VINCENT FREAL ET CIE. 1965. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 11 pages augmentées de nombreuses illustrations en couleur en noir et blanc dans et hors texte - couverture contrepliée.. . . . Classification Dewey : 709-Histoire des arts
						Reference : R320099506
					
 Classification Dewey : 709-Histoire des arts
Le-livre.fr / Le Village du Livre
  
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
 France
					
05 57 411 411
							
							
							Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
Paris, Perrin et Cie, 1887. 850 g In-8, demi basane marbrée, tête dorée, couvertures conservées, 400 pp.. Quelques frottements. . (Catégories : Censure, Empire, )
Paris, E. Dentu et Aug. Aubry, 1866. 2820 g 2 volumes in-8, demi maroquin rouge à coins, dos ornés à faux-nerfs, têtes dorées, [2] ff., xiv-[2 b.]-vii-47-24-31-32-56-40-28-48-38-48-48-47-68-35-36-38-32-124 pp.; [2] ff., 54-32-36-52-55-56-35-52-128-48-48-63-87 pp.. Ouvrage rare. Saffroy, 34220. Au début du premier volume ont été reliés les tables des matières et le supplément contenant les additions et corrections. Ensemble bien complet concernant toutes les provinces de France : Dauphiné; Lyonnais, Forez, Beaujolais; Provence et principauté d'Orange; Bas-Languedoc (généralité de Montpellier); Languedoc (généralité de Toulouse); Armagnac et Quercy; Bourgogne, Bresse, Bugey, Valromey; Franche-Comté; Lorraine et duché de Bar; Picardie; Champagne; Auvergne et Rouergue; Roussillon, Foix, Comminges et Couseran; Marche et Limousin; Touraine et Berry; Normandie; Périgord, Aunis, Saintonge et Angoumois; Anjou et pays saumurois; Maine, Perche et Thimerais; Poitou; Orléanais, Blaisois, Beauce et Vendômois; Guyenne, Agénois et Bazadois; Bourbonnais et Nivernais; Artois, Flandre et Hainaut; Ile-de-France, Soissonnais, Valois, Vermandois; Alsace, Corse, Comtat-Venaissin; Béarn, Navarre, Gascogne; Bretagne; Colonies et familles anoblies ou titrées sous l'Empire, la Restauration et le gouvernement de Juillet. Griffure près d'un coin, légers frottements. Bel exemplaire. . (Catégories : Noblesse, Révolution française, )
Bordeaux, Mounastre-Picamilh, 1913. 250 g In-12 broché, [2] ff., vi-210 pp., [1] f.. Préface de Camille Jullian. Usure à la couverture, petite déchirure dans la marge d'un feuillet de table. . (Catégories : Marine, )
Paris et Lyon, Auguste Delalain et J. M. Boursy, 1810. 415 g In-8, pleine basane, xii-368 pp., 2 planches hors-texte portant 8 figures.. Tous les exemplaires de cet ouvrage étaient paraphés par l'auteur. Cachet d'un séminaire. Petite fente à un mors, choc en bordure d'un plat, légèrement cintré. . (Catégories : Astronomie, )
L’un des rarissimes imprimé sur papier impérial conservé dans sa reliure de l’époque aux armes de l’Empereur Napoléon Ier. Paris, Imprimerie Impériale, 1812. Grand in-8 de 362 pp. Maroquin rouge à grain long, large roulette dorée autour des plats, armoiries au centre, dos lisse orné, coupes décorées, roulette intérieure, gardes et contre gardes de moire bleue, tranches dorées. Reliure de l’époque. 205 x 120 mm.
Somptueux exemplaire de l’état général des routes de Postes de l’Empire français pour l’année 1812. Imprimé sur papier impérial de Hollande, cet état des Postes Impériales s'ouvre sur le calendrier de l’année 1812. Il est conservé dans son éclatante reliure de l’époque en maroquin rouge aux armes de l’empereur Napoléon Ier. (Olivier, Pl. 2652). I) La poste de l’Empire est « inventée», par le grand commis Gaudin. Celui-ci a fait carrière dans les bureaux des finances depuis 1775 sous Calonne et Necker. Nommé commissaire des postes par le Directoire, il devient ministre des Finances dès le 18 Brumaire et le restera pendant tout l’Empire. C’est lui qui rompt définitivement avec le système de la Ferme et assure la mainmise du ministère des Finances sur la poste. Le monopole exclusif du transport des lettres est une nouvelle fois proclamé par arrêté du 27prairial an ix, un texte considéré comme la base de la réglementation contemporaine. L’article Ier dit : « Il est défendu à tous les entrepreneurs de voitures libres et à toute personne étrangère au service des postes de s’immiscer dans le transport des lettres, journaux, feuilles à la main et ouvrages périodiques, paquets et papiers, du poids de 1 kg et au-dessous, dont le port est exclusivement confié à l’administration de la poste aux lettres. » En 1802, les correspondances maritimes et coloniales sont réorganisées dans le même esprit. II) Les Maîtres de poste. Toute l’efficacité de la poste aux lettres repose sur les maîtres de poste qui sont 1 400 sur tout le territoire qui entretiennent environ 16 000 chevaux et rémunèrent 4 000 postillons. III) Un Instrument au service de l’empire. Si l’Empire accorde tant de soins au rétablissement du service des postes, c’est qu’il le considère comme un instrument de gouvernement. L’Empereur est très sensible à l’exactitude des courriers. IV) La poste aux armées. L’état de guerre quasi permanent de l’Empire rend nécessaire une organisation importante de la poste aux armées dont un règlement général est publié en 1809. L’autorité du directeur général de la poste aux armées rattaché à la direction générale des postes, commence au bureau frontière où se fait l’échange des lettres destinées aux armées en campagne. V) Peu de progrès dans la vitesse. Si la poste impériale connaît des réorganisations administratives décisives, ses moyens techniques et donc le temps d’acheminement moyen des lettres et des voyageurs ne progresse pas de façon significative par rapport à l’Ancien Régime. A l’époque Napoléonienne, un courrier express peut parcourir la distance de Paris à Châlons-sur-Marne en une douzaine d’heures, la malle-poste des Messageries en seize, la diligence en vingt. Ces chiffres sont à comparer avec le temps mis par les courriers sur les grandes routes de Champagne en 1737, que l’on connaît avec précision. Venant de Paris, il leur fallait au moins 23 heures et 30 minutes pour gagner Reims ou Troyes, et 25 heures pour Châlons, ce qui correspondait à des moyennes d’environ 7 km à l’heure. Ces moyennes semblent n’avoir été que légèrement améliorées jusqu’à la fin de l’Empire; c’étaient les meilleures possibles pour un courrier seul et chargé ; elles dépendaient largement de l’état des routes, plus ou moins bien entretenues. L'Etat des postes indique, outre la nomenclature des routes de l'Empire avec leurs relais, la distance entre eux de toutes les routes soit menant de Paris à toutes les principales villes, soit faisant communiquer ces différentes villes entre elles. Cet Etat est précédé d'un calendrier pour l'année 1812, d'un extrait des lois et réglemens sur le fait de la poste aux chevaux, des tarifs, etc. La constante expansion territoriale de l'Empire français ne pouvait que rendre de plus en plus aigu pour Napoléon le problème de la transmission aussi rapide et aussi facile que possible de tout message écrit d'un bout à l'autre de l'Europe. Lorsque, le 18 mai 1804, l'Empire est proclamé, le service des Postes est dirigé par Antoine Marie Chamant de Lavalette, directeur général des Postes. Tout dévoué à l'Empereur, Lavalette reste à ce poste jusqu'en 1814. Le bon fonctionnement de la Poste était essentiel pour l'Empereur. Les problèmes politiques et même diplomatiques ne manquaient donc d'influencer sur le fonctionnement de la poste. Les conquêtes territoriales obligent les administrateurs des Postes à adapter l'organisation des services postaux. Les nouveaux territoires furent partagés en départements. L'administration postale viendra donc s'insérer dans ces nouvelles structures administratives. Les mêmes règles de fonctionnement seront en usage sur tout le territoire de l'Empire. Un second grand service était placé sous l'autorité du directeur général des Postes: le service des Relais, c'est-à-dire l'administration de la Poste aux chevaux. Les relais de poste servaient d'abord aux courriers de l'administration de la Poste aux lettres: ils y trouvaient les montures fraîches que le maître de poste était tenu de leur réserver. Les entrepreneurs de voitures publiques, même s'ils n'utilisèrent pas les chevaux des maîtres de poste furent tenus de leur payer pour chacune de leurs voitures 25 centimes par cheval et par poste. Par ailleurs, le développement du service d'estafettes favorisa les maîtres de poste qui mettaient leurs postillons à la disposition de l'administration pour assurer la transmission des plis urgents du gouvernement. Toute la règlementation concernant le service de la poste aux chevaux, les tarifs, la nomenclature des différents relais étaient indiqués sur les livres de poste, appelés officiellement «Etat général des routes de poste». Ces annuaires qui permettaient aux voyageurs en poste d'établir leur itinéraire ainsi que le prix à payer pour leur voyage étaient mis à jour et édités chaque année. Somptueux exemplaire de l’état général des Postes de l’Empire français pour l’année 1812. L’un des rarissimes imprimés sur papier impérial de Hollande, cet état des Postes Impériales, très grand de marges (hauteur 205 mm) était réservé aux présents de l’Empereur. Il est conservé dans son éclatante reliure de l’époque en maroquin rouge aux armes de l’empereur Napoléon Ier. [Olivier, Pl. 2652].