Hachette. 1963. in-12. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paris, Hachette, 1963, in 12, reliure éditeur pleine toile, nb. illustrations, 319 pp.. . . . Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918
Reference : R300265553
1G-035 - Lieu d'édition : Paris Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918
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Paris, Librairie Plon, 1934,, In douze, iii-300 pp, broché, sous papier cristal, en bon état,
mention de quatrième mille,.
Paris, Plon, 1934, In douze ,300 pp, broché,état convenable, couverture un peu défraichie mais sous papier cristal et texte en bon état,
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EDITION FRANCAISE ILLUSTREE. 15 DECEMBRE 1918. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 583 à 418. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918
Sommaire: Clemenceau, face aux allemands par l'abbé Wetterlé, Clemenceau vu par les boches, M. Clemenceau at home, Clemenceau aux premiers jours de la guerre, Clemenceau journaliste, Clemenceau et les siens, Clemenceau homme d'esprit, Clemenceau acclamé a Londres Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918
PUF, 1961, in-8°, 522 pp, 8 pl. de photos hors texte, annexes, biblio, broché, couv. illustrée, bon état
"Ce livre n'est pas une biographie de plus. Le titre le dit bien. En fait, à part quelques remarques qui expliquent l'influence du père de Clemenceau et quelques pages sur ses amis, l'auteur a entièrement écarte la vie privée de son héros. II ne donne pas non plus un tableau d'ensemble de l'évolution de la République française parallèlement à l'existence de Clemenceau. II aurait fallu refaire pour cela presque toute l'histoire de la Troisième République, puisqu'il entre dans la vie publique en 1870 et vit jusqu'en 1929. Parlant de la République telle que la concevait Clemenceau, le biographe s'attache à montrer comment les idées ont guidé l'action du militant et de l'homme d'Etat. Sa doctrine politique n'a rien d'original, sinon la conviction absolue et la passion avec lesquels il la défend, c'est-à-dire le tempérament même de l'homme. La foi républicaine s'exprime tout entière dans un programme électoral de 1876 : «Le but, c'est l'accomplissement de la grande rénovation de 1789, abandonnée par la bourgeoisie française, la réalisation de la République dans l'ordre politique comme dans l'ordre social, par la substitution d'institutions républicaines aux institutions monarchiques» (p. 59). Et les réformes en découlent naturellement, parmi lesquelles la liberté de presse et d'association, l'instruction primaire, laïque, gratuite et obligatoire, la séparation des Eglises et de l'Etat, le service militaire égal pour tous. Sous la fidélité au credo républicain, on ne peut s'empêcher de discerner une certaine dichotomie dans le caractère de Clemenceau. Antibourgeois et individualiste au point d'avoir été souvent tenu pour anarchiste ou aristocrate, il ne s'affirme pas moins en toutes circonstances résolument légaliste. Voilà un trait qui le lie à la classe qu'il méprise. En dépit de sa liberté intellectuelle, en dépit de l'influence de Blanqui, il reste un homme d'ordre. «Son socialisme de coeur va peu à peu s'effacer devant un certain autoritarisme de raison», selon l'excellente formule de M. Wormser. Le même homme, qui envoie la troupe contre les grévistes et qui refuse aux fonctionnaires le droit de se syndiquer, ne cesse de proclamer sa sympathie pour la classe ouvrière et fait voter en 1919 la loi instituant la journée de huit heures. Au fond, il est beaucoup moins positiviste et héritier de la Révolution qu'il ne le croit – et son biographe avec lui. Sa conception de la democratie reste foncièrement idéaliste. II admire en elle ce que les marxistes dénoncent sous le nom de démocratie formelle. Après avoir fait la synthèse de la pensée de Clemenceau, M. Wormser retrace sa carrière de la mairie de Montmartre, à la veille de la Commune, jusqu'à la retraite amère qui suit la victoire. Tranchant le plus souvent en faveur du Tigre, il expose cependant avec objectivité et en détail tous les cas où son action a été discutée ou mal comprise : le scandale de Panama, l'affaire Dreyfus, la politique coloniale, les deux présidences du Conseil. Son ouvrage contient en annexes plusieurs documents inédits qui éclairent des étapes importantes de la vie de Clemenceau, ainsi que d'utiles précisions bibliographiques sur son oeuvre littéraire et journalistique. II est illustré de quelques photographies fort bien choisies et fort bien reproduites. Comme chef de cabinet et ami de Clemenceau, l'auteur a noté des conversations et il a pu consulter des papiers privés. L'admiration légitime qu'il éprouve pour son ancien patron l'a conduit quelquefois à exagérer ses mérites. II y a des traces de rhétorique dans ce livre chaleureux, mais parfois un rien prolixe. Mais, par la valeur et l'abondance de sa documentation, par le sérieux de ses sources, M. Wormser a constitué un dossier indispensable aux futurs historiens de la Troisième Republique." (Gustave Moeckli, Revue suisse d'histoire, 1961) — Par Georges Marcel Wormser (1888-1978), ancien élève de l'École normale supérieure et agrégé de lettres. Officier, il est deux fois blessé au front durant la Première Guerre mondiale. Il est membre du cabinet de Georges Clemenceau quand ce dernier est pour la seconde fois président du Conseil en novembre 1917 puis son chef de cabinet de décembre 1918 à février 1920. Il est aussi secrétaire de la délégation française lors des négociations du traité de Versailles. À la mort de Clemenceau dont il a été un des plus proches collaborateurs et dont il a toujours défendu la mémoire, il fonde la société des amis de Georges Clemenceau dont il devient le président. Il est chef de cabinet de Georges Mandel quand il est ministre des PTT de novembre 1934 à juin 1936. En 1936, il fonde la Banque d'Escompte qui deviendra plus tard la Banque Wormser Frères. En 1961, il publie son ouvrage le plus célèbre La république de Clemenceau pour lequel il reçoit les félicitations du général de Gaulle : « Il n'est pas de meilleur moyen de servir sa mémoire que de faire connaître sa vie, son action, sa passion... »
Paris Librairie Du Dauphin 1931 In-12 Broché Satisfaisant
couverture au titre noir et rouge (dos recollé), sous-titre encadré : Les idées politiques de Clémenceau - Clémenceau philosophe : au soir de la pensée - L'anticléricalisme de Clémenceau - La volonté de Clémenceau - Clémenceau romancier : les plus forts - Clémenceau dramaturge : Le voile du bonheur - Clémenceau historien : Démosthène, grandeur et misère d'une victoire ; 228pp ; illustré d'un frontispice et deux photos HT ; 3e mille