LES EDITIONS MONDIALES. 1950. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 347 pages. Quelques culs de lampe en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 810-Littérature américaine
Reference : RO30037234
Traduit de l'américain par Michel Arnaud. Classification Dewey : 810-Littérature américaine
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
Editions Terre de Brume / Terres Mystérieuses 2004. In-8 broché de 222 pages au format 14 x 24 cm. Couverture, à rabats, illustrée. Dos carré. Plat et intérieur frais. Complet de la bande annonce. Préface de Michel Meurger. Un des 50 exemplaires numérotés sur rives ( n° 35 ), seul grand papier, avec signature de Bram Stoker, reproduite en fac-similé. Complet du marque-pages et du Port-Folio, hors commerce, regroupant les 6 illustrations en couleurs qui ornaient l’édition originale anglaise de 1911 - illustrations jamais reprises à ce jour - réalisées par Pamela Colman Smith. Exemplaire, marque-pages et tiré à part numérotés. Etat superbe, proche du parfait. Edition originale. Rare.
Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 8,50 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Amsterdam, Aux dépens de la Compagnie, 1743, 4 tomes en 2 volumes, 10 X 17 cm., reliés, 216 + 264 + 248 + 247 pp. Pleins veaux armoriés, dos à nerfs, tranches teintées. Bandeau et lettrine à chaque début de tome, cul-de-lampe. Reliures fatiguées, manques de peau sur mors et coupes, dos incurvés à contre sens, trous de vers sur le dos du premier volume. Déchirures sur les première et dernière page du premier volume, et inscriptions anciennes au stylo sur la page de titre ; il manque trois gardes de couleur sur les quatre. Garde volante en fin du volume deux manquante. Rares rousseurs, manques de papier, ou traces d'humidité. Ex-libris de Madame Rouillarde dans le volume un, et de Madame Rouiillard dans le volume deux.
Traduit de "PAMELA, or the virtue rewarded". London, 1742 or 1771, 4 vol. in-8. La traduction française abrégée de ce roman, par l'abbé Prévost, est en 4 vol. in-12 [Brunet, IV, 1285]. Devant le succès de ce roman de moeurs, il était prévu une suite s'intitulant "Paméla dans la grandeur".
P., Emile-Paul Frères, 1923-1924, 2 vol. in-8°, xv-358 et 351 pp, 25 pl. de portraits inédits hors texte, brochés, couv. du 1er volume lég. salie, bon état
Rare complet du second volume. — La belle Paméla était l'une des deux filles adultérines de Mme de Genlis et de Philippe d'Orléans, duc de Chartres, futur Philippe-Egalité, qui finira sur l'échafaud. — "... On connaît les singulières aventures de cette fille adoptive de Mme de Genlis. Les mauvaises langues pourtant nommaient tout haut le père et la mère : c'était le fruit, disait-on, de la liaison du duc d'Orléans et de Mme de Genlis. Quoi qu'il en soit, recueillie par Mme de Genlis qui s'en amusait comme d'un jouet, la petite étrangère fut élevée avec les enfants du duc d'Orléans qui, voulant lui donner un nom poétique et harmonieux l'avait baptisée « Paméla Seymour ». La petite fille en grandissant était devenue « une créature divine toute blanche sans beaucoup de couleurs avec des attitudes nonchalantes. » Bien que de nuance différente, ce qui ajoutait au piquant de sa physionomie, ses beaux yeux séduisirent lord Edward Fitz-Gérald qui pleurait la mort d'une maîtresse adorée et qui crut la voir revivre en elle. Il s'empressa de demander sa main, et, pour symboliser les idées de liberté dont les deux époux se montraient enthousiastes, la jeune femme se maria coiffée d'un bonnet rouge qu'elle orna de fleurs d'oranger ! A l'instigation de sa femme, lord Fitz-Gérald avait essayé de soulever l'Irlande pour y établir le régime de la liberté; son projet échoua et il mourut dans un combat au cours de sa lutte contre les Anglais. La belle Paméla ne porta pas longtemps son deuil, elle épousa au bout de quelques mois un consul d'Amérique, à Hambourg, du nom de Petcairn et après avoir divorcé rentra à Paris où elle se réfugia à l'abbaye au Bois pour y faire pénitence. Ce fut là que par une nouvelle lubie, elle se fit enlever par le duc de La Force et conduire à Montauban. Elle vécut chez lui jusqu'en 1830, époque où lui-même quitta Montauban. Paméla alors regagna Paris et vint s'y recommandera la bienveillance de Louis-Philippe. Mais l'ancien compagnon de son enfance, qui, s'il ne lui était pas uni par les liens du sang devait lui être attaché tout au moins par ceux de l'amitié, resta sourd à ses prières et se refusa même à lui accorder une audience ou à lui faire tenir le moindre secours. La belle Paméla ne survécut pas à tant de disgrâces, elle végéta quelques mois et mourut en 1831, réfugiée dans un grenier dans une situation voisine de l'indigence..." (Vicomte de Reiset) — "La Belle Paméla (Lady Edward FitzGerald) est l'œuvre conjointe de l'arrière-petite-fille de Paméla, Miss Lucy Ellis, et de l'historien français Joseph Turquan, et traite de cette vie intéressante avec beaucoup d'exhaustivité et d'autorité. Sur la question de la filiation, il ne laisse aucun doute – les responsables sont Philippe Egalité et Madame de Genlis." (The American Historical Review, 1924)
P., Emile-Paul, 1923, pt in-8°, xv-358 pp, 11 portraits inédits hors texte, broché, bon état
La Belle Paméla était l'une des deux filles adultérines de Madame de Genlis et de Philippe d'Orléans, duc de Chartres, futur Philippe-Egalité, qui finira sur l'échafaud. — "Ce livre est l'œuvre conjointe de l'arrière-petite-fille de Paméla, Miss Lucy Ellis, et de l'historien français Joseph Turquan, et traite de cette vie intéressante avec beaucoup d'exhaustivité et d'autorité. Sur la question de la filiation, il ne laisse aucun doute – les responsables sont Philippe Egalité et Madame de Genlis." (The American Historical Review, 1924) — "... On connaît les singulières aventures de cette fille adoptive de Mme de Genlis. Les mauvaises langues pourtant nommaient tout haut le père et la mère : c'était le fruit, disait-on, de la liaison du duc d'Orléans et de Mme de Genlis. Quoi qu'il en soit, recueillie par Mme de Genlis qui s'en amusait comme d'un jouet, la petite étrangère fut élevée avec les enfants du duc d'Orléans qui, voulant lui donner un nom poétique et harmonieux l'avait baptisée « Paméla Seymour ». La petite fille en grandissant était devenue « une créature divine toute blanche sans beaucoup de couleurs avec des attitudes nonchalantes. » Bien que de nuance différente, ce qui ajoutait au piquant de sa physionomie, ses beaux yeux séduisirent lord Edward Fitz-Gérald qui pleurait la mort d'une maîtresse adorée et qui crut la voir revivre en elle. Il s'empressa de demander sa main, et, pour symboliser les idées de liberté dont les deux époux se montraient enthousiastes, la jeune femme se maria coiffée d'un bonnet rouge qu'elle orna de fleurs d'oranger ! A l'instigation de sa femme, lord Fitz-Gérald avait essayé de soulever l'Irlande pour y établir le régime de la liberté; son projet échoua et il mourut dans un combat au cours de sa lutte contre les Anglais. La belle Paméla ne porta pas longtemps son deuil, elle épousa au bout de quelques mois un consul d'Amérique, à Hambourg, du nom de Petcairn et après avoir divorcé rentra à Paris où elle se réfugia à l'abbaye au Bois pour y faire pénitence. Ce fut là que par une nouvelle lubie, elle se fit enlever par le duc de La Force et conduire à Montauban. Elle vécut chez lui jusqu'en 1830, époque où lui-même quitta Montauban. Paméla alors regagna Paris et vint s'y recommandera la bienveillance de Louis-Philippe. Mais l'ancien compagnon de son enfance, qui. s'il ne lui était pas uni par les liens du sang devait lui être attaché tout au moins par ceux de l'amitié, resta sourd à ses prières et se refusa même à lui accorder une audience ou à lui faire tenir le moindre secours. La belle Paméla ne survécut pas à tant de disgrâces, elle végéta quelques mois et mourut en 1831, réfugiée dans un grenier dans une situation voisine de l'indigence..." (Vicomte de Reiset)
Aventures et voyages. 1971. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Coiffe en pied abîmée, Papier jauni. 162 pages - nombreux dessins en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 843.064-BD périodiques
Sommaire : Pamela - Pamela résout vos problèmes - histoires drôles - le docteur de Pamela vous répond - poupées d'hier et d'aujourd'hui - test es tu susceptible ? - comment tina adopta narcisse - je veux être coiffeuse - Suzy et Bella. Classification Dewey : 843.064-BD périodiques