GUIDE OLIZANE. 1992. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 312 pages. Nombreuses photos en couleurs dans le texte et hors texte. Nombreux passages soulignés au stylo. Envoi d'un anonyme. Ecritures au stylo.. . . . Classification Dewey : 910.4-Voyages
Reference : RO30049929
ISBN : 2880860938
Photgraphies de Sarah Lock. Informations pratiques de Edward Juanteguy. Classification Dewey : 910.4-Voyages
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<p><meta charset="utf-8"><span>Première femme à recevoir la médaille d’or Robert Capa, qui récompense un reporter pour son courage et son esprit d’indépendance, Catherine Leroy est l’une des rares femmes photographes à couvrir la guerre au Viêt-nam entre 1966 et 1968. Elle a tout juste vingt-et-un ans lorsqu’elle s’envole, un aller simple en poche, pour Saigon, avec pour seuls bagages un boîtier Leica et une centaine de dollars. Très vite, la jeune femme sympathise avec les soldats américains et partage leur quotidien – ils appartiennent à la même génération. Durant trois ans, elle va couvrir le conflit au plus près de l’action. Elle suit les patrouilles en mission, partage avec les soldats leurs rations et couchages de fortune.</span><br><br><span>Ses cadrages serrés et sa très grande proximité avec les Marines saisissent les visages et les corps pris dans la tourmente des tirs. Dans la chaleur et la boue de la jungle vietnamienne, Catherine Leroy capture les moments de courage, de peur, de tension, mais aussi l’amitié, la solidarité et la détresse de jeunes hommes foudroyés par la violence du terrain. Son objectif restitue la fulgurance des combats, le désespoir du peuple vietnamien, les ravages de chaque côté du conflit. Faite prisonnière à Hué par les soldats nord-vietnamiens durant l’offensive du Têt, elle réalise un reportage exceptionnel et fait la couverture de</span><i>Life</i><span>. Ses photographies font le tour du monde.</span><br><br><span>Seule femme civile à sauter en parachute avec l’armée américaine, Leroy ouvre la voie à ses consoeurs reporters de guerre. Ses images, publiées dans de prestigieux magazines internationaux, témoignent de l’acuité d’un regard photographique singulier : celui de l’une des toutes premières femmes engagées au plus près des combats dans un univers professionnel essentiellement masculin. Son audace, sa curiosité, son oeil acéré confèrent à ses photographies une extraordinaire puissance visuelle. Ce livre, qui inclut la correspondance de Catherine Leroy avec ses parents, de 1966 à 1968, révèle l’émergence d’une jeune photojournaliste et raconte son parcours initiatique : une vie où se mêlent engagement politique, social et féministe.</span></p><p><b>Textes</b></p><p>Lettres de Catherine Leroy</p><p>Robert Pledge et Dominique Deschavanne<br><br><strong>Exposition</strong></p><p><i>One–Way Ticket to Vietnam 1966–1968</i></p><p>Ballarat International Foto Biennale</p><p>23 août – 19 octobre 2025<br></p> Nancy, 2025 Atelier EXB 240 p., environ 110 photographies couleur et noir et blanc et 40 documents, broché 16,5 x 24
neuf
ANONYME. VERS 1952. In-18. En feuillets. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 1 PHOTO ARGENTIQUE EN NOIR ET BLANC DIMENSION 9 X 14 Cm : VIET-NAM - TOURANE : LE PONT DE LATTRE SUR LA RIVIERE DE TOURANE, AU FOND LES MONTAGNES.. . . . Classification Dewey : 959-Asie du Sud-Est
RAPPELS : La guerre du Viêt Nam (également appelée deuxième guerre d'Indochine) est une guerre qui a opposé de 1954 à 1975, d'une part la République démocratique du Viêt Nam (ou Nord-Viêt Nam) avec son armée populaire vietnamienne — soutenue matériellement par le bloc de l'Est et la Chine — et le Front national de libération du Sud Viêt Nam (ou Viet Cong), et d'autre part, la République du Viêt Nam (ou Sud-Viêt Nam), militairement soutenue par l'armée des États-Unis appuyée par plusieurs alliés (Australie, Corée du Sud, Thaïlande, Philippines). La guerre civile laotienne et la guerre civile cambodgienne sont des conflits annexes s'étant déroulés en parallèle, et sur lesquels la guerre du Viêt Nam a eu un impact décisif. / La guerre du Viêt Nam trouve son origine dans la guerre d'Indochine (1946-1954), conflit qui opposa la France à la Ligue pour l'indépendance du Viêt Nam, fondée et dirigée par le leader révolutionnaire Hô Chi Minh.Après l'occupation par les troupes japonaises durant la Seconde Guerre mondiale jusqu'en août 1945, les guérilleros du Viêt Minh, profitant du vide créé par la reddition du Japon, s'emparèrent de la capitale Hanoï. L'empereur Bao Dai, replacé sur le trône par les Japonais, abdiqua pour devenir conseiller suprême du premier gouvernement de la nouvelle République démocratique du Viêt Nam (RDVN), dont l'indépendance fut déclarée à Hanoï le 2 septembre 1945. En 1945, la reconquête de l'Indochine par la France puis l'échec des gouvernements vietnamien et français à s'accorder sur un modus vivendi conduisirent en décembre 1946 à la première guerre d'Indochine. Le conflit décisif eut lieu au printemps 1954 avec la bataille de Diên Biên Phu. Après un siège de 55 jours, les Français capitulèrent le 7 mai 1954. Entretemps, lors d'une réunion des quatre « Grands » à Berlin en février 1954, il avait été décidé d'organiser une conférence à Genève à partir du 26 avril, où l'on traiterait de la Corée et de l'Indochine. Les délégués de la RDVN et de l'État du Viêt Nam y rencontrèrent les délégations de la France, du Royaume-Uni, de l'Union soviétique, des États-Unis, de la République populaire de Chine et des deux États voisins, le Royaume du Laos et le Royaume du Cambodge, afin de discuter du futur de toutes les anciennes possessions françaises en Indochine. La Conférence de Genève prit fin le 21 juillet 1954, par un accord signé entre Pierre Mendès France et Pham Van Dong, respectivement au nom de la France et du Viêt Nam. À cet accord était également signée une déclaration commune par les neuf participants, sauf par les États-Unis et par l'État du Viêt Nam. L'indépendance du Laos, du Cambodge et du Viêt Nam était reconnue. Ce dernier étant partagé en deux zones de regroupement militaire des forces armées françaises et vietnamiennes de part et d'autre du 17e parallèle. La réunification du pays pourrait intervenir après des élections générales qui devaient être organisées dans un délai de deux ans (1956), et la constitution d'un gouvernement.Dès 1955, un nouveau mouvement se développait : le Front national de libération du Sud Viêt Nam (ou Viet Cong), comptant un certain nombre d'anciens cadres Viet Minh. Celui-ci s'opposera au régime de la République du Viêt Nam et affrontera les États-Unis lors de l'intervention américaine. Classification Dewey : 959-Asie du Sud-Est
"INCONNU. 1951. In-18. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 1 PHOTO-CARTE POSTALE ""BONNE ANNEE"" EN NOIR ET BLANC DIMENSION 9 X 14 Cm : VIET-NAM - UN BOEUF ET UNE JEUNE LOCAL SUR SON DOS - CARTE DATEE DU 27.12.1951 par un militaire souhaitant ses meilleurs voeux en cette nouvelle année ""Du chef modarie(?) ou Modanie(?).. . . . Classification Dewey : 959-Asie du Sud-Est"
RAPPELS : La guerre du Viêt Nam (également appelée deuxième guerre d'Indochine) est une guerre qui a opposé de 1954 à 1975, d'une part la République démocratique du Viêt Nam (ou Nord-Viêt Nam) avec son armée populaire vietnamienne — soutenue matériellement par le bloc de l'Est et la Chine — et le Front national de libération du Sud Viêt Nam (ou Viet Cong), et d'autre part, la République du Viêt Nam (ou Sud-Viêt Nam), militairement soutenue par l'armée des États-Unis appuyée par plusieurs alliés (Australie, Corée du Sud, Thaïlande, Philippines). La guerre civile laotienne et la guerre civile cambodgienne sont des conflits annexes s'étant déroulés en parallèle, et sur lesquels la guerre du Viêt Nam a eu un impact décisif. / La guerre du Viêt Nam trouve son origine dans la guerre d'Indochine (1946-1954), conflit qui opposa la France à la Ligue pour l'indépendance du Viêt Nam, fondée et dirigée par le leader révolutionnaire Hô Chi Minh.Après l'occupation par les troupes japonaises durant la Seconde Guerre mondiale jusqu'en août 1945, les guérilleros du Viêt Minh, profitant du vide créé par la reddition du Japon, s'emparèrent de la capitale Hanoï. L'empereur Bao Dai, replacé sur le trône par les Japonais, abdiqua pour devenir conseiller suprême du premier gouvernement de la nouvelle République démocratique du Viêt Nam (RDVN), dont l'indépendance fut déclarée à Hanoï le 2 septembre 1945. En 1945, la reconquête de l'Indochine par la France puis l'échec des gouvernements vietnamien et français à s'accorder sur un modus vivendi conduisirent en décembre 1946 à la première guerre d'Indochine. Le conflit décisif eut lieu au printemps 1954 avec la bataille de Diên Biên Phu. Après un siège de 55 jours, les Français capitulèrent le 7 mai 1954. Entretemps, lors d'une réunion des quatre « Grands » à Berlin en février 1954, il avait été décidé d'organiser une conférence à Genève à partir du 26 avril, où l'on traiterait de la Corée et de l'Indochine. Les délégués de la RDVN et de l'État du Viêt Nam y rencontrèrent les délégations de la France, du Royaume-Uni, de l'Union soviétique, des États-Unis, de la République populaire de Chine et des deux États voisins, le Royaume du Laos et le Royaume du Cambodge, afin de discuter du futur de toutes les anciennes possessions françaises en Indochine. La Conférence de Genève prit fin le 21 juillet 1954, par un accord signé entre Pierre Mendès France et Pham Van Dong, respectivement au nom de la France et du Viêt Nam. À cet accord était également signée une déclaration commune par les neuf participants, sauf par les États-Unis et par l'État du Viêt Nam. L'indépendance du Laos, du Cambodge et du Viêt Nam était reconnue. Ce dernier étant partagé en deux zones de regroupement militaire des forces armées françaises et vietnamiennes de part et d'autre du 17e parallèle. La réunification du pays pourrait intervenir après des élections générales qui devaient être organisées dans un délai de deux ans (1956), et la constitution d'un gouvernement.Dès 1955, un nouveau mouvement se développait : le Front national de libération du Sud Viêt Nam (ou Viet Cong), comptant un certain nombre d'anciens cadres Viet Minh. Celui-ci s'opposera au régime de la République du Viêt Nam et affrontera les États-Unis lors de l'intervention américaine. Classification Dewey : 959-Asie du Sud-Est
Etudes Vietnamiennes. 1971. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Papier jauni. 201 pages - couverture jaunie, rousseurs - annotation sur les plats et sur la page de titre - quelques photos en noir et blanc hors texte - une planche dépliante.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Rapport d'introduction - le point de vue juridique - quelques données sur la guerre chimique au Sud Viet Nam en 1969-1970 - les effets des herbicides et défoliants sur la faune et la flore du Sud Viet Nam - les effets cliniques de l'utilisation massive et continue des défoliants sur la population civile - les récents développements en Indochine et aux USA relatifs à l'emploi des herbicides à des fins militaires - les effets des défoliants chimiques - résolution - la guerre chimique menée par les troupes US au Sud Viet Nam - action des défoliants et herbicides sur les plantes, leur utilisation au Viet Nam - l'emploi des gaz par les Américains au Viet Nam - compte rendu d'une mission d'information sur les épandages d'herbicides au Cambodge. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Compagnie Française de Librairie, 1967, in-8 br. (15 x 24), 222 p., 24 planches photos n. et b., bon état.
"Viêt-Nam ; deux syllabes répétées jusqu’à l’obsession, résument le conflit qui déchire le monde moderne. La guerre froide dont les manœuvres couvrent les cinq continents, s’embrase et devient chaude au Viêt-Nam. Il s’agit d’une tentative pour contenir l’agression politique par la guerre limitée. À l’escalade de la terreur répond l’escalade militaire. « Le poids des armes relève le défi du monde qui professe que le pouvoir est au bout du fusil ». Jean Brune a suivi jour après jour, pendant près de deux mois, dans la boue des deltas, les pistes des jungles, et jusque sur le pont des porte-avions en opérations dans le golfe du Tonkin, les péripéties de la bataille que livre l’Amérique au Viêt-Nam. Il a rapporté ce témoignage à l’opposé des conformismes idéologiques qui abusent les Français. Ce reportage réunit et résume les articles de Jean Brune qui ont paru et continueront à paraître dans la revue mensuelle "Le Spectacle du Monde" et l’hebdomadaire "Valeurs actuelles". Mais le Viêt-Nam c’est l’anecdote, parce que le terrible poids de la Chine prête une dimension nouvelle et démesurée au conflit idéologique ouvert depuis 1945 entre le monde communiste et le monde libre. Car la vieille Chine réveillée trouve dans l’idéologie marxiste le moteur d’une nouvelle expansion, assez semblable dans son mécanisme, à l’explosion arabe embrasée aux VIIIe et IXe siècles par l’Islam. La menace qui faisait trembler Kiphing se trouve multipliée par les fanatismes politiques sommaires qui aveuglent sept cents millions de Chinois. Ce qui est en cause dans ces Balkans d’Extrême Orient qu’est le Sud-Est asiatique, c’est de savoir si les libertés doivent être abandonnées aux enchères du fusil, et sacrifiées à la récitation pluri-quotidienne d’un évangile grossier, publié à des millions d’exemplaires sous couverture rouge. Un acte de renoncement au Viêt-Nam ressemblerait à celui de Munich. Nous sommes en 1938". Voir le sommaire sur photos jointes.