Berger-Levrault. 1949. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. VI + 313 pages - quelques cartes en noir et blanc hors texte. Papier jauni.. . . . Classification Dewey : 944.051-Histoire de Napoléon 1er
Reference : R300274784
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Reference : albdc7bf2a3825d0e4e
Giovanni Delavo:. Marengo et ses monuments Marengo and his monuments. In Russian /Giovanni Delavo:. Marengo et ses monumentsMarengo i ego pamyatniki. Paris: En Vente Chez Tous les Libraires, 1854. 8, c. (2) and 46 and (2). 11 il. We have thousands of titles and often several copies of each title may be available. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKUalbdc7bf2a3825d0e4e.
Boussod, Valadon et Cie. Juin 1899. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 117 à 140. Nombreuses illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte. Couverture en couleurs.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Sommaire : Napoléon franchissant les Alpes par J.L. David, Le centenaire de Marengo, Le passage du grand Saint-Bernard par Art Roë, Marengo 14 juin 1800 - 25 prairial an VIII, récit de Joseph Petit, grenadier a cheval de la Garde, Bataille de Marengo - charge du 12e hussards par E.J. Delahaye, Desaix intime par François Boyer, Les deux Josephine par Frédéric Masson Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
[Paris, Brion, 1803]. 170 x 208 mm.
L'une des toutes premières cartes du département de Marengo, dressée par Louis Brion de La Tour pour le Voyage en Piémont, faisant suite au Voyage dans les départemens de la France, premier ouvrage de description de la France par départements, deux ans après leur création, et publié entre 1792 et 1803. Créé en 1802, le département de Marengo est l'un des cinq départements annexés par la France dans le Piémont. À sa création, il fut divisé en 5 arrondissements : Casale, Alexandrie, Tortone, Voghera et Bobbio. Il occupait une surface de 175 lieues quarrées (1 lieue carrée = 15 km2), et comptait 373 400 habitants. Il sera supprimé en 1814, à la chute de Napoléon. Peu après le début de la Révolution française, la France fut découpée en départements à la suite du décret du 22 décembre 1789, pris par l'Assemblée constituante afin de remplacer les provinces de France jugées contraires à l'homogénéité de la nation. Leur nombre exact et leurs limites furent fixés le 26 février 1790, et leur existence prit effet le 4 mars 1790. Initialement au nombre de 83, trois autres départements vinrent s'ajouter entre 1791 et 1793 : le Vaucluse regroupant Avignon et le Comtat Venaissin annexés en 1791, puis le département du Mont-Blanc, lorsque la Savoie fut incorporée à la France en 1792 ; le troisième département fut créé en 1793, lorsque le département du Rhône-et-Loire fut scindé en deux. Leur nombre atteignit 133 départements en 1812, lors des conquêtes napoléoniennes. Bel exemplaire finement aquarellé à l'époque.
Napoléon La bataille de Marengo et ses préliminaires racontés par quatre témoin
Reference : 1934
Berger-Levrault, 1949 in-8°, vi-315 pp, 5 cartes, biblio, index, broché, bon état
"La bataille décisive." (L'éditeur) — "La bataille de Marengo (en Italie du nord, non loin de Gênes et de Turin), livrée le 14 juin 1800, était lourde d'enjeux : Napoléon Bonaparte venait d'accéder au Consulat à la fin de 1799, et son maintien au pouvoir dépendait en partie de son succès sur le terrain militaire, d'autant qu'il voulait, comme à son habitude, assurer le commandement sur le champ de bataille. Il n'engagea pas très bien son affaire ce jour-là, et le feld-maréchal autrichien Melas avait bon espoir d'avoir le dessus sur lui. L'affaire semblait entendue dès le début de l'après-midi, et Melas, assez fatigué, pensait pouvoir tranquillement transmettre la direction des opérations au général von Zach avec la certitude d'avoir bataille gagnée. Cependant, deux éléments allaient bouleverser le cours des choses et permettre aux Français de renverser la situation : le premier est le fait qu'au bruit du canon, le général Desaix, dont l'armée était alors assez éloignée de Marengo, comprit que Bonaparte était alors en plein engagement et pouvait avoir besoin de son aide, et sa décision de revenir vers Marengo avec sa cavalerie allait être déterminante, même si lui-même, sacrifice héroïque, perdit la vie au cours de la charge qui devait aider en partie au retournement de la situation ; le deuxième élément qui détermina le sort des armes ce jour-là fut l'action personnelle du général François Étienne Kellermann qui entraîna ses hommes à sa suite à un moment où l'infanterie ennemie menaçait nos positions. Sans eux, le succès n'aurait pas été au rendez-vous, et c'est leur action personnelle qui a finalement permis à Napoléon Bonaparte de sortir victorieux de cette affaire. Il ne reconnut pas ouvertement sa dette à l'égard de ces deux hommes, même si la disparition de Desaix, qui lui avait toujours été fidèle, lui causa du chagrin. Napoléon était toujours tenté, quelle que soit l'aide reçue des autres, de tirer à lui la couverture et de se coiffer des lauriers de la victoire. C'est ce qu'il ne manqua pas de faire une fois de plus en la circonstance." (François Sarindar) — L’oeuvre du baron Jean Thiry, écrite et publiée sur près de quarante ans, des années trente aux années soixante, et peu courante aujourd’hui, est un véritable tour de force : raconter la vie de Napoléon dans toute sa grandeur et tous ses détails, dans sa vie privée et politique comme sur les champs de bataille de toute l’Europe, ses relations avec ses plus fidèles lieutenants, Lannes, Davout, Berthier, Ney, et tant d’autres, comme avec ceux qui l’ont, à la fin, trahi. Cette vie grandiose est une tragédie shakespearienne : une ascension fulgurante, une domination écrasante, une gloire étincelante puis une chute tout aussi spectaculaire. Jean Thiry a lu tout ce qui a été écrit, documents, biographies, mémoires, mais également les correspondances, celle de Napoléon, de ses proches et de ses alliés, celle de ses ennemis, y compris celles demeurées inédites, ainsi que tous les fonds d’archives du service historique de l’armée. C’est l'oeuvre d’un historien passionné et objectif, s’en tenant aux faits et rien qu’aux faits, un analyste extrêmement fin des raisons qui ont jeté l’Europe dans le feu et le sang durant plus de vingt ans, et un talentueux écrivain, doué d’un style précis, vif et rapide.