LE BOREE. 1955. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages agraffées - quelques illustraztions en noir in texte.. . . . Classification Dewey : 841-Poésie
Reference : R320033847
ILLUSTRATIONS DE GILLES ROLLEZ. Classification Dewey : 841-Poésie
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Edition originale et premier tirage de cet extraordinaire ensemble baroque de style Rocaille riche de 84 estampes en superbes coloris d’époque. A. V. (Augustae Vindelicorum) = Augsbourg, sd, vers 1730.84 estampes en coloris d’époque reliées en 2 volumes in-folio : I/ 40 planches découpées et collées sur un papier très épais ; II/ 44 planches, qq ptes. taches et pliures marginales, restauration dans le coin inf. d’une planche avec atteinte à la légende. Demi-maroquin havane à coins, tranches rouges. Reliure postérieure.385 x 290 mm.Dimensions des gravures : 310 à 375 mm de hauteur sur 207 à 245 mm de largeur.
Edition originale et premier tirage de cet extraordinaire ensemble baroque de style Rocaille riche de 84 estampes en superbes coloris d’époque représentant des hommes et des femmes habillés avec les ustensiles de leur profession. Ces travestis étaient destinés à des ballets. Les gravures sont signées de A. Degmeier, P. F. Engelbrecht, C. F. Hörmann, Kösler, J. F. Schmit, J. Stelzer.Martin Engelbrecht graveur, né à Augsbourg en 1684, mort dans la même ville en 1756 est le frère de Christian Engelbrecht. Il illustra comme lui de nombreuses œuvres. On cite parmi celles-ci : La guerre de succession espagnole, et Les Architectes princiers, de P. Decker. Il exécuta également 92 vues de Venise et 192 gravures rocaille illustrant des hommes et des femmes habillés avec les outils de leur profession. Cette suite célèbre créée il y a près de trois siècles, déjà fort rare à l’origine en coloris de l’époque, se raréfia considérablement au cours des siècles suivants devant l’engouement pour cette œuvre d’exception qui rappelait les métiers de Larmessin réalisés peu auparavant. Depuis le XIXe siècle, les amateurs ont dû s’habituer à collectionner ces estampes à l’unité et à les faire encadrer. Même réduites à l’unité, elles tendent à disparaître des marchés. Présenter un tel ensemble de 84 estampes en coloris d’époque et en ce début XXIe siècle est un bonheur bibliophilique.17,18, 21, 22, 30, 41, 42, 45, 46, 57-59, 61,69, 73,74, 79,80, 101, 102, 137, 138, 157-164, 175, 176, 180-184 u, 187-189, sowie im Album montiert 13, 25, 26, 31-34, 43, 44, 47, 48, 51, 52, 55, 56, 77, 78, 83-88, 97, 98, 109, 110, 123, 124, 129, 130, 141-148, 151, 152, 155, 156 u. 1 unn. Les costumes représentent un Brossetier, une Tourneuse, une Cordonnière, une Faiseuse de peignes, une Relieuse de livres, un Serrurier, l’Horlogère, le Boucher, un Sculpteur, un Cartier, une Vendeuse d’images, un Joaillier, un Faiseur de chandelles, une Lutière, la Femme d’un Tapissier, une Femme de Maçon, un Cartier, etc.Au XVIIIe siècle est qualifié de baroque un style artistique contraire aux règles classiques et jugé extravagant, voire de mauvais goût. Il faudra attendre la fin de l’emprise du classicisme, en art comme en littérature, pour que « baroque » perde son sens péjoratif et que soit reconnue sa contribution positive et originale dans tous les domaines de l’art, l’architecture, la sculpture, la peinture, ainsi que la musique et la littérature.Dans les arts plastiques, la baroque propose un style à la fois très structuré, qui joue abondamment de la symétrie, et très dynamique : il insère ses formes dans un puissant mouvement de volutes et de spirales : par ses effets dramatiques, sa recherche du spectaculaire, il vise à susciter l’émotion. Les caractéristiques qui le définissent trouvent sinon leur justification du moins nombre d’éléments d’explication dans le contexte politique, culturel et religieux bien particulier qui l’a vu naître. Un contexte historique qui permet également de comprendre comment et où ce style s’est répandu.C’est dans les pays catholiques que l’art baroque s’est le mieux développé, surtout dans les dernières années de la Contre-réforme, aux environs de 1630. Pour s’opposer à la progression du protestantisme, l’Eglise romaine, après le concile de Trente (qui s’achève en 1563) réaffirme ses doctrines traditionnelles et s’engage dans une intense activité missionnaire. On peut considérer les styles Rococo et Rocaille comme deux manifestations tardives du baroque, mais bien distinctes entre elles et pas forcément concomitantes. Ainsi la rocaille concerne la France et une mode très particulière qui régna surtout dans les arts décoratifs de la première moitié du XVIIIe siècle avec un apogée entre 1720 et 1740 : le rococo constitue l’épanouissement tardif – entre 1720 et 1780 -, principalement en France et en Allemagne, d’un style de construction et de décor qui dérive manifestement du baroque italien, mais reçoit aussi des apports français et notamment rocaille.Précieux et remarquable ensemble conservé dans son coloris d’atelier.
[Aux Dépens des Editions Littéraires et Artistiques et de la Librairie "Le Triptyque"] - HEMARD, Joseph
Reference : 69169
(1944)
Un des 145 exemplaires souscrits sur papier pur fil contenant un dessin original et une épreuve du coloris original (n° 119), 1 vol. in-8 en feuillets sous chemise, chemise cartonnée et étui, Aux Dépens des Editions Littéraires et Artistiques et de la Librairie "Le Triptyque", Paris, 1944, 330 pp. et 8 pp. (rectificatif joint)
Rare exemplaire du tirage de tête contenant un dessin original signé de Joseph Hémard et une épreuve du coloris original. Les superbes illustrations de Joseph Hémard ont été coloriées au pochoir par le coloriste E. Charpentier. Etat très satisfaisant (petits frott. avec très petite fente à un mors à la chemise papier, chemise et étuis cartonnés fort. frottés, qq. rouss., bon exemplaire par ailleurs).
Paris, Imprimerie Monrocq, Ch. Noblet, [Circa 1850]. 1 vol. in-12 oblong. Cartonnage éditeur d'époque, premier plat illustré en couleurs et portant le titre : Le petit maitre de dessin. Coloris. Frontispice, 32pp, 6 planches en deux états.
Charmant frontispice présentant des échantillons de couleurs naturelles et mélange de couleurs. Six planches suivent le cours de coloris, présentant des sujets variés dessinés par Jullien, Hubert, Victor Adam, en deux états : couleurs et noir. Trois états en noir ont été colorés à l'aquarelle et au lavis avec talent, les trois derniers sont restés vierges.Cet album de dessins avec sa méthode d'apprentissage à l'attention des enfants connut un beau succès éditorial.
Exemplaire exceptionnel dont toutes les gravures ont été rehaussées de jolis coloris main à l’époque. L’état colorié de ce voyage est de la plus grande rareté. Rouen, Antoine Ferrand, 1665.In-8 de (8) pp., 442, (12), et 9 figures mises en couleurs.Relié en plein veau fauve, filet or encadrant les plats, dos à nerfs postérieur, tranches bleues mouchetées. Reliure anglaise du XVIIIe siècle.163 X 104 mm.
Rare édition rouennaise « d’un livre peu commun. Les parties de l’Amérique visitées par l’auteur sont la Guyane et la province de Cumana » (Leclerc. Bibliotheca Americana, n°1531 et 1532).Sabin, 49790 ; Cordier, Sinica, 2079 ; Brunet, III, 1782. Inconnu à Chadenat.L'originale parut en 1616.« It includes the voyage of the author in Guiana and the province of Gomana » (Sabin).“Sur la Chine et les Chinois voir pp. 339-347 » (Cordier).Jean Mocquet était né dans le Dauphiné en 1575.« Lorsque Henri IV fut parvenu à la couronne, Mocquet, dont les parents avaient beaucoup souffert pour la cause de ce prince, fut apothicaire de la cour. Le désir de voyager lui fit demander la permission d’aller dans les pays étrangers ; l’ayant obtenue, il fut chargé de recueillir des raretés pour le cabinet du roi. Il partit le 1er octobre 1601, et jusqu’en juillet 1612, fit cinq voyages : le premier à la côte occidentale d’Afrique, le second à la Guyane et à Cumana, le troisième au Maroc, le quatrième à Goa, le cinquième à la terre sainte. Chaque fois qu’il revenait, il déposait dans le cabinet du roi, aux Tuileries, les singuliers objets qu’il avait rapportés. « Le roi, dit-il, prenait plaisir aux discours que je lui faisais de mes voyages. » Il eut le titre de garde du cabinet des singularités, avec six cents francs de gages. Sa relation est intitulée ‘Voyages en Afrique, Asie, Indes orientales et occidentales, divisés en six livres et enrichis de figures’. Il en existe une traduction hollandaise, Dordrecht, 1656, in-4, et une allemande, 1668, in-4. Mocquet est un voyageur assez recommandable, il donne des détails curieux sur les sauvages et sur l’histoire naturelle de l’Amérique méridionale. Il raconte, entre autres, une histoire qui ressemble beaucoup à celle d’Ynkle et Yariko. Sa notice sur le Maroc a été abrégée par Dapper. Il fait un tableau repoussant, et malheureusement vrai, de la dépravation des Portugais dans les Indes, et donne des détails intéressants sur leur commerce. Il connut à Goa le voyageur Pyrard, qui lui raconta beaucoup de particularités sur les Maldives. Quand Mocquet revint de la Palestine, le roi fit placer dans son jardin du Louvre les plantes qu’il avait recueillies au mont Liban. »Ce volume renferme les Voyages de Mocquet en Libye, Barbarie et Canaries (en 1601-1602) ; aux Indes occidentales, aux Amazones, etc. (en 1604) ; au Maroc (en 1605-1606) ; en Ethiopie, Mozambique, Goa, etc. (en 1607-1610) ; en Syrie et Terre sainte (en 1611-1612) ; et en Espagne (en 1614-1615).« Ses voyages avaient pour but de recueillir des raretés pour le cabinet du Roi, dont il fut plus tard nommé garde ». Outre son contenu, l'ouvrage est recherché pour ses illustrations, soit 17 scènes gravées sur 9 cuivres à pleine page figurant des Libyennes qui vont seins nus le long de la mer chercher quelque poisson & des œufs d'Autruche pour manger, les canoës ou les hamacs des Indiens, Comment les Caraïbes boucanent & mangent la chair de leurs ennemis, Comment les Indiens & Canarins de Goa sont habillez, & vont cueillir le Cocos sur les Palmiers ou encore La Façon des Chinois en leurs vêtements, manger & réjouissances et La façon des Syriens comme ils dansent allant en Pèlerinage au Temple de Salomon, & font comme s'ils ressuscitaient des morts, entre deux santons & Marabous. Le présent ouvrage se trouve rarement complet de l’ensemble de ses planches (il manque souvent les 2 gravures hors texte des pp. 160-161 et 212-213).Exemplaire exceptionnel dont toutes les gravures ont été rehaussées de jolis coloris main à l’époque. L’état colorié de ce voyage est de la plus grande rareté. Nous n’avons trouvé trace d’aucun exemplaire de ce voyage avec les planches coloriées à l’époque.
Paris, A. COMBETTE, 1856, 41x27,5 (image) 45x32cm,, Quelques rousseurs dans la marge. La carte est illustrée en encadrement de scènes ayant trait au département, de portraits, de personnalités ainsi que de renseignements statistiques, culturels, historiques et économiques. Les coloris soulignent les limites du département, des arrondissements et des cantons. Carte telle que parue, sans pliure centrale, complète de toutes ses marges, provenant de l' Atlas National Illustré des 86 Départements et des Possessions de la France Divisé par Arrondissements, Cantons et Communes avec le tracé de toutes les routes, chemins de fer et canaux. Dressée par Levasseur d'après les Travaux du Cadastre du Dépôt de la guerre et des Ponts et Chaussées.
NB. Les commandes et questions seront traitées dans les 48h et expédiées à partir du 7 octobre. Merci.