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Pujade-Renaud Claude & Zimmermann Daniel
La commune n'est pas morte.
Messidor / La Farandole. 1991. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 73 pages.. . . . Classification Dewey : 944.0811-Guerre et révolution de 1870/1871
Reference : R320154815
ISBN : 2209064767
Classification Dewey : 944.0811-Guerre et révolution de 1870/1871
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La calotte N°375 Mai 1991 Mensuel satirique - ni dieu, ni césar, ni tribun- Consensus pour la vie - la commune n'est pas morte - l'important c'est la fraternité - le national occultisme - le mythe du diable
La calotte. 1991. In-Folio. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 8 pages. Quelques illustrations en noir et blanc, dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Consensus pour la vie - la commune n'est pas morte - l'important c'est la fraternité - le national occultisme - le mythe du diable Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Culture au Service du PeupleIl y a 25 ans : les Interventions aux Causeries sur la littérature et l'art à Yenan - Application des Interventions aux réalités de la Belgique en 1967 - Vive le 1er mai. Journée Internationale de lutte des travailleurs - Le prochain spectacle du T. P. B. : Actualités. Un programme urgent et indispensable - Un jeune poète du Dahomey nous envoie ce poème : Enfant d'Afrique - Le théâtre populaire censuré à la T.V. - La R. T. B. et l'escalade dans la Kollaboration avec l'imperialisme yankee - Lettre du Sud-Vietnam - La littérature enfantine et les trust du jouet au service de l'impérialisme yankee - Un roman algérien : "Le Silence des Cendres" de Kaddour M'Hamsadji - La "Compagnie du Bateau Ivre" : "La Commune n'est pas morte" - L'insurection de Peter Weiss. Autre mystification de "théâtre engagé" ou Brecht tourné en son contraire - "La Culture et les Hommes" selon le "Drapeau Rouge" ou les revisionnistes colporteurs dégénérés de l'anticulture - Récits de l'ancienne Résistance - ...
N° 3 - avril-mai 1967 - Edité par le Théâtre populaire de Bruxelles - Format à l'italienne - revue illustrée - Broché
bon état
La Commune n'est pas morte (Les usages politiques du passé de 1871 à nos jours)
2013 Editions Libertalia (2013) - In-12 broché de 192 pages - Couverture en couleurs de Tardi - Iconographie - Etat neuf
Aujourdhui analysée par les historiens comme un singulier crépuscule des révolutions du xixe siècle, la Commune de Paris fut longtemps considérée comme laurore des révolutions du xxe siècle, comme une lutte à poursuivre. Cet essai se penche sur les usages politiques des mémoires de cet événement tragique dont la complexité favorise une grande plasticité mémorielle. Et chacun investit cet événement fascinant de ses propres attentes, étroitement liées aux enjeux politiques du temps. Les mémoires de la Commune sont plurielles et conflictuelles. Répliquant à la violence discursive des Versaillais, puis à la volonté doubli des républicains modérés, les vaincus imposent dès les années 1880 la montée au mur des Fédérés comme un rituel politique révolutionnaire majeur. À partir des années 1920, les usages mémoriels dominants sont le fait du communisme, et dans une moindre mesure des socialistes et des anarchistes. Dans le même temps, lextrême droite est tiraillée entre la redite des outrances versaillaises et la volonté de sapproprier lépopée communarde en vain. De 1871 à 1971, la Commune est mobilisée, intégrée avec force aux luttes politiques et sociales ; et elle mobilise à son tour, contribuant parfois aux victoires des forces de gauche en France, lors du Front populaire notamment. La Commune est alors politiquement vivante. Après le chant du cygne du centenaire (1971), vient le temps de lapaisement et du déclin. Mais si la Commune peine à mobiliser aujourdhui, son mythe apparaît indéracinable et ressurgit ponctuellement dans le champ politique, parfois avec force.
