UNION INTERFAMILIALE D'EDITION. non daté. In-8. Cartonnage d'éditeurs. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 188 pages. Nombreuses illustrations en couleurs dans le texte et hors texte.. . . . Classification Dewey : 300-SCIENCES SOCIALES
Reference : RO30070975
Une réponse à toutes vos questions. Classification Dewey : 300-SCIENCES SOCIALES
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
DE LA MARTINIERE - JEUNESSE. 2006. In-4. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 91 pages augmentées de nombreuses illustrations en couleur in et hors texte -. . . . Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants
ILLUSTRATIONS DE FRANCOIS COINTE Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants
A.I.E 1980 in4. 1980. Cartonné. abondante iconographie couleurs
Très Bon Etat de conservation intérieur impeccable
Sans date.
Très bon état - légères marques de lecture et/ou de stockage mais du reste en très bon état- expédié soigneusement depuis la France
[ Albert Fontemoing] - BERTHEROY, Jean ; [ LE BARILLIER, Berthe ; ROY DE CLOTTE ; CZERNICKI ]
Reference : 68427
(1905)
Deuxième édition, 1 vol. grand in-12 cartonnage bradel postérieur, "collection Minerva", Albert Fontemoing, Paris, s.d., [ circa 1905 ], 267 pp. ave une LAS jointe de 4 pp. à en-tête de sa villa de l'Ermitage à Montmorency (circa mai 1899)
Dans la lettre autographe signée jointe à l'ouvrage, Jean Bertheroy remercie un confrère : "J'ai lu votre article avec une grande joie et un grand regret d'en être le seul lecteur - merci quand même - vous avez merveilleusement pénétré et exprimé le sens intime de mon livre. Je ne vous plains pas d'être loin des hommes [...elle évoque les difficultés de la vie sociale actuelle : "que de petitesses et de misères"] Etes-vous au courant de la révolution du Figaro ? Ce pauvre Rodays a été débarqué peu galamment mais tout porte à croire qu'il ne sera pas sans ressources dans sa retraite. Quand rentrez-vous ? Nous avons parlé de vous ce matin pendant les agapes [ ... ]". Jean Bertheroy évoque ici l'élimination du journaliste brestois Pierre-Léon-Fernand, comte de Rodays, chassé du Figaro suite à son conflit et à son duel avec Boni de Castellane. Romancière à succès, Jean Bertheroy sera la première secrétaire du jury Femina en 1904. Bon exemplaire.
2 pièces autographes signées à savoir: 1 L.A.S. de 3 pp., datée du 12 mai 1908: «Mon cher ami, il pleut, mais ton article sur le Briseur de Fers vient de nous apporter le soleil. Oh! mon cher ami, comme tu es gentil! comme je devine, en relisant ton article, le charmant parti-pris de ne voir que le bon côté de mon livre! C’est une page de camarade, évidemment, et non de critique, quoiqu’elle soit superbe et d’une habileté délicieuse. Car c’est de «l’habileté du cœur». Eh bien, tu as raison, après tout! Tu ne signales au public que les bonnes choses, puisqu’elles lui sont utiles. Leur démontrer que je n’ai pas de talent eût été peut-être un jeu d’artiste mais une grosse erreur de moraliste et de philosophe. J’ai un petit nombre, lentement, très lentement grandissant d’amis et de lecteurs. Ce que je leur dis depuis 15 ans ne peut que leur faire du bien, les raffermir ou les consoler. Je ne cherche pas à donner le goût du «militaire» mais de «l’énergique». Si j’y parviens, qu’importent mes fautes! Du reste, je connais, aussi bien et même mieux que quiconque, mes défauts. Tu peux me le mettre sous les yeux et en ajouter de nouveaux, quand tu me rencontreras. Je suis à ce point dénué de «vanité littéraire» que je t’écouterai […] Mon livre est noble et pur d’intentions, je l’ai écrit laborieusement. Il vaut bien ce qu’il coûte. Le reste n’est que de la fumée de cigare. Maintenant, je veux aller te serrer la main à l’Echo [ … ] En attendant, mon vieux Rar, je t’embrasse»; [ On joint: ] 1 réponse autographe signée au questionnaire du «Salon des Littérateurs», billet de 2 feuillets pré-imprimé: Maître idéal: «Prothée». Esthétique: «Un beau livre sur mes genoux». Prix rêvé: «Les ors et les argents sont fous! ». Devise artistique: «Simplement». Description de l’œuvre en vers de huit: «Parce que le bec de mes plumes, Dans l’orme agité du journal, Tirelire mes amertumes, Et lance un pi-huit matinal, Est-il dit qu’une œuvre m’est née? Alors j’ai volé ma journée… Parce que d’un bout de pastel, En un coin de mauve banlieue, J’esquisse le flâneur untel, Ai-je fait plus d’un quart de lieue, Vers la connaissance du bien? Holà, Dentu, je n’en sais rien! Œuvre, mot risible, oiseau rare. – Vais là-bas fumer un cigare»
Belle réunion de deux très intéressantes pièces autographes signées de l’écrivain Georges d’Esparbès (1863-1944). Fréquentant le Chat Noir, ami de Léon Bloy ou de Jean Moréas, Georges d’Esparbès exaltera l’héroïsme militaire. On joint une troisième pièce signée par son fils Robert (dit Asté d’Esparbès).