NON PRECISE. 1905. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages. Bandeau en noir et blanc sur la première page. Quelques rousseurs sur la première de couverture.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Reference : RO30041899
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Arléa, 2013. In-12 broché, couverture imprimée.
"Quel est le secret d'Anita Beauthier ? Rien ne la prédestinait à rencontrer Noureddine, élève en difficulté dans une école de la ville ni à lier avec lui une relation faite de crainte et de tendresse. Rien ne laissait penser non plus que Simon, beau-frère d'Anita, homme solitaire et taciturne, rencontrerait Nathalie, la voisine, trahie par son mari. Histoire d'un bonheur est le récit de ces rencontres improbables, porteuses de vraies questions : qu'est-ce que le bonheur ? Et comment se libérer des conventions d'une vie toute tracée pour découvrir, peut-être, son propre chemin ?"
Actes Sud, 1996. In-8 broché, couverture couleurs.
"En 1923, à Paris, le suicide d'un violoniste issu de la grande bourgeoisie juive de Saint-Pétersbourg provoque chez Véra, jeune femme qui fut son amie d'enfance, une vive agitation de la mémoire. À partir de là, alternant les images du passé avec la relation du présent, Nina Berberova raconte la vie, les épreuves, les émois de Véra, depuis l'enfance jusqu'à ce jour où elle rencontre enfin le bonheur qu'elle avait décidé de conquérir à tout prix. On trouve dans le Livre du bonheur l'expression d'une effervescence amoureuse qui, dans les autres romans de Nina Berberova, est souvent traitée par la litote et l'allusion. C'est pourquoi ce livre constitue un document précieux pour la connaissance de la romancière et de son œuvre."
Paris - Paris - Amsterdam de l'imprimerie de l'auteur - Louis - s. n. 1795 - 1795 - 1787 In-12° (133 x 90 mm), [1] f. - 156 pp. - [1] f. - iv - 168 pp. - 124 pp., demi-veau moucheté à coins de vélin, dos lisse orné, tranches mouchetées (reliure de l'époque).
Recueil d'éditions rares avec deux envois de Mercier de Compiègne à Monvel, l'une des grandes figures théâtrales du XVIIIème siècle. Envois de l'auteur au titre des Trois nouvelles : « Au Citoyen MONVEL / de la part de l'auteur. » ainsi qu'au verso du frontispice d'Ismaël et Christine : « De la part de l'auteur au G.[rand] Monvel /: ». Ce recueil se compose ainsi : Les Trois nouvelles (titre choisi pour parodier les six nouvelles de Florian), recueil de nouvelles galantes en vers et en prose, porte la mention de quatrième édition mais l'auteur indique dans la préface que c'est en fait la seconde, les deuxième et troisième n'étant que des contrefaçons de la première de 1791. Cette seconde édition, en partie originale, et première avouée nous dit l'auteur, est donc augmentée de la nouvelle intitulée « Corisandre et fleurie ». Cohen (II, 702) indique pour cette dernière un frontispice dessiné par Desrais sans nom de graveur. Ici, le frontispice est avant la lettre, Mercier, ne dérogeant pas à sa règle (cf. page suivante), s'en attribue le dessin : « Mercier del. », c'est aussi probablement lui qui l'a coloré. Ismaël et Christine, seconde édition, illustrée d'un frontispice non signé, est aussi en partie originale par l'ajout d'un conte moral, « Zélindor, ou essai sur le bonheur », et de « Réflexions sur le système de la nature ». L'auteur nous apprend dans la préface que ces deux écrits furent « composés dans les cachots où le dernier tyran entassait ses victimes, et dans les derniers moments d'une agonie de huit mois ». Les Contes et proverbes, suivis d'une notice sur les troubadours, remise en vente de l'originale de 1784 avec un titre rafraîchi, est un petit recueil de contes et d'anecdotes puisés chez Fauchet, Pasquier, Nostradamus, Le Grand d'Aussy, La Curne de Sainte-Palaye et de Millot. Son auteur, Jacques Cambry, porta la soutane quelques années avant de préférer une vie laïque. Il fut précepteur chez Dodun, un directeur de la Compagnie des Indes, officia comme préfet sous le Consulat et l'Empire et fonda et présida l'Académie celtique. Claude-François-Xavier Mercier (1763 - 1800), dit Mercier de Compiègne, auteur-imprimeur-libraire-compilateur, connu un grand succès pendant la Révolution, période où peu d'auteurs osaient écrire et encore moins se faire imprimer. Secrétaire du chevalier de Jaucourt jusqu'à la mort de ce dernier en 1779, Mercier de Compiègne fut placé comme commis dans les bureaux de la Marine, puis, se trouvant sans ressources à la Révolution, composa en hâte un grand nombre d'ouvrages et, pour les vendre, ouvrit une librairie. Bien qu'ayant un certain talent, surtout comme auteur de nouvelles, il semble que dans ces compilations, il empruntait beaucoup à d'autres, sans citer ses sources. Il fut ainsi emprisonné à la Conciergerie pendant plus de huit mois pour des mots qu'il déclara plus tard, ne pas être de lui. Il fut plusieurs fois réédité, ce qui durant cette période était peu commun. Malgré cela, les ouvrages de Mercier de Compiègne sont, dans leur ensemble, fort rares. Jacques-Marie Boutet de Monvel (1745 - 1802), dit Monvel, acteur et dramaturge français, né à la cour du roi de Pologne et élevé à ses frais, débuta à la Comédie-Française en 1770 et fut reçu comme sociétaire en 1772. Moins brillant que Molé, son jeu en était cependant plus sensible et plus juste. Lekain lui reprocha même de trop détailler ses rôles, de rechercher les petits effets et de manquer parfois de « noblesse ». Vers la fin de 1781, Monvel quitta Paris clandestinement. Les hypothèses allèrent bon train : était-il trop turbulent pour l'austère Comédie-Française, sa liaison avec Madame Mars (dont il eu une fille, la célèbre Mademoiselle Mars) se termina-t-elle mal ? Bisexuel, il fut par ailleurs interpellé au jardin des Tuileries en flagrant délit. Il quitta la France pour être engagé en Suède comme « lecteur » de Gustave III, y passa sept ans et y diriga le théâtre français de Stockholm. Revenu en France en 1788, il écrivit plusieurs pièces de théâtre. Mors partiellement fissurés, petite restauration à la coiffe supérieure.
A Lausanne, chez Tarin, Cahiers Vaudois, 3e cahier de la 2e série, 1915. In-8 broché, couverture décorée. Numéro du cahier manuscrit au dos.
Ravissants bois gravés en bandeaux et culs-de-lampe. Edition originale au tirage limité à 510 exemplaires numérotés, celui-ci un des 500 sur vergé anglais (227).
17,5 x 11 By [Château de By, Thomery] 1898 " Ma chère cousine, vous n'avez donc pas reçu ma dernière lettre où je vous disais que maintenant j'allais très bien. Votre télégramme d'hier m'a donc fort étonné. Je suis très occupée en ce moment à rattraper le temps perdu et je ne manque pas à faire chez moi, je vous l'assure. Du reste rien de nouveau à By toujours la même chose. Mon ami Benjamin Tedesco vous enverra la gravure des chevaux di..[mots illisibles] elle est à l'encadrement à Paris. Je vous embrasse bien ma bonne cousine et suis contente que l'influenza vous ait laissé en suspens. Dans ma lettre, je vous demandais des nouvelles ...Votre télégramme m'a donc prouvé que vous étiez en meilleure santé. Croyez à mes sincères affections." [Signature]. Rosa Bonheur (1822-1899) s'est installée au château de By (Thomery, en Seine-et-Marne). en 1860, acheté grâce à son succès commercial. En 1898, un an avant sa mort, elle est une artiste consacrée. Son importante production de tableaux, de gravures et de bronze ont été vendus par l'intermédiaire de marchands d'art, Ernest Gambart à Londres, Roland Knoedler aux Etats-Unis. Benjamin Tedesco, très proche de Rosa Bonheur, s'occupe du marché français. La galerie des frères Tedesco, spécialisée dans la peinture française du XIXe siècle, achetait directement auprès des artistes et revendait à d'autres marchands ou collectionneurs privés. La Galerie avait été créée en 1833 et elle fut fermée par les nazis en 1941. Leurs livres de compte sont conservés au Getty Research Institut, à Los Angeles. Rosa Bonheur figure parmi les artistes les plus vendus par les Frères Tedesco entre 1880 et 1922. (Isabella Zuralski-Yeager, Art Historian, Archivist at the Getty Research Institute, "Tedesco Frères Selling Rosa Bonheur: An Inquiry into Dealers Stock Books", 2022). Louise Lagrolet (Bordeaux, 1835 - Montfort-en-Chalosse, 1903), née Dublan de Lahet, épouse de Jean Lagrolet, est une cousine du côté des Dublan de Lahet : Jean-Baptiste Dublan de Lahet (1769-1830) s'est révélé au moment de sa mort être le père de la mère de Rosa Bonheur. Le Musée des Beaux-Arts de Bordeaux possède une correspondance entre la famille Lagrelet et Rosa Bonheur. Les échanges de services sont évoqués : Les frères Tédesco sont sollicités pour aider Georges, le fils de Louise, qui est dans la banque à Paris, à changer éventuellement d'emploi. Et le foie gras de canard produit par Louise à Montfort-en-Chalosse est livré à By. Mais il semble bien que la cousine Louise ait eu le sens des affaires et réclame dans ses lettres tableaux, bronze et gravures. Tédesco est chargé d'envoyer les caisses. A la mort de Rosa Bonheur, sa famille et Louise Lagrolet accuseront Anna Klumpke, légataire universelle, d'avoir capté le testament de l'artiste. Dans son testament, Rosa Bonheur avait précisé "J'ai promis verbalement à ma cousine Mme Lagrolet, la petite étude terminée de la Foulaison"... La vente publique, organisée par les Frères Tédesco en mai 1900, rapporta plus d'un million de francs. Très bon état. PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST