‎CHADOURNE Marc‎
‎L'U.R.S.S. sans passion.‎

‎MORNAY. 1932. In-8. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Coiffe en tête abîmée, Intérieur bon état. 172 pages. Frontispice noir et blanc. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans le texte et en doubles-planches hors-texte. Exemplaire n°405 / 1985 tiré sur papier Vélin du Marais. Couverture contre-pliée.. . . . Classification Dewey : 947-Europe de l'Est, URSS‎

Reference : RO20040678


‎"""Collection originale n°26."". Classification Dewey : 947-Europe de l'Est, URSS"‎

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‎PERRIN, Emile‎

Reference : 44449

(1860)

‎Chronique Musicale. [ Manuscrit autographe signé de 12 pp. in-8, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860 ] "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎

‎Manuscrit signé de 12 feuillets in-8 oblong rédigés au recto, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860, tome IX, pp. 409-413 : Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et de sa réception en France sont très informées. "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique." ‎


‎Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et la présentation de sa réception en France sont celles d'un critique très informé. Manuscrit provenant du fonds Dentu (l'éditeur Edouard Dentu prit la direction de la Revue Européenne de 1859 à 1862).‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR390.00 (€390.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110649213

(1935)

‎Ciné-miroir n° 513 - Clive Brook, dans Le dictateur, Cécile Sorel incarnera-t-elle Sarah Bernhardt a l'écran ?, C'est pour toujours, Crimse sans passion, Un mort bien vivant, George Raft, Le comte Obligado, Le centenaire, Un train dans la nuit, Une femme‎

‎Bureau du journal. 1er février 1935. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 65 à 80. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 791.43-Cinéma‎


‎Sommaire : Clive Brook, dans Le dictateur, Cécile Sorel incarnera-t-elle Sarah Bernhardt a l'écran ?, C'est pour toujours, Crimse sans passion, Un mort bien vivant, George Raft, Le comte Obligado, Le centenaire, Un train dans la nuit, Une femme diabolique Classification Dewey : 791.43-Cinéma‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎SIRMOND, Jean. (1589-1649)‎

Reference : ARCA-00069

(1632)

‎La vie du cardinal d'Amboise (1) ; La défense du Roy et de ses ministres contre le Manifeste, que sous le nom de Monsieur on fait courre parmi le peuple. Par le Sieur de Montagnes (2) ; Discours au Roy touchant les libelles faits contre le gouvernement de l'Estat (3) ; Advis d'un théologien sans passion ; Le coup d'estat de Louis XIII (5) ; Advertissement aux Provinces sur les nouveaux mouvements du Royaume par le Sieur de Cléonville (6) ; Response au libelle intitulé très humble, très véritable et très importante remonstrance au Roy (7) ; Discours sur plusieurs poincts importans, de l'estat présent des affaires de France (8) .‎

‎Tous ces libelles sont reliés en un volume In-8 demi veau, dos à nerfs. (1) : Paris, Richer, 1631. 2 feuillets non chiffrés, 153 pages & 2 pages non chiffrées (privilège). (2) : Paris, Richer, 1631. 4 feuillets non chiffrés, 152 pages. (3) : sans lieu, 1631. 32 pages. (4) : sans lieu ni date, 32 pages. (5) : Paris, sans date. 47 pages. (6) : Paris, sans date. 64 pages. (7) : Sans lieu, 1632. 143 pages. (8) : Paris, sans date. 32 pages.‎


‎Pamphlets et polémiques sous Richelieu. Né à Riom en 1589. La faveur de Richelieu lui valut d'être nommé historiographe du roi, aux appointements de douze cents écus. Il fut en butte aux attaques de l'abbé de Saint-Germain, aux libelles de qui Richelieu l'avait chargé de répondre. Admis à l'Académie avant le 13 mars 1634, il collabora à la rédaction des statuts et fit partie de la commission de révision des Sentiments de l'Académie ; il a laissé des vers latins et une Vie du Cardinal d'Amboise. « Sa prose marque beaucoup de génie pour l'éloquence ; son style est fort et mâle, et ne manque pas d'ornements. » (Pellisson). Historiographe de France. - Membre de l'Institut, Académie française (élu en 1634).‎

Arcala Livres Anciens - Clermont-Ferrand

Phone number : 33 04 73 90 39 27

EUR900.00 (€900.00 )

‎CHADOURNE Marc‎

Reference : 76324

(1932)

‎L'U.R.S.S. sans passion‎

‎Editions Mornay, Paris 1932, 12,5x20cm, relié.‎


‎Edition originale, un des 160 exemplaires numérotés sur Hollande, tirage de tête après 40 Japon. Reliure en demi maroquin orange à coins, dos légèrement éclairici à quatre nerfs, date dorée en queue, encadrement de filets noirs sur les plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos conservés, tête dorée sur témoins. Légères éraflures sur les nerfs de la reliure, quelques petites rousseurs sans gravité en fin de volume. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR150.00 (€150.00 )

‎CHADOURNE MARC‎

Reference : R160161891

(1932)

‎L'U.R.S.S SANS PASSION‎

‎PLON. 1932. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Mouillures. XIV + 223 Pages - Quelques planches en noir et blanc - 1er plat légèrement abîmée - Coiffes abîmées - Traces de mouillures sans conséquence pour la lecture. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎


‎ Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎

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