MAISO DE LA BONNE PRESSE. 1938. In-16. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 154 pages. . . . Classification Dewey : 231-Dieu et miracles
Reference : RO30145705
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La Vallière, Louise-Françoise de La Baume Le Blanc, duchesse de (1644-1710)
Reference : 8982
Everard Kints 10 x 16 Liège Petit in-8, s.d. [années 1730-1740], reliure pleine basane de l'époque, dos lisse orné, pièce de titre de cuir vert, titre doré, page de titre, VII-[1] (avertissement et table des réflexions), 122-[1] pp. Contient : Lettre circulaire des religieuses carmélites de Paris sur la mort de la Soeur Louise de la Miséricorde, Religieuse Carmélite, nommée dans le monde Duchesse de la Valière [Sic] / Réflexions sur la miséricorde de Dieu en forme de prières / Prières tirées de l'Ecriture Sainte...par feu M. le Tourneur [sic, pour Nicolas Le Tourneux, 1641-1686] / Approbation des docteurs... fait à Paris ce 8 juin 1680. "Les réflexions sur la miséricorde de Dieu" de la Duchesse de La Vallière, publiées anonymes en 1680, ont fait l'objet de multiples rééditions ou de contrefaçons. Notre exemplaire sort des presses d'Everard Kints imprimeur de la Principauté de Liège et de son prince-évêque qui exerça dans les années 1730-1760. Reliure très usée, mais solide.(VeiHome44).
La VALLIERE (Louise-Françoise de La BAUME Le BLANC, duchesse de) .
Reference : 29817
(1746)
Paris, J. Techener, 1890. 2 tomes reliés en un fort vol. au format pt in-12 (183 x 113 mm) de 2 ff. n.fol., 1 frontispice gravé n.fol., cxxxvi - 241 pp. et 1 f. n.fol. ; 2 ff. n.fol. et 303 pp. Reliure de l'époque de plein maroquin tabac, plats jansénistes, dos à nerfs orné de filets en noir, titre doré, date dorée, double filet doré sur les coupes, tranches marbrées et dorées, large dentelle intérieure dorée, couvertures conservées. (Niedrée).
Ensemble complet des deux volumes le constituant ; ici revêtu d'une élégante reliure du temps de plein maroquin signée Niedrée. L'ouvrage s'ouvre sur un joli portrait-frontispice gravé (non signé). ''Ces Réflexions obtinrent tout de suite un succès qui semble s'être soutenu jusqu'à nos jours''. (in Brunet). ' ''Ces Réflexions, a-t-on dit, furent écrites après le rétablissement d'une maladie qui avait conduit la Duchesse aux portes du tombeau''. (in Quérard). ''Louise de La Vallière, favorite de Louis XIV, fille spirituelle de Bossuet, entrée au monastère des Carmélites de Paris où elle mourra en 1710, après trente-six années de pénitence et de solitude, a inspiré nombre de biographes. Une vie si mouvementée, une conversion si éclatante, un comportement désormais si humble et si caché, ne pouvaient que susciter la curiosité. La vocation de Louise de La Vallière est un témoignage toujours actuel de la puissance de la Miséricorde du Christ qui n’est pas venu "appeler les jutes, mais les pécheurs". La conversion de Louise de La Vallière rejoint celle dont l’Apôtre Paul témoigne: "Et s’il m’a été fait miséricorde, c’est pour qu’en moi, le premier, Jésus-Christ manifestât toute sa patience, faisant de moi un exemple pour ceux qui doivent croire en lui en vue de la vie éternelle ". Les Réflexions sur la Miséricorde de Dieu, composés à la fin du XVIIe siècle par une duchesse en passe de devenir Carmélite, ont conservé leur saveur originelle, leur force irrépressible, leur puissance de conviction''. (Editions du Carmel). Fléty, Dictionnaire des relieurs français, p. 135.Angles très légèrement élimés. Du reste, très belle condition.
Paris, Antoine Dezallier, 1680. In-12 réglé de (16)-139-(1) pp., maroquin brun janséniste, doublure de maroquin citron encadrée d'un double filet doré, têtes de chérubins dorées dans les angles, dos à nerfs, double filet doré sur les coupes, tranches dorées sur marbrure (Trautz-Bauzonnet).
Édition originale rare de ces Réflexions « généralement attribuées à Mlle de La Vallière ».En 1661, Françoise-Louise de La Baume Le Blanc, duchesse de La Vallière et de Vaujours née à Tours (1644-1710), devint la maîtresse de Louis XIV qu’elle conquit en particulier par son goût pour la musique, le chant et la danse. Bien que discrète, leur liaison provoqua la colère des dévots et des ecclésiastiques parmi lesquels Bossuet. Lorsqu’en 1667, elle fut remplacée par la nouvelle favorite, madame de Montespan, elle quitta la cour et engagea une lente conversion intérieure qui aboutit, à la suite d'une grave maladie, à la rédaction des Réflexions sur la Miséricorde de Dieu (1672 publiées anonymement en 1680) et à son entrée au Carmel sur les conseils de Bossuet, devenu son directeur de conscience. Elle y reçut le nom de soeur Louise de la Miséricorde. Saint-Simon écrivit d’elle : « Heureux (le roi), s’il n’eût eu que des maîtresses semblables à Mlle de La Vallière. ». Marque de l’imprimeur au titre et table.Provenance : comte de Lignerolles (cat. I, 1894, n°251). Très bel exemplaire réglé finement relié par Trautz-Bauzonnet, truffé d'un portrait gravé sur cuivre relié en frontispice de « la très noble et très pieuse Soeur Louise de la Miséricorde, Pénitente ». Infimes piqûres blanches sur les plats ; quelques menues rousseurs aux premiers et derniers feuillets.Tchemerzine, IV, p. 98 ; Brunet, III, 885 ; Rothschild, I, 1887, n° 70 (édition Dezallier de 1712) ; Willems, 1957 (édition elzévirienne 1681).
Paris, Antoine Dezallier, 1680. In-16 réglé de (16)-139-(1) pp., maroquin lavallière, dos à nerfs, double filet sur les plats, tranches dorées (Capé).
Édition originale rare de ces Réflexions « généralement attribuées à Mlle de La Vallière ».En 1661, Françoise-Louise de La Baume Le Blanc, duchesse de La Vallière et de Vaujours née à Tours (1644-1710), devint la maîtresse de Louis XIV qu’elle conquit en particulier par son goût pour la musique, le chant et la danse. Bien que discrète, leur liaison provoqua la colère des dévots et des ecclésiastiques parmi lesquels Bossuet. Lorsqu’en 1667, elle fut remplacée par la nouvelle favorite, madame de Montespan, elle quitta la cour et engagea une lente conversion intérieure qui aboutit, à la suite d'une grave maladie, à la rédaction des Réflexions sur la Miséricorde de Dieu (1672 publiées anonymement en 1680) et à son entrée au Carmel sur les conseils de Bossuet, devenu son directeur de conscience. Elle y reçut le nom de sœur Louise de la Miséricorde. Saint-Simon écrivit d’elle : « Heureux (le roi), s’il n’eût eu que des maîtresses semblables à Mlle de La Vallière. ». Marque de l’imprimeur au titre et table. Très bel exemplaire.Tchemerzine, IV, p. 98 ; Brunet, III, 885 ; Rothschild, I, 1887, n° 70 (édition Dezallier de 1712) ; Willems, 1957 (édition elzévirienne 1681).
Paris, Antoine Dezallier, [Lyon, Germain Nanty],1680. 1 vol. petit in-12, maroquin rouge, dos à nerfs orné de caissons dorés, double encadrement de triples filets dorés sur les plats, petits fleurons dorés aux angles de l'encadrement intérieur, double filet doré sur les coupes, dentelle dorée intérieure, tranches dorées sur marbrure. Reliure de Chambolle-Duru. Exemplaire lavé. Ex-libris ms. sur le titre quasiment effacé. (8) ff., 139 pp., (1) p. Quelques pâles rousseurs.
Rare contrefaçon de l'édition originale, imprimée la même année. Cet ouvrage est l'un des livres de spiritualité les plus célèbres du XVIIe siècle, et qui "compte parmi les petits chefs-d'oeuvre de l'école classique" (Berès). Ces réflexions furent sans doute écrites en 1672, alors que la duchesse de La Vallière, première maîtresse officielle de Louis XIV était encore à la cour et se remettait d'une grave maladie. La duchesse délaissée par Louis XIV au profit de Mme de Montespan s'était retirée au Carmel de la rue St Jacques à Paris où elle mena par la suite une vie religieuse exemplaire. On suppose que c'est la reine Marie-Thérèse qui convainquit l'illustre pénitente à livrer cet opuscule à l'impression. Paru anonymement en juin 1680, les Réflexions sur la Miséricorde de Dieu furent immédiatement attribuées à Mme de La Vallière. Cette attribution assura à l'ouvrage, dès sa parution, un succès considérable et le trop faible nombre de copies imprimées ne parvint pas à rassasier la demande du public. Très rapidement des contrefaçons virent le jour, et Dezallier fut obligé de lancer un deuxième tirage dès l'automne 1680. Edition inconnue des bibliographes. Cette contrefaçon trompeuse est en effet difficile à identifier car sa collation est identique à l'édition originlae imprimée par Dezallier la même année et reprend le même achevé d'imprimer. Mais le fleuron du titre est différent de celui de Dezallier ainsi que le matériel typographique utilisé et la composition présente quelqes minimes écarts avec l'édition originale. Alain Riffaud, que nous avons consulté, a pu attribué cette impression à Germain Nanty, imprimeur lyonnais qui s'était déjà rendu coupable d'une contrefaçon des oeuvres mélées de Madame de Villedieu pour laquelle il avait déjà dû répondre devant la Justice.
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