Gründ. 2007. In-12. Cartonné. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 10 pages environ, cartonnées rigides, illustrées en couleurs. Bouton sonore fonctionnel.. . . . Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants
Reference : R300305567
ISBN : 2700015681
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Manuscrit signé de 12 feuillets in-8 oblong rédigés au recto, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860, tome IX, pp. 409-413 : Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et de sa réception en France sont très informées. "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique."
Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et la présentation de sa réception en France sont celles d'un critique très informé. Manuscrit provenant du fonds Dentu (l'éditeur Edouard Dentu prit la direction de la Revue Européenne de 1859 à 1862).
Ensemble de document de et sur Octave Feuillet [ Détail : ] 1 L.A.S. d'Octave Feuillet, 2 pages, datée du 5 juin : "Mon cher Docteur, Le beau temps me décide à hâter mon départ pour Contrexéville" [... ] "Vous seriez aimable de m'accorder quelques instants le soir même de mon arrivée [...] afin que je puisse commencer ma cure sans perdre un seul jour. Mes occupations me forcent et limitent mon séjour à la durée strictement nécessaire" [ ... ] ; [On joint : ] 2 cartes de visite signées d'Octave Feuillet, avec quelques lignes autographes, une enveloppe signée [On joint : ] manuscrit autographe signé d'André Chaumeix d'un article consacré à Octave Feuillet, 11 feuillets paginés de 3 à 12 (avec un 5 bis) ; [ On joint : ] Grand portrait d'Octave Feuillet, Pierre Petit photog. format 27 x 21 cm, sur chine monté, Imp. Lermercier et Cie Paris ; [ On joint : ] Eau-forte : portrait d'Octave Feuillet
Manuscrit autographe, incomplet des deux premiers feuillets, consacré par André Chaumeix (1874-1955) à Octave Feuillet. Une note au stylo sur le premier feuillet tend à indiquer une publication dans la Revue des Deux Mondes.
[ Lot de documents anciens, famille de Jaunay à Angers : ] Partage du Puy Rangar (12 ff. in-folio, 1664) ; Document de 1681 évoquant René Jaunay Notaire Royal ( 2 ff. in-12) ; Contrat de mariage de M. René Jaunay, chirurgien, et Catherine Ropton, 1681) ; Inventaire de René Jaunay, Chirurgien (1693, 4 ff. in-8) ; Transaction entre le Sieur Moisant et le Sr Menié et Renée Théard veuve du Sr du Perche, avec billet joint signé du F. Hilaire de Lezay, Prieur des Augustins de la ville d'Angers (1696, 7 ff. in-8) ; Testament de Marie Jaunay, femme de Gabriel Louel (1701, 4 ff. in-8) ; Cession de droits de Jaunay, notaire, à son frère Jaunay, fait à Angers, le 7 novembre 1720 (1 f. épinglé) ; Comptes et rapports entre les héritiers Jaunay (parmi lesquels le sieur Jean Joseph Jaunay, habitant au quartier de Latiboutte paroisse de Saint Gérôme de la petit Rivière "isle et coste Saint Domaingue En Amérique", 1769, 10 ff. in-folio)
Intéressant ensemble de documents anciens intéressant la région d'Angers.
1 dessin à l'encre format 235 x 325 mm signé Malap, s.d. [ circa 1910 - 1915 ? ]
L'illustrateur bordelais Louis Maurice Malapert (né cours d'Albret en 1889, mort en 1958) est connu pour ses avoir croqué avec talent ses concitoyens ; il vendait notamment ses dessins aux terrasses des cafés. Etat très satisfaisant (petites taches d'encollage, lég. rouss.). Pâtisserie remontant au Moyen-Age, l'oublie fut très longtemps vendue par des colporteurs. On reconnaît ici le grand tambour cylindrique contenant les gâteaux, proposés par le jeune marchand portant béret.
Editions La Table Ronde Paris 1957 In-8 ( 230 X 150 mm ) de 236 pages, demi maroquin anthracite à bandes, dos lisse janséniste, couverture illustrée et dos conservés. Nombreuses illustrations hors texte. EDITION ORIGINALE, 1 des 50 exemplaires du tirage de tête sur vélin, "imprimé spécialement pour Maitre Gabriel DELATTRE", enrichi d'un amusant envoi autographe signé avec petit dessin de l'artiste se représentant à une barre d'assise et du dessin original "volant" signé de Paul COLIN de l'illustration "Espanita Cortez" ( page 226 ). Très bel exemplaire, non rogné, témoins conservés.