Bernard Grasset. 1941. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Coiffe en pied abîmée, Quelques rousseurs. 393 pages - papier jauni - légères rousseurs sur les plats - quelques traits au crayon à papier en marge du texte sans conséquence sur la lecture.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Reference : R320159898
Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
ICT. 1993. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 136 pages. Quelques rares annotations dans le texte.. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Publié par l'Institut Catholique de Toulouse. Supplément au 'Bulletin de Littérature ecclésiastique'. Sommaire: Avant-propos, La CHRONIQUE. Péguy et la France de son temps, Brigitte QUILHOT. Péguy lecteur de Renan, Jean SAROCCHI. Charles Péguy et l'Eglise de son temps, Jean LYON. Charles Péguy et les Cahiers de la Quinzaine, Jean-Claude MEYER. Péguy et Emmanuel Mounier, Maurice MONTABRUT. Péguy socialiste mis en croix, Jean BASTAIRE. Péguy poète chrétien, Clément DELMAS. Une Sainteté de la Terre, Yves DENIS. Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Maison des sciences de l'homme 1985 collection l'amitié Charles Péguy. in 8. 1985. broché.
Très bon état
Grasset, 1941, in-12, 393 pp, broché, bon état
"Ce livre offre un grand intérêt. (...) C'est à travers la vie de Péguy que nous pouvons apercevoir, grâce à M. Daniel Halévy, tout un pan de l'histoire de la IIIe République. A coup sûr, M. Daniel Halévy n'est pas tendre à l'égard de celle-ci, mais peu nous importe, et il nous suffit qu'il introduise honnêtement le témoignage de Péguy lui-même pour que nous lui sachions gré de son effort, en vue de faire revivre les milieux humains où a vécu son héros. La politicaillerie dont Péguy s'est dégagé et qui l'a fait souffrir dans son âme et dans son corps, les milieux universitaires, l'école de Georges Sorel, les mouvements littéraires personnifiés par Claudel et Romain Rolland, l'École normale du temps de Perrot et de Lucien Herr, la Sorbonne historique et sociologique, et, avant encore, le collège Sainte-Barbe et les milieux populaires d'Orléans, – comme, au terme du livre, et de la vie de Péguy, – l'attente de la guerre de 1914 et ses premières réalités, – jusqu'à la mort de Péguy, le 5 septembre 1914, tout cela défile dans le livre de M. Daniel Halévy, avec les précisions, les références, les discussions utiles. Ainsi ce livre, qui est l'hommage d'un admirateur et d'un ami, est aussi une contribution historique de premier ordre." (Georges Bourgin, Revue Historique, 1943) — "La jeune floraison des Cahiers dura dix ans. De 1910 à 1914, il y aura Péguy et sa grandeur solitaire portée par les Cahiers, mais dressée plus haut qu’eux. De 1900 à 1910, il y eut les Cahiers, c’est-à-dire Péguy dans un entourage, en plein travail et entrain de jeunesse fraternelle. Après avoir quelques mois campé dans la chambre de Jérôme Tharaud, il transporta ses dossiers rue de la Sorbonne, dans une École de Journalisme qu’une agitée du dreyfusisme, Mme Dick May, avait installée là. Les Cahiers eurent une table, un espace réservé au premier étage. À côté des paperasses de Péguy, il y avait celles de Guieysse et de ses Pages libres. L’École de Dick May commença un voisinage qui dura longtemps. En octobre 1901, les Cahiers et les Pages libres, se déplaçant ensemble, s’installèrent, à vingt pas de l’École, dans une boutique dont une inscription rappelle aujourd’hui l’ancien emploi. La boutique, étroite et longue, fut divisée et cloisonnée. On ouvrait la porte : un couloir (plutôt un boyau) menait vers l’arrière boutique, où se tenait Guieysse : à gauche, une porte, et, franchie cette porte, il restait un petit espace qui était le domaine de Péguy. Sa boutique." (p. 102-103)
Grasset, 1943, in-12, 393 pp, broché, bon état, envoi a.s.
"Ce livre offre un grand intérêt au regard de l'histoire de la IIIe République. (...) Ce qui parait le plus extraordinaire dans la vie de Péguy, c'est précisément l'effort tenté par tant de cénacles de la bourgeoisie de s'annexer, en quelque sorte, le fils de la rempailleuse de chaises du faubourg orléanais, l'homme que je revois toujours, à travers tant d'années, le corps enveloppé dans sa longue cape, les lourds souliers aux pieds, la tête osseuse, avec la barbe frisottante et des yeux magnifiques d'audace et de candeur maligne. C'est à travers cet homme, – cet homme petit par la taille, dont le talent est peut-être plus discutable que ne pense M. Daniel Halévy, mais dont la force de volonté fut extraordinaire, – c'est à travers lui que nous pouvons apercevoir, grâce à M. Daniel Halévy, tout un pan de l'histoire de la IIIe République. A coup sûr, M. Daniel Halévy n'est pas tendre à l'égard de celle-ci, mais peu nous importe, et il nous suffit qu'il introduise honnêtement le témoignage de Péguy lui-même pour que nous lui sachions gré de son effort, en vue de faire revivre les milieux humains où a vécu son héros. La politicaillerie dont Péguy s'est dégagé et qui l'a fait souffrir dans son âme et dans son corps, les milieux universitaires, l'école, – si l'on peut dire, – de Georges Sorel, les mouvements littéraires personnifiés par MM. P. Claudel et Romain Rolland, l'École normale du temps de Perrot et de Lucien Herr, la Sorbonne historique et sociologique, et, avant encore, le collège Sainte-Barbe et les milieux populaires d'Orléans, – comme, au terme du livre, et de la vie de Péguy, – Ï'attente de la guerre de 1914 et ses premières réalités, – jusqu'à la mort de Péguy, le 5 septembre 1914, tout cela défile dans le livre de M. Daniel Halévy, avec les précisions, les références, les discussions utiles. Ainsi ce livre, qui est l'hommage d'un admirateur et d'un ami, est aussi une contribution historique de premier ordre." (Georges Bourgin, Revue Historique, 1943) — "La jeune floraison des Cahiers dura dix ans. De 1910 à 1914, il y aura Péguy et sa grandeur solitaire portée par les Cahiers, mais dressée plus haut qu’eux. De 1900 à 1910, il y eut les Cahiers, c’est-à-dire Péguy dans un entourage, en plein travail et entrain de jeunesse fraternelle. Après avoir quelques mois campé dans la chambre de Jérôme Tharaud, il transporta ses dossiers rue de la Sorbonne, dans une École de Journalisme qu’une agitée du dreyfusisme, Mme Dick May, avait installée là. Les Cahiers eurent une table, un espace réservé au premier étage. À côté des paperasses de Péguy, il y avait celles de Guieysse et de ses Pages libres. L’École de Dick May commença un voisinage qui dura longtemps. En octobre 1901, les Cahiers et les Pages libres, se déplaçant ensemble, s’installèrent, à vingt pas de l’École, dans une boutique dont une inscription rappelle aujourd’hui l’ancien emploi. La boutique, étroite et longue, fut divisée et cloisonnée. On ouvrait la porte : un couloir (plutôt un boyau) menait vers l’arrière boutique, où se tenait Guieysse : à gauche, une porte, et, franchie cette porte, il restait un petit espace qui était le domaine de Péguy. Sa boutique." (p. 102-103)
BUREAU DE LA REVUE. DEC 62-JANV 63. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 163 à 320.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Sommaire : La poésie populaire bulgare par Tania Velmans, Poésie native par Luc-André Marcel, Péguy et ses cahiers de la quinzaine par Jules Isaac, Poèmes par Claude Sernet, Le mythe et l'instant par André Miguel, Mémoire par Maxence, Thes/Niki par Jean Roudaut, Scories par Jacques Borel Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française