"Editions montaigne. 1934. In-12. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Dos satisfaisant, Papier jauni. 222 pages - tâches brunes sur les plats - coupure de presse "" André Foucault la marquise"" collée sur la page de garde.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle"
Reference : R320116431
Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
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A paris, chez treuttel et Wurtz, 1812. 20 x 13,5 cm. Tome 1 : lxxviii et 364 pages. Tome 2 : 472 pages. Tomes 3 : 463 pages. Tomes 4 : 496 pp. et 468 pp. Illustré d'un portrait de la marquise du Deffand par Forshel d'après un dessin de M. de Carmontelle en frontispice du premier volume. Quatre volumes reliés plein veau marbré d'époque, dos lisses ornés, pièces de titre rouges et noires, pointillées dorés sur les coupes. Beaux exemplaires;
Louvain, Chez Vanlinthout et Vandenzande, 1853.Un volume broché (13,5 x 22 cm) de ii-510 pages, 2 cartes dépliantes et 2 portraits hors-texte. Broché plein papier d'époque, étiquette de titre au dos, papier légèrement usé avec quelques petites déchirures, des rousseurs les planches, état moyen.
A Paris, Par la Compagnie des Libraires, 1763.Huit volumes reliés in-12 (8,5 x 15 cm) de XLVIII, 358, 378; 406, 407, 417, 384, 384 et 429 pages. Reliures plein veau marbré, dos à nerfs ornés, pièces de titre rouges; tranches jaspées. Coiffes supérieures usées sinon beaux exemplaires.
Marie de Rabutin Chantal, marquise de Sévigné. Chevalier Perrin (éditeur).
Reference : AMO-3891
(1734)
Recueil des lettres de Madame la Marquise de Sévigné, à Madame la Comtesse de Grignan, sa fille. Tomes I à IV. A Paris, chez Nicolas Simart, 1734 4 volumes in-12 Suivi de : Recueil des lettres de Madame de Sévigné, à Madame la Comtesse de Grignan, sa fille. Tome V et VI. A Paris, chez Rollin fils, 1738 (de l'imprimerie de Cl. Fr. Simon fils, 1738) 2 volumes in-12 Soit un total de 6 volumes in-12 (17 x 10 cm) de XXXI-(1)-452 ; (2)-483-(1) ; (2)-479-(3) ; (2)-441-(39) ; XIV-482-(5) et (2)-504-(42) pages. Portrait frontispice de la marquise de Sévigné au tome I et Portrait frontispice de madame de Grignan au tome V. Collationné complet. Reliure strictement de l'époque plein veau brun, dos à nerds ornés aux petits fers dorés, tranches rouges mouchetées. Les 4 premiers volumes sont en reliure homogène. Les 2 derniers volumes sont en reliure homogène. Légère différence de fers entre les 4 premiers volumes et les 2 derniers, néanmoins reliures homogènes exécutées à la date d'édition, soit 1734 pour les 4 premiers volumes et 1738 pour les 2 derniers. Usures à l'extrémité des coiffes avec manques (voir photo). Quelques usures aux coins sans gravité, petits défauts d'usage, reliures solides et décoratives. Intérieur frais. Papier avec quelques rousseurs ou parfois un peu plus teinté. Petites taches d'encre dans la marge extérieure du tome IV, sans atteinte au texte. Edition en grande partie originale. Les 4 premiers volumes de 1734 sont en première édition. Les 2 derniers volumes sont en réimpression du premier tirage de 1737. On sait que la première édition des Lettres de la Marquise de Sévigné date de 1725 et a été donnée subrepticement en une mince plaquette de 75 pages regroupant seulement quelques lettres pour la plupart incorrectement retranscrites et fragmentaires (31 fragments). Cette première édition rarissime et quasi mythique n’était connue qu’à 2 ou 3 exemplaires à la fin du XIXè siècle, il ne semble pas qu’on en est répertorié d’autres depuis. Les bibliographes considèrent donc comme véritable seconde édition originale l’édition dite de Rouen publiée en 1726 par les soins du fils de Roger de Bussy-Rabutin (cousin indiscret de la Marquise). On a beaucoup tergiversé pour savoir s’il s’agissait du fils aîné (Amé-Nicolas de comte Bussy-Rabutin) ou bien du cadet, futur évêque de Luçon, abbé de Bussy. Cette édition furtive, désavouée par la petite-fille de Mme de Sévigné, Mme de Simiane, fille de Mme de Grignan, est très rare et les exemplaires en reliure de l’époque en bonne condition se rencontrent difficilement. Les éditions suivantes de 1726, 1728 et 1733 sont également peu communes et reprennent avec des variantes la première édition dite de Rouen en gros caractères citée plus haut. Seule l'édition de La Haye, très rare, apporte de nouvelles lettres (qui se retrouvent dans l'édition de 1728 et 1733 comme nous venons de le voir ci-dessus). Il faudra attendre 1734-1737 avec l'édition pourtant mutilée donnée par les soins du Chevalier Perrin pour avoir à disposition plusieurs centaines de nouvelles lettres (614 lettres contre 134 en 1726). L'édition de 1818, puis l'édition de 1862, données par Monmerqué, puis Charles Capmas (supplément "Lettres inédites" de 1876), donneront un panorama complet du génie épistolaire de la marquise de Sévigné. Notre exemplaire se compose donc des 4 volumes de 1734 en première édition et des 2 derniers volumes en réimpression de 1738 (3 impressions des 6 volumes portant la date de 1738 ont vu le jour). Les 4 premiers volumes à la date de 1734 se rencontrent très rarement. L'ensemble est homogène, relié à l'époque et bien complet des portraits gravés de la marquise et de sa fille. Il s'agit de la première édition autorisée par la petite-fille de la marquise de Sévigné, la comtesse de Simiane. Pour plaire à la famille et respecter la mémoire de la marquise de Sévigné, le Chevalier Perrin pioche parmi les centaines de lettres qui sont mises à sa disposition ; il élague, remanie, supprime. L'ensemble qui en résulte n'apparaît pas de suite tant malmené, mais lorsque les véritables autographes (ou des copies) sont redécouverts ultérieurement, puis édités de manière scrupuleuse par les éditeurs suivants (Monmerqué notamment), puis grâce à la découverte de lettres inédites (manuscrit Capmas) à la fin du XIXe siècle, l'ampleur des malfaçons du Chevalier Perrin sont mises au jour. Néanmoins, pour être honnête, sans le Chevalier Perrin, sans doute la plupart des lettres de la marquise auraient-elles été détruites par ses descendants souhaitant garder le secret sur bon nombre de petites révélations ou avis de la désormais célèbre marquise. Perrin publiera un volume unique en 1751 intitulé Recueil de lettres choisies, pour servir de suite aux lettres de madame de Sévigné à madame de Grignan, sa fille, Paris, Rollin, 1751, in-12. Il contient 123 lettres, dont 25 de madame de Sévigné, 3 de madame de Grignan, 29 de Philippe-Emmanuel de Coulanges, 50 de madame de Coulanges, 14 de madame de La Fayette, une du cardinal de Retz et une de La Rochefoucauld. La seconde édition "Perrin" paraîtra en 1754 en 8 volumes in-12, reprenant l'édition de 1734-1737 et de 1751. Le texte de la première édition Perrin, moins remanié que celui de la seconde, est retenu plus volontiers par les éditeurs modernes. Nous connaissons aujourd'hui 764 lettres de madame de Sévigné à madame de Grignan. Pour la moitié d'entre elles, en l'absence d'autographes ou de meilleures copies, le texte connu reste celui des éditions Perrin. Référence : Lettres de Madame de Sévigné, Édition des Grands Écrivains de la France, Tome XI, p. 442-443 (notice n°8). Très bon exemplaire de ce monument de la littérature française.
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[Paris], Imprimerie de Ch. Est. Chenault, s.d. (1764) 2 vol. in-4, 7 - 16 pp. et 45 pp., maroquin bleu nuit, dos à nerfs, tranches dorées, double filet doré sur les coupes, large dentelle intérieure (Rivière et fils).
L'unique et vraie édition du Testament. De la plus grande rareté.Cette pièce apparemment très rare ne constitue nullement un pamphlet ou une satire, à la différence de nombreux autres opuscules intitulés "Testament" et se rapportant à des personnages en vue. Composée de plusieurs dispositions successives étagées entre le 15 novembre 1757 et le [15] avril 1764 (c'est-à-dire le jour même de la mort de la marquise), elle donne réellement les dernières volontés de la favorite, tant en faveur du Roi, que de son frère Abel-François Poisson de Marigny, et des différentes personnes de sa domesticité. Ce qui est étrange dans cette édition est que la date du 15 avril 1764 a été remplacée par celle du 19, pour le dernier codicille, alors que le premier service funèbre de la dame avait déjà eu lieu. Ce qui n'apparaît pas bien, ce sont les modalités et les raisons de la publication, qui remonte certainement à l'entourage proche (le prince de Soubise, son exécuteur testamentaire ; son frère ; ou encore le fidèle Collin ?), et a peut-être été décidé soit pour faire sourdine aux rumeurs qui ne pouvaient manquer de circuler à la mort de "Maman Catin", qui avait tant fourni à la médisance et à la satire ; soit comme pièce nécessaire dans les actions en justice que devait susciter un héritage si important(cf. pièce suivante).Aucun exemplaire au CCF. Relié à la suite : Mémoire pour Monsieur le Marquis de Marigny, commandeur des Ordres du Roi. Contre M. de Malvoisin, chef de brigade des carabiniers, & Me L'Ecuyer, procureur au Parlement, tuteur à la substitution prononcée par la Marquise de Pompadour. [Paris], Imprimerie de J.-Th. Hérissant, s.d [1766], 16 pp. Absent de Corda. Un des codicilles au testament de Madame de Pompadour portait : "En cas de mort de mon frère sans aucune postérite, je mets en son lieu et place et aux mêmes conditions M Poisson de Malvoisin, actuellement chef de brigade des carabiniers"( 30 mars 1761). Le litige portait sur la nature de cette substitution (fidéi-commissaire ou ordinaire), ce qui changeait complètement la destination des biens. Gabriel Poisson de Malvoisin (1723-1789) était un cousin germain de la marquise et de son frère. A la mort d'Abel-François Poisson Vandières de Marigny en 1781, un procès l'opposa encore à ses ayants-droits pour la succession de la marquise.Second volume : Mémoire pour Gabriel Poisson de Malvoisin, brigadier des armées du Roi, & chef de brigade des carabiniers, appellant. Contre Abel-François Poisson, marquis de Marigny, commandeur des Ordres du Roi, intimé. En présence de Me L'Ecuyer, procureur au Parlement, tuteur aux substitutions prononcées par la Marquise de Pompadour, aussi appellant. Paris, P.-G. Simon, 1766, in-4.Très rare pièce sur la succession de la marquise de Pompadour. Un des codicilles au testament de la favorite portait : "En cas de mort de mon frère sans aucune postérite, je mets en son lieu et place et aux mêmes conditions M. Poisson de Malvoisin, actuellement chef de brigade des carabiniers"( 30 mars 1761). Le litige portait sur la nature de cette substitution (fidéi-commissaire ou ordinaire), ce qui changeait complètement la destination des biens. Gabriel Poisson de Malvoisin (1723-1789) était un cousin germain de la marquise et de son frère ; il soutenait naturellement que la substitution était fidéi-commissaire. A la mort d'Abel-François Poisson Vandières de Marigny en 1781, un procès l'opposa encore à ses ayants-droits pour la succession de la marquise.Absent de Corda.Bel exemplaire.
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