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AWWAD SAMI
CETTE DE DIEU
IMP. GOLDEN PRINTING PRESS. 1993. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 159 pages. Nombreuses photos en couleurs dans le texte et hors texte.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION
Reference : RO30059252
Adaptation Française du P. Jean Falhun A.A. Trois religions, une ville, trois prières. Classification Dewey : 200-RELIGION
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Mystérieuse correspondance d'une jeune femme exaltée avec l'éditeur Edouard Dentu [ 3 Lettres manuscrites signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, et brouillon autographe d'Edouar Dentu ] I : "Lyon, ce 14 août 1872. Monsieur, puisque vous ne voulez pas être mon éditeur, voulez-vous être mon ami. Car pour le moment nous ne pouvons être que deux amis. Pourquoi cherchez-vous un ami dans un inconnu direz-vous. Votre personne m'est inconnue, m'est (sic) votre esprit, votre coeur me sont connus, ils me plaisent ; et puis je me sens des sentiments dans l'âme qui veulent un homme de génie pour unique confident. Je ne veux pas que le Poëme de mon coeur soit inutile. Il brillera pour vous comme il eût brillé popur vous seul..." ... "Permettez-moi de vous tendre la main, oh une main bien amie, celle de votre Servante. Comtesse de Scibor Rylski, 174 Cours Lafayette, Lyon, ce 14 août" ; II : Brouillon de réponse non daté de la main d'Edouard Dentu : "Chère Madame, Je suis blessé, et par vous ! Aussi je vous demande de me continuer vos ravissantes confidences, priant Dieu qu'il épargne à votre coeur de nouveaux déchirements car votre nature si délicieusement fine est de celles qui ressentent cruellement les meurtrissures de cette vie" ... "...soyez assez bonne pour m'adresser à l'avenir les lettres dont vous voudrez bien m'honorer à mon domicile personnel, rue Sainte Claire 9 à Passy-Paris".III : 27 août 1872 : "J'ai été ravie je ne voudrais pas autrement que vous êtes dans cette lettre La première oh qu'elle ne soit pas la dernière. Quel autre que vous aurait pu jamais excuser et répondre si gracieusement à une inconnue et la deviner... aussi je vous salue au fond de mon coeur comme on salue un phar qui nous a montré les écueils où l'on pouvait périr. Maintenant que nous voilà amis je vous demande pour le moment une alliance proprement morale et mystérieuse. Venez dans mon coeur quand vous serez malheureux, fatigué, où blessé par quelques-uns de ces échecs moraux qui vous attendent à tous les passages importants de la vie" ... "... votre Augusta". IV : "Lyon, ce 15 Septembre 1872. Mon ami, Laissez-moi vous donner ce nom et comprenez-moi bien, en parlant à Dieu nous lui demandons une foule de choses, il reste muet, moi je veux trouver en vous les réponses que Dieu ne nous fait pas. De plus, je crois qu'il est possible de faire exister, comme dans une symphonie deux harpes qui à distance se répondent, vibrent, et produisent une délicieuse mélodie" ... "ordinairement, les mariages, même les liésons, se font au rebours du sens commun, une famille prend des renseignements sur un jeune homme. Si le Léandre fourni par la voisine ou pêché dans un bal n'a pas volé, s'il n'a pas de tare visible, s'il a la fortune qu'on lui désire, s'il sort d'un collège ou d'une école de Droit, ayant satisfait aux idées vulgaires sur l'éducation, et s'il porte bien ses vêtements, on lui permet de venir voir une personne, lacée dès le matin à qui sa mère ordonne de bien veiller sur sa langue, et recommande de ne rien laisser passer de son âme, de son coeur, sur sa physionomie"... "J'attends votre réponse et suis de grand coeur votre Augusta"
3 lettres signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, 1872, format in-12 de 2 ff. (4 pages), 2 ff. (4 pages), et 4 ff. (7 pages) et 1 brouillon autographe d'Edouard Dentu, s.d., format in-12, 1 f. (une page) : Suivent qq. extraits : 3 Lettres manuscrites signées Comtesse de Scibor Rylski puis Augusta, et brouillon autographe d'Edouar Dentu ] I : "Lyon, ce 14 août 1872. Monsieur, puisque vous ne voulez pas être mon éditeur, voulez-vous être mon ami. Car pour le moment nous ne pouvons être que deux amis. Pourquoi cherchez-vous un ami dans un inconnu direz-vous. Votre personne m'est inconnue, m'est votre esprit, votre coeur me sont connus, ils me plaisent ; et puis je me sens des sentiments dans l'âme qui veulent un homme de génie pour unique confident. Je ne veux pas que le Poëme de mon coeur soit inutile. Il brillera pour vous comme il eût brillé popur vous seul..." ... "Permettez-moi de vous tendre la main, oh une main bien amie, celle de votre Servante. Comtesse de Scibor Rylski, 174 Cours Lafayette, Lyon, ce 14 août" ; II : Brouillon de réponse non daté de la main d'Edouard Dentu : "Chère Madame, Je suis blessé, et par vous ! Aussi je vous demande de me continuer vos ravissantes confidences, priant Dieu qu'il épargne à votre coeur de nouveaux déchirements car votre nature si délicieusement fine est de celles qui ressentent cruellement les meurtrissures de cette vie" ... "...soyez assez bonne pour m'adresser à l'avenir les lettres dont vous voudrez bien m'honorer à mon domicile personnel, rue Sainte Claire 9 à Passy-Paris".III : 27 août 1872 : "J'ai été ravie je ne voudrais pas autrement que vous êtes dans cette lettre La première oh qu'elle ne soit pas la dernière. Quel autre que vous aurait pu jamais excuser et répondre si gracieusement à une inconnue et la deviner... aussi je vous salue au fond de mon coeur comme on salue un phar qui nous a montré les écueils où l'on pouvait périr. Maintenant que nous voilà amis je vous demande pour le moment une alliance proprement morale et mystérieuse. Venez dans mon coeur quand vous serez malheureux, fatigué, où blessé par quelques-uns de ces échecs moraux qui vous attendent à tous les passages importants de la vie" ... "... votre Augusta". IV : "Lyon, ce 15 Septembre 1872. Mon ami, Laissez-moi vous donner ce nom et comprenez-moi bien, en parlant à Dieu nous lui demandons une foule de choses, il reste muet, moi je veux trouver en vous les réponses que Dieu ne nous fait pas. De plus, je crois qu'il est possible de faire exister, comme dans une symphonie deux harpes qui à distance se répondent, vibrent, et produisent une délicieuse mélodie" ... "ordinairement, les mariages, même les liésons, se font au rebours du sens commun, une famille prend des renseignements sur un jeune homme. Si le Léandre fourni par la voisine ou pêché dans un bal n'a pas volé, s'il n'a pas de tare visible, s'il a la fortune qu'on lui désire, s'il sort d'un collège ou d'une école de Droit, ayant satisfait aux idées vulgaires sur l'éducation, et s'il porte bien ses vêtements, on lui permet de venir voir une personne, lacée dès le matin à qui sa mère ordonne de bien veiller sur sa langue, et recommande de ne rien laisser passer de son âme, de son coeur, sur sa physionomie"... "J'attends votre réponse et suis de grand coeur votre Augusta"
Etonnante correspondance dont on ne sait s'il faut réellement l'imputer à la Comtesse de Scibor Ryslki (Agnès Veth ?) qui signe par la suite "Augusta". Mais curieux lot, révélateur de la passion que pouvait alors (toujours ?) susciter un éditeur célèbre du temps. Un mystère à élucider...
Explication des cérémonies de la Fête-Dieu d'Aix en Provence, ornée de figures du Lieutenant de Prince d'Amour ; du Roi & Bâtonniers de la Bazoche ; de l'abbé de la Ville ; & des jeux des Diables, des Razcassetos, des apôtres, de la Reine de Saba, des Tirassons, des Chevaux-frux, etc. etc. etc. Et des airs notés, consacrés à cette Fête.
Aix, Esprit David, 1777 ; in-12. Titre-220pp. - Portrait en frontispice et 13 planches dépliantes hors-texte. Demi-percaline verte du XIXème s. Des petites rousseurs éparses, si non bon exemplaire.
Rarissime édition conservée dans une reliure un peu modeste cependant. C'est René d'A'njou, roi de Sicile et comte de Provence, qui vivait à la fin de sa vie à Aix, qui institua dans cette ville, vers 1462, les jeux de la Fête-Dieu. Il s'agissait de représenter le triomphe du christianisme sur la paganisme. La fête débutait à la Pentecôte, les faux dieux adorés par les payens apparaissaient en premier dans les rues, et le lendemain des scènes tirées de l'Ancien et du Nouveau Testament animaient à leur tour les rues, dissipant, à la clareté du jour, les erreurs de la nuit précédante. Des simulacres de tournois de chevalerie entrecoupaient les représentations, et la fête se terminait par la procession du Dieu des chrétiens.Gaspard S. Grégoire (Aix, 1715-1795) était marchand d'étoffe à Aix ; il retrace dans son livre l'histoire de cette fête, et donne aussi la description et la signification des jeux ; il représentations qui s'y déroulmaient. Ses fils, Gaspard et Paul se chargèrent de réaliser les dessins et la gravure (en taille douce) des illustrations de l'ouvrage. Gaspard (fils) est aussi connu comme l'inventeur d'une technique de peinture sur velours, dit "velours Grégoire". (Cohen, 367 signale une édition au format in-4, qui n'est pas mentionnée ailleurs. Brunet VI-22367) (Voir aussi : François ROUX-ALPHERAN, Explications des jeux de la Fête-Dieu... Aix, Aubin, 1851. Et : DIDEROT & d'ALEMBERT : Encyclopédie, ou Dictionnaire raisonné des sciences, des arts etc ..., Volume 34, p. 116, article tournois, qui décrit cette fête et signale l'ouvrage de Grégioire. En 1758, P. JOSEPH, avait déjà publié à Aix, un petit ouvrage sur le cérémonial de la Fête-Dieu).
[Abbaye Notre-Dame de la Trappe]. Tableaux representans au naturel tout ce qui se passe en la maison Dieu Nôtre dame de la Trappe de l'Étroitte observance de l'ordre de Cisteaux diocèse de Sées, depuis que cette Abbaye a esté mise en Regle par Dom Armand Jean de Bouthillier, de Rancé cy devant Abbé Commendataire de la ditte Abbaye, et depuis Abbé regulier ayant fait sa profession en l'Abbaye de Perseigne le 6e juin 1664, il mourut dans celle de la Trappe le 27e octobre 1700 à deux heures après midi agé de 74 ans entre les bras de Monseigneur l'Evesque de Sees. Il voulut estre enterré dans le cimetière de la ditte Abbaye. Dédiés à Monsieur le chevalier de Rancé chevalier de l'Ordre de Saint-Jean de Jérusalem, Capitaine du Port de Marseille, chef d'escadre des Galères de France. Par son tres humble et tres obéissant serviteur J. Guenard. Gravé par Pierre Heuliez.
Se vend à Paris Rüe St Jacques, chez I. Guenard, sans date, 1700 vers . 20 planches en feuilles, dont le titre, gravées sur cuivre (dimensions à la cuvette 280 x 235 mm), placées dans un album grand in-folio.
Suite complète rarissime de 20 grandes planches gravées sur cuivre par Pierre Houliez vers 1700 dédiées à l'abbé Armand-Jean de Rancé (1626-1700) grand réformateur de l'abbaye cistercienne Notre-Dame de la Trappe fondée en 1122 à Soligny-la-Trappe (Orne). Éditées à Paris par le marchand d'estampes J. Guenard auquel on attribue parfois l'illustration, elles montrent les activités du monastère au XVIIe siècle ; toutes portent la mention « Se vend à Paris » complétée pour la dernière par « Se vend à Paris chez I. Guenard » ; dix sont numérotées. Contient :Titre et dédicace aux armes gravées du « chevalier de Rancé, chevalier de l'Ordre de Saint Jean de Jérusalem, capitaine du port de Marseille, chef d'escadre des galères » ; Boulangerie de la Trappe ; Lessive des religieux de la Trappe ; Vendanges des Religieux de la Trappe ; Les Perres (sic) de la Trappe font voir la maison aux passans / La Manière dont les Perres de la Trappe reçoivent les passans ; Les religieux de la Trappe s'occupent à differens ouvrages ; Veuë de l'Église et des Cloîtres de Nôtre Dame de la Trappe (n°9) ; Manière dont les religieux de Notre Dame de la Trappe reçoivent l'habit et font profession (n°4) ; Frère Armand Jean Abbé de la Maison-dieu Notre-Dame de la Trappe fait la Conférence les jours destinés pour la récréation avec ses Religieux (n°2) ; Visite de l'Abbaye des Clairets (n°8) ; Conversion du Comte de Santena (n°10) ; Choeur de l'Abbaye de la Trappe (n°7) ; Jardin des Perres de la Trappe ; Hospitalité exercée à la Trappe (n°6) ; Religieux de la Trappe à l'Agonie (n°20) ; Infirmerie des Religieux de la Trappe (n°19) ; Cuisine de la Trappe ; Réfectoire (n°3) ; le Père Abbé de la Trappe tient le chapitre des Coulpes deux fois la semaine ; Chauffoir des religieux de la Trappe.« Alors que la réception du Concile de Trente portait ses fruits et que la paix était revenue entre catholiques et huguenots, la vie cistercienne était travaillée par un mouvement de réforme. Certains voulaient retrouver la ferveur et les usages mis à mal par les difficultés des temps précédents : ce fut le mouvement dit de l'Étroite Observance. Bientôt ils furent rejoints par un homme au tempérament de feu, Armand-Jean Le Bouthillier de Rancé, issu d'une famille d'avocats qui s'étaient fait une place dans le gouvernement de Richelieu. Le jeune homme, qui possédait l'abbaye de La Trappe en commende (pour le bénéfice qu'il lui rapportait), commençait une brillante carrière ecclésiastique et mondaine, quand il vécut une soudaine conversion et se retira du monde, au printemps 1656. Après six années d'une difficile recherche, il renonça à tous ses biens et entra comme moine dans son abbaye, dont il fut béni abbé en 1664, imprimant à sa communauté son zèle pour Dieu et pour une pratique "authentique" de la Règle de Saint Benoît et des traditions de l'Ordre, mettant à son service une très grande connaissance des Pères de l'Église et du monachisme antique. Son interprétation de la Tradition ne fit toutefois pas l'unanimité. Pour autant, il ne laissa pas de fasciner ses contemporains par son zèle pour Dieu, et par une brûlante charité, malheureusement bien plus perceptible dans les rencontres privées et dans sa correspondance que dans ses prises de positions publiques. Les vocations affluèrent, beaucoup repartirent faute de pouvoir soutenir durablement un style de vie aussi exigeant. Les épreuves ne manquèrent pas non plus. Mais à la fin du XVIIIe siècle, pourtant particulièrement peu favorable à la vie monastique, la communauté de La Trappe était toujours une des plus nombreuses de France. » [Abbaye Notre-Dame de Bon Secours de Blauvac, Rancé abbé de La Trappe : la Passion de Dieu (article)].Très rare, la suite manque à la BnF ; le seul exemplaire répertorié dans le Catalogue collectif de France est conservé à la Bibliothèque de Carpentras (collation identique, cote 26.697)Manque à la collection Henri Tournoüer, Bibliographie et iconographie de la maison-Dieu Notre-Dame de la Trappe au diocèse de Sées, de dom A.-I. Le Bouthillier de Rancé, abbé et réformateur de cette abbaye, et en général de tous les religieux du même monastère (Mortagne, Marchand et Gilles, G. Meaux, 1894-1896, 2 vol.). Exemplaires cités : Catalogue de livres et estampes relatifs aux beaux-arts Hippolyte Alexandre Gabriel Walter Destailleurs 1895, n°389 (20 planches) ; Bibliothèque du baron de M. le Bethman 1923, n°178 (20 planches) ; Antiquarisches Bücherlager von Kirchhoff & Wigand in Leipzig 1889 vol. 836, n°1105 (18 planches). Voir : Marie-Gérard Dubois, L'abbaye Notre-Dame de la Trappe, Éditions Amis du Perche, 2001, pages 41, 54.
Cette Terre de dieu Imprimé en Terre sainte Palphot ltd non daté
Sans date. Sami Awwad: Cette Terre de Dieu/ Imprimé en Terre Sainte Palphot Ltd-non daté . Sami Awwad: Cette Terre de Dieu/ Imprimé en Terre Sainte Palphot Ltd-non daté
Bon état
Carmel n° 3 - Cette dernière pentecote par Albert de l'annonciation, Les vocations particulières des inspires d'Israël par A. Barucq, La foi de la Vierge d'après Vatican II par A. Vernet, Gloire de Dieu et gloire de l'ame, Maison de Dieu, porte du ciel ?
Editions du Carmel. 1968-3. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 161 à 240.. . . . Classification Dewey : 248-Vie chrétienne et méditations
Sommaire : Cette dernière pentecote par Albert de l'annonciation, Les vocations particulières des inspires d'Israël par A. Barucq, La foi de la Vierge d'après Vatican II par A. Vernet, Gloire de Dieu et gloire de l'ame, Maison de Dieu, porte du ciel ? par Albert de l'annonciation Classification Dewey : 248-Vie chrétienne et méditations
