‎ANONYME‎
‎De la fable‎

‎[Fable Manuscrite 1883] Poésies patoises et françaises + Manuscrit d'une "Fable imitée de La Fontaine" : Lou Ra et la Granouyo + Envoi de sa veuve‎

‎Cette anthologie parue aux œuvres complètes de Bigot en 1907 chez Azémard rassemble 3 recueils de poèmes occitans en dialecte de Nîmes, un recueil en français et une première publication de ses œuvres posthumes : Li Bourgadieiro Li Fieuyo Toumbado Li Flou d'Armas (précédé d'une épitre inédite en vers patois de Jean Reboul) Les rêves du foyer Œuvres posthumes In-8° relié demi-chagrin nuit, plats marbrés méthylène, 23x15cm, XXXII+496 pages, 1907, Établissements Azémard Cousins, Nîmes. Coins légèrement frottés, coiffes et nerfs émoussés. Ce volume est enrichi d'un envoi de la veuve de l'auteur ainsi que d'une lettre signée de la main de Bigot et datée de 1884 : dans laquelle il envoie à un ami un manuscrit d'une fable imitée de La Fontaine : "Lou Ra et la Granouyo" (4 grandes pages de 30x20cm, écrites en occitan). Fable n'ayant jamais été éditée dans un recueil (la seule trace se trouvant dans les Mémoires de l'académie de Nîmes pour l'an 1883)‎

‎Attributs des Divinités de la Fable. J.B Payan suivi d'Agnès, comte amusant‎

‎Attributs des Divinités de la fable. J.B Payan suivi de Agnès, conte amusant ( 40pp) "Attributs des Divinités de la Fable" est une œuvre écrite par Jean-Baptiste Payan (1758-1813), un artiste français spécialisé dans la gravure et l'illustration. Le livre a été publié en 1801 et présente une série de portraits des divinités et des personnages mythologiques de la Grèce antique, accompagnées de descriptions détaillées. Dans cet ouvrage, Payan associe différents attributs visuels aux divinités de la mythologie grecque. Ces attributs sont des éléments distinctifs qui aident à identifier chaque divinité et à comprendre son rôle et ses caractéristiques. Voici quelques exemples d'attributs associés à certaines divinités dans "Attributs des Divinités de la Fable" : Zeus (Jupiter) : Sceptre : Symbole de pouvoir et de souveraineté. Foudre : Instrument de sa puissance et de son autorité sur les éléments. Héra (Juno) : Couronne royale : Indique son statut de reine des dieux. Paon : Oiseau sacré, associé à la déesse pour sa beauté et sa majesté. Poséidon (Neptune) : Trident : Son arme caractéristique et symbole de son contrôle sur les mers. Chevaux marins : Souvent représenté avec des créatures marines, faisant référence à son pouvoir sur les océans. Athéna (Minerve) : Casque : Représente la sagesse stratégique et la protection guerrière. Chouette : Symbole de la sagesse et de la connaissance. Arès (Mars) : Armure de guerrier : Souligne son rôle en tant que dieu de la guerre. Lance et bouclier : Instruments de combat. Aphrodite (Vénus) : Coquillage : Symbole de la naissance de la déesse et de sa connexion à la mer. Ceinture magique : Associe à sa beauté et à son pouvoir d'attirer l'amour. Apollon : Lyre : Instrument de musique qui symbolise la musique et les arts. Arc et flèches : Signes de son rôle de dieu de la lumière, de la vérité et de la médecine. Artémis (Diane) : Arc et flèches : Représentent sa connexion à la chasse et à la nature sauvage. Biche : Animal associé à la déesse en tant que chasseresse. Ces attributs sont des éléments visuels essentiels pour comprendre les caractéristiques et les rôles des divinités de la mythologie grecque. Ils sont souvent utilisés dans l'art pour identifier rapidement les dieux et déesses représentés. volume in12, 10x7cm, relié demi-cuir, bon état intérieur, 140pp. Paris, Garnier, 1829 ref/262 ‎

‎Le symbolisme dans la fable - Les racines métahistoriques des contes de fées , Traduit de l'italien par Philippe Baillet‎

‎Guy Tredaniel, Editions de la Maisnie Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1979 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée à rabats éditeur blanche, illustrée d'une vignette en couleurs grand In-8 1 vol. - 219 pages‎

‎ édition de 1979 Contents, Chapitres : Le mythe et la fable - Les interprétations de la fable - La fable populaire hongroise - Neuf fables hongroises - Dix fables transylvaniennes couverture à peine jaunie, sinon bon exemplaire, intérieur frais et propre‎

‎traité de la mythologie ou explication de la fable par l’histoire et les hiéroglyphes des Egyptiens,véritable source de la fable.Cinquième édition revue et augmentée par l’auteur.‎

‎ou explication de la fable par l’histoire et les hiéroglyphes des Egyptiens,véritable source de la fable.Cinquième édition revue et augmentée par l’auteur.In 8 plein veau fauve ,dos lisse,filets,roulette dorés.pièce de titre cuir vert.XXXVI-543pages,nombreuses figures en taille douce en plusieurs planches hors-texte dépliantes(trois planches incomplètes)Veuve Villier 1808.coins légèrement émoussés. ‎

‎La fable des abeilles ou les fripons devenus honnetes gens. Avec le commentaire, ou l'on prouve que les Vices des Particuliers tendent à l'avantage du Public. Traduit de l'anglois sur la sixième édition.‎

‎A Londres, Aux dépens de la compagnie, 1740, 4 volumes in-12°, XXII-333, 267, XLVIII-282 et 270 pages, cartonnage marron, dos lisses ornés de filets dorés.‎

‎EDITION ORIGINALE de la traduction française. Des papiers collés sur les dos (probablement des numéros de cote d'une bibliothèque) ont été arrachés, d'où quelques menus manques (voir photo).. La Fable des abeilles décrit avec passablement de cynisme les ressorts de la prospérité de l'Angleterre du 18e siècle. Mandeville y dénonce les fausses vertus que sont, par exemple, la modestie, la décence, l'honnêteté et le sens de la hiérarchie. Il tente de montrer comment la convoitise, l'orgueil et la vanité sont les ressorts de l'opulence. Il souligne, en somme, l'utilité économiques des vices et montre, du même souffle, l'harmonie naturelle des intérêts. La Fable provoquera un véritable scandale. Les journaux seront le lieux de débats acrimonieux, alors que l'Église condamnera ce diable d'homme ("Man-Devil"). Or, on semble avoir mal compris le sens de la dichotomie vertu/vice qu'utilise Mandeville. La vertu, selon lui, est toute action qui s'oppose aux impulsions de la nature et qui cherche à faire le bien public, alors que le vice est tout ce que l'homme accomplit pour satisfaire ses appétits sans considération pour le bien public. Les vices auxquels Mandeville prête une utilité économique ne sont donc pas l'ivrognerie, la pyromanie ou la luxure. Non, ce sont plutôt la convoitise, la recherche du profit individuel, l'orgueil. Ce sont ces passions naturelles toujours à l'oeuvre mais que dissimule l'état social. Ce sont, en un mot, tout ce qui pousse les hommes à embaucher des domestiques, à se faire confectionner des robes magnifiques ou des bijoux coûteux, en somme à chercher à devenir riches et à dépenser sans compter pour montrer qu'on l'est devenu. Satisfaire l'extravagance du riche, écrit-il, donne du travail aux pauvres. La prodigalité est utile, la frugalité est nuisible. Malthus et Keynes auront compris la leçon...‎