BERGER-LEVRAULT. 1980. In-12. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 99 pages. Nombreuses illustrations et photos en noir et blanc et quelques-unes en couleurs dans le texte et en planches hors-texte.. . . . Classification Dewey : 920-Biographie générale et généalogie
Reference : RO20052486
ISBN : 2701303419
"Prétexte de Paul fournel. Collection ""Métiers d'hier et d'aujourd'hui"". Classification Dewey : 920-Biographie générale et généalogie"
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25 x 34 Paris 1822 Album grand format, [1]-98 pp., sur papier fort et reliure pleine toile mosaïquée modernes (Etiquette de la boutique Francesco Pineider, Firenze) réunissant une série de correspondances bancaires manuscrites originales attachées (coins de lettres et trombones) à chaque page, adressées à Barthélémy Paccard, d'origine genevoise, qui fonda sa maison de banque à Paris en 1822 au début de la Restauration. La correspondance, en français, en italien et en anglais, s'étend de 1822 à 1857. Elle s'ouvre par quatre lettres (doubles feuillets, 20 x 25) signées des banquiers Carlo Rothschild (Naples 25 juin 1822 et 23 août 1822), Nathan Rothschild (London 19 July 1822), et [Jacques Marie Jean] Mirabaud (Milan 5 mai 1822). Carlo Rothschild et Mirabeau félicitent Paccard pour la création de sa maison de banque. Nathan et Carlo Rothschild font une réponse négative à Paccard, quant à son souhait de participer à l'éventuel emprunt du gouvernement napolitain traité par Carlo. Suivent les correspondances et documents suivants, associant les félicitations d'usage, des informations sur les marchés et sur la conjoncture, des offres de services et les bulletins de change de chaque place : 1. Lettre du banquier Guiseppe Maria Poggi (Milano 19 mag.1822). 2. Lettre de Pellegrini (Gênes 16 may 1822) collaborateur du banquier André de Ferrari, qui fait allusion à Messieurs de Lapanouze et Hagerchan, [banquiers à Paris]. 3. Lettre signée d'Andrea de Ferrari, (Genova 16 nov. 1822). 4. Lettre de J.-B. Pelligrini, (Gênes, 6 juin 1822) adressée "à Barthélémy Paccard, chez Monsieur César de Lapanouze" s'interrogeant par ailleurs sur les risques de guerre...5. Lettre des banquiers De La Rue frères (Gênes 13 juin 1822. 6. Lettre de B. Dunant (Gênes, 15 juin 1822). 7. Lettre de Poggi, (Milan, 12 juin 1822). 8. Lettre du banquier Ulrich Bansat & Baudeuf (Gênes 15 juin 1822). 9. Lettre de Gaulès Frères, (Gênes, 13 juin 1822). 10. Lettre d'Emanuele Fenzi, (Florence, 20 juin 1822). 11. Lettre de Reali E. Comp. (Florence, 20 juillet 1822), faisant allusion "à la prospérité de votre respectable maison de Genève". 12. Lettre de Durazzo [?] adressée à B. Paccard rue de l'Echiquier à Paris, (Gênes, 26 octobre 1826). 13. Lettre de Michel Agrifoglio, (Gênes, 20 juillet 1825), faisant allusion aux comptes des rentes viagères ...des héritiers du feu M. J. Pallavicino. 14 et 15. Lettres de A. Carmagnola, (Milan, 15 juin et 19 octobre 1822. 16. Lettre de Gio. Battista Negri, (Milan, 16 octobre 1822). 17. Lettre de D. Staurengo, (Milan 17 juin 1822). 18. Lettre de C. Forquet et L. Guisso, (Naples, 19 juillet 1822). 19. Lettre de Falconnet et Cie, (Naples, 28 juin 1822). 20. Lettre d'Em. Appelt et Cie, (Naples, 28 juin 1822). 21. Lettre de Le Cointe et Cie, (Naples, 1er juillet 1822). 22. Lettre de Binet et Cie, (Naples, 27 juillet 1826). 23. Lettre de Charles Bonnet et Cie, (Naples, 28 juin 1822). 24. Lettre de J. Labrosse, (Trieste, 25 juin 1822). 25. Lettre de Necker, Collioud et Comp., (Trieste, 6 septembre 1822). 26. Lettre de Pierre Senn & Comp., (Livourne, 15 juin 1822). 27. Lettre de Viollier & Comp., (Livourne, 15 juin 1822). 28. Lettre de J. Ulrich Walser, (Livourne, 18 juin 1822). 29. Lettre d'Isach Grego, (Venezia, 28 juin 1822). 30. Lettre des Frères Aubert fils, (Turin, 10 juin 1822). 31. Lettre de Seultheiser, (Rome, 28 juin 1822). 32. Lettre de Pellegrini, (Gênes, 1er mars 1824) faisant allusion à une opération avec M. Durazzo. Suivent de la page 38 à 92 essentiellement des bulletins de change annotés ou diverses opérations de banque, soit 67 documents adressés à Paccard, ainsi qu'à Paccard Dufour & Cie, 15 rue Richer à Paris, entre 1822 et 1857. Notons également la présence de 27 courriers des différentes places italiennes, dont l'un (3 novembre 1854) signé de Charles Perrone de Gênes fait allusion au "marquis de Brignole." Les pages 93 à 98 contiennent des documents imprimés et annotés (liquidation de la société Verita Michelagnoli à Florence en 1854, informations de la part des sociétés Carlo Massone (Gênes 1850), Monasse Luzzato (Trieste, 1848), Spaliardi (Milan 1857), Morris Prévost et Cie (Londres 1853), Simon G. Sina (Vienne, 1856) au décès du baron Georges Sina. Exceptionnelle correspondance bancaire sur une période de trente ans, de la Restauration au début du Second Empire, qui permet d'esquisser une cartographie du réseau bancaire, qu'entretint Barthélémy Paccard, notamment avec les places italiennes, Gênes en particulier. Barthélémy Paccard (1796-1863) est né à Genève d'une famille protestante. Il est le frère cadet de David-Marc Paccard (1794-1863), banquier à Genève depuis 1818. Barthélémy fit ses premières armes chez James de Rothschild à Paris, ce qui explique les premières correspondances avec Nathan et Charles de Rothschild, de Londres et de Naples en 1822. Il fonde sa propre maison de banque en commandite en 1822, au 44 rue de l'Echiquier. Son commanditaire est le banquier Andrea de Ferrari, issu d'une des grandes familles patriciennes de Gênes, associé aux banquiers genevois De La Rües et époux de Livia Pallavicino. Leur fils Raffaele de Ferrari (1803-1876) succéda à son père en 1828, épousa Marie de Brignole Sale, devint duc de Galliera en 1837 et fut un partenaire de Paccard dans ses investissements parisiens. Barthélémy Paccard s'associa en 1833 au genevois Louis Dufour, la raison sociale de la banque devenant ainsi "B. Paccard, L. Dufour & Cie". La longue lettre amicale de félicitations (5 mai 1822) du genevois Jacques Mirabaud (1784 - 1864), établi à Milan en 1814, montre l'importance du réseau genevois en Italie. Une des filles de Paccard épousera un fils de Mirabaud. Henri Mirabaud succédera en 1858 à son beau-père et sera à l'origine de la Banque Mirabaud à Paris. La crise de 1848 semble ne pas avoir épargné la maison " Paccard-Dufour ", si l'on en juge le courrier envoyé de Turin le 18 mai 1848 par Mestrezat et Cie à l'attention de " Paccard-Dufour en liquidation ". L'ensemble représente une contribution importante à l'histoire de la haute banque parisienne, et de ses liens avec notamment les maisons de banque privée du nord de l'Italie (Milan, Turin, Gênes, Trieste, Naples...), dans la première moitié du XIXe siècle. (Bibliographie : Nicolas Stoskopf et Isabelle Dumielle-Chancelier, Banquiers et financiers parisiens, 2002, notice sur Barthélémy Paccard p. 319 - Hubert Bonin, La Banque et les banquiers en France : du Moyen Age à nos jours, 1992 - Marina Romani / Luciano Maffi. "National and International Private Bankers and the Building of the Italian Credit and Financial System during Italian Unification", essay in The Journal European Economic History.] (BrouB87) PHOTOS NUMERIQUES DISPONIBLES PAR EMAIL SUR SIMPLE DEMANDE-DIGITAL PHOTOGRAPS MAY BE AVAILABLE ON REQUEST
[Imprimerie de J.-A. Quillot] - Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD
Reference : 33946
(1848)
1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté".
[RÉGIONALISME - NANTES] AUTEUR ANONYME (SOCIÉTÉ ANONYME DE LA BANQUE D'ESCOMPTE DE NANTES)
Reference : 28571
(1821)
Nantes 1821-1824 2 cahier brochés (débrochés) manuscrits à l'encre brune sur papier vergé crème , ligné et filigrané : " au cornet (cor de postillon) avec courroie simple en pendentif surmonté d'une couronne Royale" pour le cahier : Année 1821 et filigrané "GIRARD FRERES A TIFFAUGES" pour le cahier 1824, de 66 pages (pour 1824) et 48 pages pour (1821), format : 37 x 25 cm, l'année est notée a la main à l'encre brune, en haut de la page de couverture avec la mention "1821 Echeances Nantes", il n'y a pas de couverture pour l'Année 1824, l'année est juste notée en haut de 1ère page à droite , le mois est noté sur chaque en haut de page, DE GAUCHE A DROITE : une colonne avec le jour ou la lettre a été acceptée, une colonne avec la somme notée en livres, une colonne avec le genre de l'effet de commerce, une colonne avec le nom pour le compte de qui elles ont été tirées, une colonne pour le jour du mois ou échouent les traites et une colonne pour le nom du porteur qui la fait accepter ( l'année 1921 s'achève fin octobre le reste des pages de l'année est manquant - l'année 1824 est complète), quelques trace d'acidité du papier en marge, mais l'ensemble est bien lisible,
reférences pour savoir ce qu'est un LIVRE DE TRAITES ET ACCEPTATIONS D'EFFETS DE COMMERCE ET LETTRES DE CHANGE D'UN BANQUIER : REF : ("RICARD Samuel - L'ART DE BIEN TENIR LE LIVRES DE COMPTES EN PARTIES DOUBLES A L'ITALIENNE, avec une table alphabétique de l'explication des termes qui sont le plus en usage dans le commerce, tant en change qu'en marchandises, & maritime, pour servir à l'intelligence de l'application qui en peut être faite, tant sur le journal que sur le grand livre. par Samuel Ricard. Ouvrage très-utile & necessaire tant pour les Banquiers que pour tous les Négocians qui négocient, soit pour leur propre compte, qu'en Compagnie ou pour compte d'autrui; & pour toute la Jeunesse qni veut se pousser dans le Commerce, & pour ceux qui ont à travailler à la vérification & liquidation de toutes sortes de Comptes. Corrigé & augmenté de quantité d'articles curieux & des plus difficiles qui se rencontrent dans le commerce par Jean-Pierre Ricard"- Amsterdam David Paul Marret 1724 - voir page 27) ................. Après 1817, seule la TRAITE DES NOIRS est interdite, l'ESCLAVAGE ne l'est pas, et les Armateurs Nantais pratiquent illégalement le commerce d'êtres humains pour fournir en main d'uvre les colonies. Il faut attendre la troisième loi abolitionniste, en 1831, pour que la traite cesse pour de bon. Entre 1811 et 1831, la traite française frappe 100 000 Noirs, ce trafic étant pour moitié directement lié au port de Nantes ................. ce qui m'a fait penser à la SOCIÉTE ANONYME DE LA BANQUE D'ESCOMPTE DE NANTES pour l'ATTRIBUTION DE CES 2 LIVRES D'ÉCHÉANCES, c'est l'article de serge DAGET : "NÉGRIERS NANTAIS DU TRAFFIC ILLÉGAL, 1814-1833", pages 125 à 130 [article] dans la Revue française d'histoire d'outre-mer, tome 62, n°226-227, 1er et 2e trimestres 1975. La traite des Noirs par l'Atlantique : nouvelles approches. (voir sur google , taper : https://www.persee.fr/doc/outre_0300-9513_1975_num_62_226_1821)SERGE DAGET dit que cette banque formée le 16 Septembre 1817 en société anonyme, fondée par 43 Armateurs de la place de Nantes, les mêmes Armateurs Négriers Récidivistes regroupés en CONSORTIUM, habitués à escompter les effets de commerce, appuyés sur Leurs Propres Ressources et sur la Finance Locale (le Banquier Nantais E. GOÜIN et le Banquier Nantais HAUTRET [présents a trés nombreuses reprises dans les 2 cahiers]) ont délégué certains de leurs représentants à des postes à responsabilités pour protéger le CONSORTIUM, BOURGAULT-DUCOUDRAY et GENEVOIS, 6 et 5 fois Négriers récidivistes ont été portés à la Présidence du Tribunal de Commerce de Nantes ........ dans ces 2 cahiers, ont voit passer les traites de : MOSNERON DUPIN, LERAY, COÜY , BOUCHÉ jeune, BRYHAND, DELABROSSE, DESPECHER, ERNEST, ROSSEL ET BOUDET (Armateurs Négriers récidivistes : 2 expéditions Négrières aprés l'interdiction de 1817), HERBERT ET SALLIER, JOGUE ET DUFOU, OGEREAU, ANTHOINE, BOURCARD, HAENTJENS, HARANCHIPY Vve et FILS, LEVÊQUE et Cie, MICHAUD (Armateurs Négriers récidivistes : 3 expéditions Négrières aprés l'interdiction de 1817), BAIZEAU, JOLIN-DUBOIS et Cie, LIANCOURT (Armateurs Négriers récidivistes : 4 expéditions Négrières aprés l'interdiction de 1817), BONFILS, GENEVOIS (Armateurs Négriers récidivistes : 5 expéditions Négrières aprés l'interdiction de 1817), BOURGAULT-DUCOUDRAY, FRANCOIS, SALLENTIN, TRANCHEVENT(Armateurs Négriers récidivistes : 6 expéditions Négrières aprés l'interdiction de 1817) , CARMICHAEL, GIRAUD (Armateurs Négriers récidivistes : 7 expéditions Négrières aprés l'interdiction de 1817), LOUIS BUREAU, CHARDONNEAU (Armateurs Négriers récidivistes : 10 expéditions Négrières aprés l'interdiction de 1817), VALLÉE et FILS (Armateur Négrier récidiviste : 31 expéditions Négrières aprés l'interdiction de 1817) ........ en résumé ce qui se trouve dans ces 2 cahier d'ÉCHÉANCES correspond en tout point à la SOCIÉTE ANONYME DE LA BANQUE D'ESCOMPTE DE NANTES, décrite par SERGE DAGET ....... Il n'y avait pas que des armateurs négriers dans cette banque, on peut y voir THOMAS DOBRÉE et bien d'autres Armateurs qui eux n'ont pas été récidivistes, FAVRE-PETITPIERRE et C ie, indienneur, COQUEBERT ou LOUIS SAY Raffineurs, LOUIS GEORGES LAW DE LAURISTON, RECEVEUR DES FINANCES .... etc..., UNIQUE ....... en bon état malgré les légers défauts signalés( good condition in spite of the light defects indicated). en bon état
Acte authentique de 4 ff., daté et signé du 23 octobre 1902 : Acte notarié (expédition) de Modifications de Statuts de la Société Gomez Vaëz & fils daté du 23 octobre 1902. Entre Samuel Léonce Gomez-Vaëz, banquier demeurant à Bordeaux, cours du Trente Juillet n°15 et Léonce Emile Gomez-Vaëz, banquier demeurant à Bordeaux, cours du Jardin Public n°27. Prorogation au 30 juin 1914.
Intéressant document évoquant les banquier bordelais Gomez-Vaëz, prorogeant leur association jusqu'au 30 juin 1914. Très bon état.
- Lettre de change (2 pages) datée du 28 Xbre 1785 de Caen, signée Delaveyne Déperiers avec au dos plusieurs ordres de paiement datés de 1785 et 1785 et signés par Delaveyne Déperiers, De Boisnormand, Vimart - Reconnaissance de dépôt de traite (1 pages) par M. de Laveyne Desperiers pour M. Lambert, datée du 28 Xbre 1785 à Caen, signée par De Boisnormand (avec note en bas d'une autre écriture). - Protet contre M. Lambert (1 page ) rédigé par Benoist Nicolas Mauroy, huissier, daté du 10 mars 1786, faisant mention de le lettre de change du 28 Xbre 1785 et signé au dos par différents intervenants. Les 3 documents en très bon état.
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