NON PRECISE. 1669 ?. In-12. Relié plein cuir. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos abîmé, Rousseurs. 438 pages - dos partiellement desolidarisé - fortes epidermures sur les plats - coins rognés - nombreuses rousseurs dans le texte sans consequence pour la lecture - 1 signet conservé - frises et culs-de-lampe.. . . . Classification Dewey : 220-Bible
Reference : RO20202860
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LEMAISTRE DE SACY (Louis-Isaac, trad.) / BIDA (Alexandre, ill.)
Reference : 598
(1882)
Paris Librairie Hachette 1882 In-f° (43 x 61.5 cm), [2] ff. bl. - [2] ff. - 38 pp. - [12] pl. - [3] ff. bl., en feuilles sous chemise éditeur imprimée fermée par des rubans.
12 EAUX-FORTES ORIENTALISTES EN PREMIER TIRAGE, UN DES 20 EXEMPLAIRES SUR PAPIER DE HOLLANDE. Édition originale de l'illustration d'Alexandre Bida. Un des 20 exemplaires sur Hollande, après 10 exemplaires sur Chine et 20 exemplaires sur Whatman. L'ouvrage est illustré de bandeaux, vignettes et culs-de-lampe ainsi que de 12 eaux fortes sous serpentes légendées, le tout d'après Alexandre Bida. Ce volume est le dernier d'une série de publications issue de la collaboration entre Hachette et Bida : aux monumentales Saintes Évangiles illustrées de 128 eaux-fortes (1873) s'ajoutent Le Livre de Ruth (1876), L'Histoire de Joseph (1878) et L'Histoire de Tobie (1880). 21e livre de la Bible hébraïque, le livre d'Esther est compris dans la tradition chrétienne parmi les "livres historiques" de l'Ancien Testament. Esther, épouse du roi de Perse Assuérus, parvient à obtenir de lui qu'il mette fin aux intrigues du vizir Haman qui projette d'exterminer la population juive. Élève de l'atelier d'Eugène Delacroix, Alexandre Bida (1813-1895) affine son trait orientaliste au cours de plusieurs voyages qui le mènent en Turquie, en Syrie, au Liban, en Grèce, en Égypte... les dessins à caractère quasi-ethnographique qu'il en rapporte intriguent à Paris : il est notamment le premier européen à représenter des personnes juives en prière devant le mur des Lamentations (Le Mur de Salomon, 1857). Exposé aux Salons de Paris puis aux expositions universelles de 1855 et 1867, il y figure curieusement parmi les peintres, bien qu'il travaille exclusivement au crayon, au fusain et au lavis de gris. Théophile Gautier comment à ce sujet : "M. Bida ne fait pas de peinture ; il est vrai qu'il n'en a pas besoin. Ces dessins sont colorés comme des Descamps et des Marilhat. Avec du noir et du blanc, il est parvenu à rendre la lumière, la chaleur ardente et l'éclat de ces belles contrées animées de soleil." (Les Beaux-Arts en Europe, 1855, p. 151) Son choix du noir et blanc, rare parmi les orientalistes, rend son travail particulièrement propice à la reproduction par la gravure. Le fait n'échappe pas à Hachette, et Bida passe contrat avec la maison d'édition pour l'illustration d'une Bible. En 1861, il part pour la Palestine, accompagné de Georges Hachette et d'un photographe, afin de réunir la documentation iconographique nécessaire au projet (le récit d'une partie de son voyage, "Excursion au Mont-Sinaï", paraît en 1864 dans la revue Le Tour du Monde dont il est l'un des illustrateurs). Ce Grand oeuvre occupera vingt années de sa carrière, s'achevant en 1882 avec la parution de L'Histoire d'Esther. La critique est unanimement positive : mêlant réalités contemporaines de l'orient à une riche documentation archéologique, Bida contribue avec sa Bible au développement d'une nouvelle iconographie sacrée. Jean de l'Hers, dans un article nécrologique de L'Art méridional, estime ainsi : "Il fut, dans tous les cas, le premier à rendre aux personnages de l'Histoire sainte les caractères de leur race, les moeurs de leur pays, leurs costumes traditionnels, en outre qu'il les replaça dans leur milieu, comme paysage et comme habitations. Il a ainsi restitué aux scènes de l'ancien et du nouveau Testament, la réalité orientale et leur a donné toute la vérité probable [...]" (15 janvier 1895, p. 11) Quelques feuillets et serpentes effrangés. Malembits Michèle. "Alexandre Bida : un Orient en noir et blanc." In Histoire de l'art, N°51, 2002. pp. 101-113.
Paris Librairie Hachette 1880 In-f° (40.5 x 58 cm), [1] f. bl. - [2] ff. - 48 pp. - [14] pl. - [1] f. bl., en feuilles sous chemise éditeur imprimée fermée par des rubans.
14 EAUX-FORCES ORIENTALISTES EN PREMIER TIRAGE, UN DES 50 EXEMPLAIRES SUR WHATMAN. Premier tirage de l'illustration d'Alexandre Bida. Un des 50 exemplaires sur Whatman, après 10 exemplaires sur Chine. Suivent 150 exemplaires sur Hollande. L'ouvrage est illustré d'une quarantaine de bandeaux, vignettes et culs-de-lampe ainsi que de 14 eaux fortes sous serpentes légendées, le tout d'après Alexandre Bida. Ce volume est l'avant dernier d'une série de publications issue de la collaboration entre Hachette et Bida : aux monumentales Saintes Évangiles illustrées de 128 eaux-fortes (1873) s'ajoutent Le Livre de Ruth (1876) et L'Histoire de Joseph (1878). L'Histoire d'Esther suivra en 1882. Livre du canon catholique et orthodoxe, le livre de Tobie est l'unique à citer l'archange Raphaël : il y intervient pour aider Tobie, jeune israëlite de la tribu de Nephthali, à guérir son père aveugle et délivrer sa future épouse de l'influence du démon Asmodée. Élève de l'atelier d'Eugène Delacroix, Alexandre Bida (1813-1895) affine son trait orientaliste au cours de plusieurs voyages qui le mènent en Turquie, en Syrie, au Liban, en Grèce, en Égypte... les dessins à caractère quasi-ethnographique qu'il en rapporte intriguent à Paris : il est notamment le premier européen à représenter des personnes juives en prière devant le mur des Lamentations (Le Mur de Salomon, 1857). Exposé aux Salons de Paris puis aux expositions universelles de 1855 et 1867, il y figure curieusement parmi les peintres, bien qu'il travaille exclusivement au crayon, au fusain et au lavis de gris. Théophile Gautier commente à ce sujet : "M. Bida ne fait pas de peinture ; il est vrai qu'il n'en a pas besoin. Ces dessins sont colorés comme des Descamps et des Marilhat. Avec du noir et du blanc, il est parvenu à rendre la lumière, la chaleur ardente et l'éclat de ces belles contrées animées de soleil." (Les Beaux-Arts en Europe, 1855, p. 151) Son choix du noir et blanc, rare parmi les orientalistes, rend son travail particulièrement propice à la reproduction par la gravure. Le fait n'échappe pas à Hachette, et Bida passe contrat avec la maison d'édition pour l'illustration d'une Bible. En 1861, il part pour la Palestine, accompagné de Georges Hachette et d'un photographe, afin de réunir la documentation iconographique nécessaire au projet (le récit d'une partie de son voyage, "Excursion au Mont-Sinaï", paraît en 1864 dans la revue Le Tour du Monde dont il est l'un des illustrateurs). Ce Grand oeuvre occupera vingt années de sa carrière, s'achevant en 1882 avec la parution de L'Histoire d'Esther. La critique est unanimement positive : mêlant réalités contemporaines de l'orient à une riche documentation archéologique, Bida contribue avec sa Bible au développement d'une nouvelle iconographie sacrée. Jean de l'Hers, dans un article nécrologique de L'Art méridional, estime ainsi : "Il fut, dans tous les cas, le premier à rendre aux personnages de l'Histoire sainte les caractères de leur race, les moeurs de leur pays, leurs costumes traditionnels, en outre qu'il les replaça dans leur milieu, comme paysage et comme habitations. Il a ainsi restitué aux scènes de l'ancien et du nouveau Testament, la réalité orientale et leur a donné toute la vérité probable [...]" (15 janvier 1895, p. 11) Quelques feuillets et serpentes effrangés. Malembits Michèle. "Alexandre Bida : un Orient en noir et blanc." In Histoire de l'art, N°51, 2002. pp. 101-113. Vicaire IV, 146
MAISON-MERE DE LA DOCTRINE CHRETIENNE. 1880. In-12. Cartonné. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Coiffe en pied abîmée, Intérieur frais. 484 pages. Dos de toile beige. Bords coins et plats frottés. Ecritures au stylosur la page de titres.. . . . Classification Dewey : 220-Bible
Classification Dewey : 220-Bible
Illustrations de Gustave Doré. Tours, Mame, 1843. Deuxieme edition , petit in folio, reliure 1/2 basane fauve à coins. Dos à nerfs orné de filets. Caissons. Fleurons avec importants décors carré ou réctagle en noir. Filets. Titre gravé sur pièce titre de maroquin rouge . Toutes tranches dorées. 520pp. Très belle reliure
Ray V5*
Paris, P. Lethielleux 1889, 1894, 240x165mm, 584 + 208 + 696pages, introduction générale: Tome premier. I Définition - II. Inspiration. - III. Canonicité. - IV. Histoire du texte. - V. Versions de la Bible. - VI. Livres apocryphes et perdus. - VII. Interprétation. 1894. En 584 pages, complets des quinze planches et fac-simile. Relié avec: Le langage symbolique et le sens spirituel des Saintes Ecritures, partie de l’Introduction générale par Th. Pr. Le Blanc d’Ambonne. 1889. En 208 pages. / Tome deuxième. VIII. - Géographie et archéologie Bibliques. 1894. En 696 pages, complets des quinze plans et gravures. Rousseurs très marginales. Reliure percaline. Titre, tomaison et éditeur dorés au dos. Tranches rouges. Dos insolé. Tome I: Etiquette de cotation sur le bas du dos et plat inférieur insolé par endroits. Cachets de bibliothèques sur plusieures pages de titres, autrement bel exemplaire.
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