domaine par un régisseur, entreprend de grandes campagnes de restaurations et ouvre officiellement le château au public. Après sa mort, en 1883, le domaine passe par héritage aux princes de Bourbon Parme, ses neveux. Le château et le parc sont propriétés de l'État depuis 1930 : le premier est le plus vaste des châteaux de la Loire, le second est le plus grand parc forestier clos d'Europe (5441 ha). Plusieurs épreuves séparées des gravures sont conservées au cabinet des Estampes de la Bibliothèque nationale de France - toutes sur papier vélin blanc -, ainsi qu'un exemplaire, sur le même papier vélin courant de l'édition, fortement piqué comme dans tous les exemplaires. L'exemplaire conservé aux Archives départementales du Loir-et-Cher est également dans cette même condition et l'ouvrage est manquant à la BnF. Aucun exemplaire avec les planches sur papier de couleurs et / ou rehaussé n'est connu. Aurore Montesi. Iconographie du château de Chambord : imaginaire et réalité. Art et histoire de l'art, Université de Lorraine, 2013 ; Dominique Lerch, Pour une histoire de la lithographie en France : Engelmann, un passage obligé, Le Vieux Papier, 2017.
Edition originale du voyage du Comte de Chambord émigré dans les Highlands dédicacée à S.A.R. Madame la Duchesse de Berry. Exemplaire de présent offert à Henri V, Comte de Chambord, exceptionnellement enluminé à la main à son intention. Paris, Dentu, Palais Royal ; Edimbourg, 1835. Petit in-folio de : 137 pp. de texte, 1 portrait d’Henri V à pleine page, 1 fac-similé de la lettre de la Duchesse de Berri à M. d’Hardiviller, 28 lithographies hors texte sous serpente. Relié en plein maroquin vert à grain long, encadrement de filets dorés, fleur de lys aux angles, chiffre H ceint d’une guirlande fleurdelysée au centre des plats, dos à cinq nerfs fleurdelysé, coupes décorées, roulette intérieure, tranches dorées. Reliure armoriée de l’époque, signée de Marchant. 335 x 248 mm.
Edition originale rarissime dédicacée à S.A.R. Madame la Duchesse de Berry, du voyage du Comte de Chambord emigré dans les Highlands en 1832, lors de son exil qui suivit la révolution de 1830. Exemplaire personnel d’Henri V, comte de Chambord, entièrement enluminé à son intention. Henri-Charles-Ferdinand-Marie-Dieudonné d’Artois, duc de Bordeaux, puis comte de Chambord, dit Henri V, fils posthume de Charles-Ferdinand, duc de Berry et de Marie-Caroline-Ferdinande-Louise de Bourbon-Sicile, naquit à Paris le 29 septembre 1820 après la mort de son père et fut titré duc de Bordeaux ; lorsqu’une souscription publique lui eut offert en 1821 le château de Chambord, il porta le titre de comte de Chambord qu’il échangea en 1830 contre le nom d’Henri V, Charles X et le duc d’Angoulême ayant abdiqué en sa faveur. Il épousa en 1846 Marie-Thérèse-Béatrix-Gaétane, archiduchesse d’Autriche-Este, fille du duc de Modène François IV, et mourut en exil, sans postérité, le 24 août 1883 à Frohsdorf en Autriche. Le volume est l’œuvre du peintre Charles Achille d’Hardiviller (1795-1835). Elève de David, il avait été le professeur de dessin du duc de Bordeaux devenu Comte de Chambord. Il fut lié à son destin et à celui de la duchesse de Berry jusqu’à la révolution de 1830, qui ruina sa carrière. Son œuvre de lithographe, qui commence dès 1821, retrace depuis l’enfance la vie du duc de Bordeaux. On retiendra de cette période deux portraits du duc, l’un pour la duchesse de Berry, l’autre pour la duchesse d’Angoulême ; le portrait de Mlle de Berry ; l’un des quatre tableaux commandés par la duchesse de Berry, représentant les fêtes qu’elle avait données ; Le martyre de S. Etienne (ministère de l’Intérieur) ; Jeanne Hachette (Hôtel de ville, Beauvais) ; Le martyre de S. Donatien et S. Rogatien, pour la ville de Nantes. Hardiviller grava entre 1830 et 1835 de nombreux portraits, parmi lesquels celui de Lafayette, de Sébastien Erard, de Walter Scott, du duc de Reichstadt (d’après Tassaert). Ses dernières œuvres portent la date de 1835. Dans ce somptueux volume, l’artiste dessine maintes fois Henri V devant les paysages des Highlands, seul ou accompagné. Hardiviller dédie son livre à « S.A.R. Madame la Duchesse de Berri ». Le volume contient la dédicace à SAR et la « Lettre de Son altesse Royale Madame la Duchesse de Berri à Monsieur d’Hardiviller » datée « Gratz 27 octobre 1833 ». Le volume se compose de 137 pages de texte écrites par l’artiste relatant le voyage d’Henri V, d’une lettre gravée de la Duchesse de Berry et de 29 lithographies originales merveilleusement gouachées à l’époque. Notre exemplaire est ainsi conforme à l’exemplaire non colorié de la British Library quant au nombre de lithographies. L’on sait que le nombre de lithographies varie selon les exemplaires ; de 32 dans les exemplaires du tirage courant à 29 dans les exemplaires de luxe, d’Hardiviller ayant jugé trois de ses estampes indignes d’orner les exemplaires de présent. Précieux exemplaire de présent imprimé sur grand papier vélin relié en maroquin vert de l’époque au chiffre d’Henri V, comte de Chambord, l’un des rarissimes connus avec l’ensemble des lithographies en somptueux coloris main de l’époque. L’exemplaire porte l’étiquette : « De la bibliothèque du Comte de Chambord (Henri V de France, duc de Bordeaux) né en 1820. Acquise par Maggs Bros Ltd de Londres ».
Au bureau du journal. 8 septembre 1883. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages environ illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc - Paginées de 146 à 160. . . . Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon
"SOMMAIRE : Gravures : la statue du général La Fayette par M. Hiolle -Frohsdorf : les derniers moments du comte de Chambord - la mort du comte de Chambord - les funérailles du compte de Chambord - les ambassadeurs birmans à Paris - l'empire d'Annam / Articles : Histoire de la semaine - Courrier de Paris - ""Assunta"" nouvelle de L. d'Ambaloges - sport et high life - bibliographie - vacances de 1883 Classification Dewey : 70.4417-L'illustration / Figaro salon"
Blois, Chez l'Editeur, Arthur Prévost Libraire, 1851 ; album grand in- 4 oblong, demi-chagrin noir de l'éditeur, dos à nerfs plats cernés de filets dorés gras et maigres, filet pointillé doré sur les nerfs, titre doré au dos et au 1er plat ( plats de toile chagrinée noire), tranches dorées; 2ff.nch., 107pp. Texte sur 2 colonnes.
18 planches hors texte lithographiées en 2 tons, tirées par Lemercier à Paris : Titre orné - Armes de la ville de Blois - Entrée du Chateau de Blois, Façade Louis XII -Vue du Chateau de Blois, Façade extérieure de François 1er -Vue du Chateau de Blois, Intérieur de la cour -Vue du Chateau de Blois, Entrée de la Salle des Etats - Galerie du Chateau de Blois, Batiment de Louis XII - Cour du Chateau de Blois, grand escalier de François 1er - Chateau de Blois, cheminée de la Salle des Gardes de Catherine de Médicis - Chateau de Blois, Dessous du grand escalier- Vue du chateau de Chenonceaux, Façade principale et côté de Monrichard - Vue du Chateau de Chaumont - Chapelle du Chateau de Chaumont - Vue du chateau et de la ville d' Amboise - Intérieur de la Chapelle du Chateau d' Amboise - Vue générale du Chateau de Chambord - Lanterne de Chambord - Vue du Chateau de Chambord prise du côté des mansardes. Reliure un peu frottée et passée, toile usée aux coupes et coins, quelques piqûres en marge de certains feuillets et aux serpentes, petit manque à une serpente. Bon état intérieur. ( Reu-Bur)
Blois Arthur Prévost 1851 in-folio demi-basane un volume, reliure demi-basane marron foncé in-folio à l'italienne Editeur (half binding sheepskin in-4 oblong Editor)(38,5 x 27,2 cm), RELIURE D'ÉPOQUE, dos 5 nerfs, décoration "or" et à froid (gilt and blind stamping décoration), titre frappé "or" avec un filet "or" de part et d'autre, roulette chainette "or" en place des nerfs avec un filet à froid de part et d'autre des nerfs, entre-nerfs à fleuron "or", filet "or" et filet perlé "or" en tête et en pied, plats décorés à froid de double filets large et fins en encadrement se rejoignant aux angles par un filet à froid dans un encadrement d'un filet trés large à froid (plaque spéciale Editeur) avec à l'angle droit haut du 1er plat une couronne de Marquis frappée "or", EX-DONO : manuscrit à l'encre brune : "....Offert à Monsieur Armand de SIORAC en témoignage d'affectueuse gratitude par son respectueux serviteur Gaston PRÉVOST (fils du Libraire Editeur de l'ALBUM DU CHATEAU DE BLOIS RESTAURÉ)" [ Armand de Siorac , Directeur de la revue : "Le Chroniqueur du Périgord et du Limousin : revue historique, artistique et religieuse" ], texte imprimé sur deux colonnes, orné d'un titre lithographié en deux tons par RAIMBAULT + 16 lithographies hors-texte en deux tons avec serpentes par Monthelier, Raimbault, Bachelier, Bichebois ert Deroy, (lithographies imprimées par Lemercier, spécialiste de la lithographie parisienne), Exemplaire frais, avec des rousseurs essentiellement sur les serpentes et en marge d'une planche, 107 pages, 1851 Blois Arthur Prévost Editeur,
LITHOGRAPHIES HORS-TEXTE COMME SUIT : 1- Titre lithographié en 2 tons par Désiré Raimbault, 2- Vue du Château de Blois , façade Louis XII, lithographiée en 2 tons par Bachelier, 3- Entrée du Château de Blois, façade Louis XII, lithographiée en 2 tons par Monthelier, 4- Vue du Château de Blois , façade extérieure de François 1er, lithographiée en 2 tons par Bachelier, 5- Vue du Chateau de Blois, intérieur de la Cour, lithographiée en 2 tons par Monthelier, 6- Château de Blois - Cheminée de la Salle des Gardes de Catherine de Médicis, lithographiée en 2 tons par Monthelier, 7- Cour du Château de Blois, Grand Escalier de François 1er, lithographiée en 2 tons par Monthelier, 8- Vue du Chateau de Blois, entrée de la Salle des Etats, lithographiée en 2 tons par Monthelier, 9- Vue intérieure de la Salle des Etats, lithographiée en 2 tons par Bachelier, 10- Armes de la Ville de Blois, lithographiées en 2 tons par Désiré Raimbault, 11- Vue du Château de Chenonceaux, façade principale et côté de Montrichard, lithographiée en 2 tons par Monthelier, 12- Château de Chaumont, lithographiée en 2 tons par Bichebois et Deroy, 13- Vue du Château et de la Ville d'Amboise, lithographiée en 2 tons par Bachelier, 14- Intérieur de la Chapelle du Château d'Amboise, lithographiée en 2 tons par Monthelier, 15- Château de Chambord, Cour d'Honneur (vue à vol d'oiseau), lithographiée en 2 tons par Bachelier, 16- Château de Chambord, Vue Générale, lithographiée en 2 tons par Bachelier, 17- Lanterne de Chambord, lithographiée en 2 tons par Monthelier et Baillargé......... accompagné d'un texte archéologique & artistique par BAILLARGE, & d'une notice historique par WALSH ........ Pour mémoire, le château de Blois a été classé monument historique en 1840 et connaît dans les années suivantes sa première restauration sous la direction de M. Duban, architecte de lécole des Beaux-Arts, de la restauration de la Sainte-Chapelle et du palais du Louvre. Pour les contemporains, « le château de Blois est devenu féerique»...... RARETÉ ...... SUPERBE ORIGINE ..... en bon état (good condition). en bon état