GAILLARD Emile. non daté. In-8. Cartonnage d'éditeurs. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 123 pages. Quelques planches d'illustrations en noir et blanc hors-texte. Coiffes légèrement frottées. Coins frottés.. . . . Classification Dewey : 28.5-Enfantina
Reference : RO20057231
Illustrations de Laurent-Gsell. Classification Dewey : 28.5-Enfantina
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La France attache son nom à l’exploration des Mers Australes et publie la première carte de la Nouvelle-Zélande. Paris, Barrois l’aîné, 1783. In-8 deviii pp., 290 pp., 5 planches et 2 cartes hors-texte dont 1 dépliante, (1) f. Plein-veau marbré, filet à froid encadrant les plats, dos lisse orné de filets dorés, pièce de titre de maroquin rouge, filet or sur les coupes, tranches rouges. Reliure de l’époque. 189 x 120 mm.
Édition originale de la plus grande rareté de cet ouvrage capital pour l’histoire de la Nouvelle-Zélande et de la Tasmanie. Il s’agit du récit de l’une des toutes premières expéditions françaises en Australie et en Nouvelle-Zélande. Sabin, XVII, 439; Davidson, A Book Collector's Notes, pp. 98-99 ; Dunmore, t. I, p. 182 ; Du Rietz, Bibliotheca Polynesiana by Kroepelien, 1104 ; Hill, 401; Hocken, pp. 21-22; Howgego, I, C222, p. 285; Le Nail, Explorateurs et Grands Voyageurs Bretons, p. 32; New Zealand National Bibliography, t. I, 1502. “The first printed French maps of New Zealand were Marion Dufresne’s maps of 1772 in this account of Crozet’s voyage.” (Tooley, The Mapping of Australia, p. XII et p. 308, 158). “Crozet’s narrative, apart from the drama of its story, has much careful observation on Maori life and custom and, with the reports of Cook and his officers, was virtually the only source material available for 40 years… ” (New Zealand National Bibliography). “It is an exceedingly rare item and is seldom available.” (Davidson, A Book Collector’s Notes, pp. 98-99). Excellent marin, bien en cour, féru des nouveautés scientifiques, mais aussi commerçant très actif, sa curiosité est éveillée par l’accostage à Port-Louis du « Brisson », lequel ramène en Polynésie le Tahitien Ahu-Toru qui avait accompagné Bougainville en France et auquel le célèbre circumnavigateur avait promis le retour au pays. L’intendant Pierre Poivre a des instructions très précises et le devoir d’organiser la suite du voyage. Marion-Dufresne propose de l’organiser - en grande partie à ses frais - en combinant le retour de Ahu-Toru, l’exploration du sud des Océans Indien et Pacifique au-delà des 45° de latitude sud afin de repérer un éventuel continent inconnu, la reconnaissance du littoral de la Nouvelle-Zélande aux fins «de profits de pêche», et, enfin, la poursuite de la recherche vers le détroit de Torrès et Timor d’un endroit «propice à l’établissement d’un comptoir commercial». Poivre est d’accord, informe le ministre et met à la disposition de l’entrepreneur-marin une flûte de 450 tonneaux le « Mascarin » ; Marion-Dufresne affrête de son côté la frégate « Marquis de Castries » qu’il confie à Julien Crozet avec lequel il a déjà navigué. Les deux navires appareillent de Port-Louis le 18 octobre 1771, trois mois avant l’expédition commandée à Kerguelen dans le but de trouver un éventuel «continent austral». Ahu-Toru décède de la variole (sans doute contractée à Port-Louis) le 6 novembre au large de Madagascar; il n’est plus nécessaire de remonter jusqu’à Tahiti, aussi Marion-Dufresne informe le ministre qu’il fait route au Sud-Est, sous les 40°: il découvre des îles: Crozet, celle qui - maintenant sud-africaine - s’appelle «prince Édouard» après qu’il l’eut baptisée Terre de la Caverne. Une avarie assez sérieuse oblige, en janvier 1772, à trouver un abri, puis un épais brouillard gène la lente reconnaissance de poussières d’îles, sans que l’on parvienne à détecter un véritable archipel. Fin janvier, l’expédition est géographiquement assez proche de celle de Kerguelen: peut-être Marion-Dufresne a-t-il découvert les Kerguelen avant Kerguelen ? En février, à l’initiative de Crozet, on oblique à l’Est et le 3 mars on est en vue de la terre de van Diemen (Tasmanie), 130 ans après ce dernier. L’escale est pittoresque, amicale avec les insulaires; on fait de l’eau et des fruits frais. Plus loin, les autochtones accueillent avec des lances et des sagaies, ce qui amène à en tuer quelques-uns. Marion-Dufresne traverse la mer de Tasmanie et longe les côtes de l’Ile nord de Nouvelle-Zélande, leur donne des noms français sans savoir que Cook a déjà procédé à cet inventaire et ces baptêmes en 1769. Il aborde la Baie des Îles, noue des relations amicales avec les Maoris locaux, remarque leur parenté linguistique avec les Tahitiens, fait beaucoup d’observations, établit trois camps, préludes dans son esprit à un « comptoir » plus sérieux. Mais les choses se gâtent ; on fait la fête le 8 juin, mais un petit groupe de matelots en reconnaissance ne rentre pas. Marion-Dufrene descend à terre avec un groupe d’hommes et ne revient pas. Le 12 juin, il est certain que l’intrépide commandant a été massacré ; la troupe est envoyée à terre, punit, exécute quelques Maoris, incendie un village après avoir trouvé les restes d’un repas cannibale. Il est impossible de rester dans ces conditions, décrites avec précision dans le journal de bord, et l’expédition appareille le 12 juillet, sous le commandement de Crozet et de son second Ambroise Le Jar de Clesmeur. Tous deux ignorent quels étaient les réelles intentions du disparu ; les officiers réunis en conseil décident de continuer à remonter la côte et de rejoindre la route du nord « sans chercher des terres éloignées », ils doublent ainsi l’Île Rotterdam des Tonga, relâchent aux Mariannes. La navigation est lente, difficile, les cas de scorbut se multiplient. Le 23 août, les deux unités franchissent l’équateur, obliquent vers l’ouest, relâchent à Guam ou le gouverneur espagnol fournit eau fraîche, vivres et soins ; il donne aussi un pilote pour conduire les deux navires jusqu’à Manille « où on tire quelques profits des cargaisons embarquées », les deux navires et les hommes remis en état appareillent à la fin de l’année et rejoignent Port-Louis sans encombre en avril 1773. Le ministre, et les autorités trouvent les résultats de l’expédition bien décevants: pas de continent austral, seulement d’arides poussières d’îles, au climat peu attrayant et à la végétation sans intérêt. Sur le plan commercial c’est un coûteux échec : la cargaison s’est mal vendue, il reste 400 000 livres de dettes, notamment les salaires des membres des équipages et les frais de réparations. L’affaire traînera jusqu’en 1788. La mort tragique de Marion-Dufresne, qui voulut faire cohabiter exploration et spéculation commerciale, ajoute à la désillusion et montre l’impossibilité d’une installation durable dans des terres aussi hostiles et éloignées. Sans doute cette aventure est-elle la dernière des «expéditions de découverte» telles qu’elles furent menées par la plupart des Marines occidentales des XVIIe et XVIIIe siècles. (Canal Académie, «Des marins et des navigateurs», Françoise Thibault, janvier 2013). «This was the only form in which the voyage was published; it did not appear in English until H. Ling Roth's translation of 1891». «Crozet’s narrative, apart from the drama of its story, has much careful observation on Maori life and custom and, with the reports of Cook and his officers, was virtually the only source material available for 40 years» (New Zealand National Bibliography). L’illustration se compose de 4 beaux portraits de Maoris, d’une représentation d’un cèdre, d’une carte dépliante révélant les découvertes de Surville et de plus petites cartes montrant les découvertes de Marion-Dufresne en Nouvelle-Zélande et en Tasmanie. Superbe exemplaire d’une grande fraicheur, conservé dans sa reliure de l’époque, de cette édition originale de la plus grande rareté.
[Librairie de L. Hachette et Cie] - CHARTON, Edouard ; Collectif
Reference : 65623
(1860)
2 vol. in-4 reliure de l'époque demi-chagrin maroquiné vert, dos à 5 nerfs avec couronne et aigle impériales, toutes tranches marbrées, Librairie de L. Hachette et Cie, Paris, 1860, 424 et 426 pp. contient notamment : Voyage en Albanie au Monténégro en 1858 (Lejean) - Le Fleuve Amour (Lanoye) - Voyage au Littoral de la Mer Caspienne (Moynet) - Voyage en Chine et au Japon (1857-1858) (de Moges) - Voyage à la Grande Viti par John Mac-Donald (Michelant) - Voyage au Maroc (Lanoye) - Voyage de D. Giovanni Mastaï dans l'Amérique du Sud - Aventures et Chasses du Voyageur Anderson dans l'Afrique Australe (Lanoye) - La Mer Polaire (Lanoye) - Le capitaine Palliser et l'exploration des Montagnes Rocheuses (1857-1859) - Voyage en Herzégovine (Lejean) - Voyage à la Mer Caspienne et à la Mer Noire (Moynet) - Voyage de M. Môllhausen aux côtes de l'océan Pacifique (1853-1854) (Depping) - Voyages en Palestine (1856-1858) 2e Semestre : Un Mois en Sicile par Félix Bourquelot - Voyage en Perse par le Comte A. de Gobineau - Voyages aux Indes Occidentales par Anthony Trollope (1858-1859) - Voyage dans les Etats Scandinaves par Paul Riant (Le Télémark et l'Evêché de Bergen) - Voyage au mont Athos par A. Proust - Voyage d'un naturaliste (Charles Darwin) - Voyage au pays des Yakoutes par Ouvarovski - De Sydney à Adélaïde - Voyages et Découvertes au centre de l'Afrique, journal du docteur Barth (1849-1855) - Voyages et Aventures du Baron de Wogan en Californie (1850-1852) - Voyage dans le pays d'Ava (empire des Birmans) par le capitaine Henri Yule - Voyage aux Grands Lacs de l'Afrique orientale, par le Capitaine Burton - Fragment d'un voyage au Saubat par Andrea Debono - Voyage à l'Ile de Cuba par Richard Dana (1859)
Belle reliure peu commune. Etat très satisfaisant (mq. de papier en plats, mq. à un coins, petites restaurations marginales aux derniers ff. du second volume).
Paris, Garnery, Buisson, Desenne, Blanchon, 1792. 1792 1 vol in-8° (205 x 130 mm) de : [2] ff. (titre, table) ; 372 pp. ; 1 planche et 2 cartes dépliantes. (tache brune en partie centrale en pied sur les premiers feuillets, rares salissures). Demi-basane fauve dépoque, plats recouverts de papier marbré rose, dos lisse orné, pièce de titre noire, tranches jaunes. (petit manque à la coiffe supérieure et à la pièce de titre).
Rare édition originale française (EO anglaise, Londres, la même année) de la relation officielle du voyage de Bligh et de la fameuse révolte du "Bounty" traduite par F. Soulés. Relation complète de son voyage, qu'il publia deux ans après sa "Relation de lenlèvement du Navire le Bounty", parue dès son retour en Angleterre, pour que son témoignage soit connu avant l'arrivée des mutins. Avec la fin du commerce triangulaire, du fait de lIndépendance américaine, les Anglais se trouvèrent en difficulté pour nourrir les esclaves des plantations. Sir Joseph Banks (1743-1820), naturaliste de la première expédition de James Cook, propose alors au Roi George III dimplanter larbre à pain, espèce quil a observée lors de ce voyage avec Cook dans les îles de la Mer du Sud. William Bligh (1754-1817), ami de Banks et réputé pour ses qualités maritimes est nommé commandant du Bounty et appareille pour Tahiti le 23 décembre 1787 pour ramener cette espèce. Le voyage est long et difficile : ils ne rejoignent Tahiti qu'en octobre 1788. Les Tahitiens acceptent de leur céder des arbres à pain, mais la traversée ayant été plus longue que prévu, ils ne peuvent prendre la mer avant six mois. Latmosphère pénible en mer, ne lest pas moins dans ces îles où plusieurs incidents ont lieu, si bien que le 28 avril, une vingtaine de jours après leur départ (5 avril 1789), Christian Fletcher, enseigne de vaisseau, déclenche la mutinerie, suivie par onze des quarante-deux membres déquipage. Ils enlèvent le navire et forcent Bligh et dix-huit autres membres de léquipage à prendre la mer sur une chaloupe, pour un voyage qui na guère déquivalent dans lhistoire de la marine : dix-neuf hommes sur une chaloupe sur 4 000 miles. Bligh parvint lors de cette périlleuse traversée à cartographier et à nommer des parties inconnues des côtes Nord-est de la Nouvelle-Hollande. L'ouvrage est illustré d'une planche représentant le fruit de l'arbre à pain et deux cartes, la première donnant la route parcourue par Bligh de Tofo à Timor (Nouvelle-Guinée) et la seconde figurant une partie de la côte de Tahiti. Exemplaire bien conservé de la première traduction française de cette relation. 1 vol. 8vo (205 x 130 mm) with : [2] ff. (title, table) ; 372 pp. ; 1 plate and 2 folding maps. (central brown stain at foot of first few leaves, rare soiling). Contemporary fawn half-basane, boards covered with pink marbled paper, ornate smooth spine, black title page, yellow edges. (small loss to upper headpiece and title-piece). Rare original French edition (English EO, London, same year) of the official account of Bligh's voyage and the famous Bounty revolt, translated by F. Soulés. A complete account of his voyage, which he published two years after his Relation de l'enlèvement du Navire le Bounty, published on his return to England, so that his testimony would be known before the arrival of the mutineers. With the end of the triangular trade, American Independence left the English struggling to feed the slaves on the plantations. Sir Joseph Banks (1743-1820), a naturalist on James Cook's first expedition, proposed that King George III plant the breadfruit tree, a species he had observed on this voyage with Cook to the South Sea islands. William Bligh (1754-1817), a friend of Banks and renowned for his seafaring skills, was appointed commander of the Bounty and set sail for Tahiti on December 23, 1787 to bring back the species. The voyage was long and difficult, and they didn't reach Tahiti until October 1788. The Tahitians agreed to let them have some breadfruit trees, but the crossing took longer than expected, and they couldn't set sail for another six months. The harsh atmosphere at sea was no less so on the islands, where several incidents took place, so much so that on April 28, some twenty days after their departure (April 5, 1789), Christian Fletcher, ship's ensign, triggered a mutiny, followed by eleven of the forty-two crew members. They kidnapped the ship and forced Bligh and eighteen other crew members to take to the sea in a longboat, for a voyage that has few equals in naval history: nineteen men in a longboat for 4,000 miles. During this perilous crossing, Bligh succeeded in mapping and naming unknown parts of the northeast coast of New Holland. The work is illustrated with a plate depicting the fruit of the breadfruit tree and two maps, the first showing Bligh's route from Tofo to Timor (New Guinea) and the second depicting part of the Tahiti coast. A well-preserved copy of the first French translation of this report.
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Les deux ouvrages reliés en un vol. in-4(245x200) Demi veau, dos à 5 nerfs orné avec pièce-de-titre , tranches rouges. (Reliure moderne). Ouvrage orné de vignettes et de 32(sur 34) cartes et planches gravés dont des cartes dépliantes. [1 f blanc], XXIV-363 pp / [2 ff n. ch], XVI-185 - xivpp (table des matières), [1 f blanc]. Exemplaire en bel état intérieur carte et texte.
Seconde édition française de cet important voyage britannique vers le Brésil et la Patagonie, contenant aussi de précieux développements sur l'Argentine, le Pérou, le Mexique et la Chine. La traduction française est d'Élie de Joncourt. Financée par le roi d'Angleterre, l'escadre commandée par l'amiral George Anson (1697-1762) était chargée d'attaquer les possessions espagnoles en Amérique du Sud. La relation a été établie par Richard Walter sur les papiers de l'amiral et publiée originellement à Londres en 1748. Voyage à la mer du Sud fait par quelques officiers commandants le vaisseau Le Wager : pour servir de suite au Voyage de Georges Anson. Lyon, Frères Duplain, 1756. In-4, Première édition française de ce supplément au voyage d'Anson en Amérique du Sud, qui relate les aventures des rescapés du naufrage du Wager en Patagonie. Elle est ornée de deux vignettes gravées sur cuivre d’après Delamonce. bel exemplaire. Second French edition of this important British trip to Brazil and Patagonia, also containing valuable developments on Argentina, Peru, Mexico and China. The French translation is by Élie de Joncourt. Funded by the King of England, the squadron commanded by Admiral George Anson (1697-1762) was tasked with attacking the Spanish possessions in South America. The relationship was established by Richard Walter on the Admiral's papers and originally published in London in 1748. Voyage to the South Sea made by some officers commanding the Le Wager vessel: to serve as a follow-up to Georges Anson's Voyage. Lyon, Frères Duplain, 1756. In-4, First French edition of this supplement to Anson's trip to South America, which recounts the adventures of the survivors of the Wager shipwreck in Patagonia. It is decorated with two vignettes engraved on copper after Delamonce. Nice copy.
[Librairie de L. Hachette et Cie] - CHARTON, Edouard ; Collectif
Reference : 65697
(1868)
2 vol. in-4 reliure de l'époque demi-chagrin maroquiné vert, dos à 5 nerfs avec couronne et aigle impériales, toutes tranches marbrées, Librairie de L. Hachette et Cie, Paris, 1868, 434 et 434 pp. contient notamment : 1er Semestre : Voyage dans le Soudan Occidental (Sénégambie, Niger), par M. Mage - Voyage à la mer libre du Pôle arctique par le docteur Hayes - Voyage dans les Provinces du Caucase par Basile Vereschaguine - Le Far-West américain par L. Simonin - De Paris à Bucharest, causeries géographiques par Lancelot - Rome par Wey - Voyage à la Nouvelle-Calédonie par Jules Garnier - Le Japon par Aîmé Humbert - Voyage dans l'intérieur de l'Islande par Noël Nougaret - Les îles Chincha par Simonin - Le Pandjab et le Cachemirpar Guillaume Lejean - Voyage au Brésil par Agassiz - Voyage en Espagne par Gustave Doré et Charles Davilliers - L'Estrémadure - Tolède - Rome par Francis Wey
Belle reliure peu commune. Etat très satisfaisant (manque à un coin, dos lég. passés, petites usures en plats, deux coins fort. frottés, qq. rouss., bon exemplaire par ailleurs)