POTASSE D'ALSACE. 1962. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages illustrées de tableaux dans le texte.. . . . Classification Dewey : 634-Arboriculture
Reference : R300019240
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Paris, chez Henry Charpentier, 1716. Deux volumes in-4 de (4)ff., XLVIII pp., (4)ff., 666 pp., (1)p. ; (6)ff., 562 pp., (14)ff. de table générale. L'illustration se compose d'un plan dépliant "Le jardin potager du Roy à Versailles et 11 planches gravées dont une dépliante, vignette et tête de chapitre et plusieurs bois gravés in-texte. Anciennes traces de mouillure pâle en marge de plusieurs cahiers aux deux volumes et quelques rousseurs. Plein veau brun, dos à nerfs orné de caissons fleuronnés, pièce de titre de maroquin rouge. Coiffe supérieure en partie arasée et un coin fortement usé au premier volume. Quelques désquamations aux plats. Reliure de l'époque.
Cet ouvrage rassemble les réflexions et l'expérience de Jean-Baptiste de la Quintinye (1626-1688), célèbre jardinier et agronome français, qui abandonna la profession d'avocat pour se consacrer au jardinage. Il s'occupa des jardins de grands personnages de l'époque (Nicolas Fouquet, le prince de Condé, le duc de Montausier, Colbert). En 1670 Louis XIV le chargea de la direction de ses jardins fruitiers et potagers. Ensuite, pour cinq années, il se consacra à la création du nouveau potager du roi. Dans le 2ème tome on retrouve le Traité des orangers, de la Culture des fleurs, de la Culture des melons ou Lart de tailler les arbres fruitiers.
A Rouen, Chez Jacques Herault, 1661. Petit in-12 de : titre, épître dédicatoire (3ff.), préface ( 21 ff.) et 234 pages. Nouvelle édition. Le troisième feuillet de la préface est endommagé sur 7 lignes et rousseurs en marge sur le recto, le verso est bien lisible, quelques rousseurs. Ex-libris manuscrit: Jean de Cairon à Sainct Vigor (Calvados) et Pierre Sedille (XIX ème). Plein veau d'époque, dos à nerfs orné de fleurons dorés. Coiffe supérieure arrachée, ainsi qu'n pied avec manque de cuir et coins très usés.
Deuxième édition de cet ouvrage devenu peu courant. La première datant de 1652. Antoine Le Gendre, conseiller, aumônier du Roi, contrôleur des jardins fruitiers de S.M. et curé d'Hénouville est né au Vaudreuil en 1612 et mort en 1687 à Hénouville où il fut inhumé dans le coeur de l'église. Autre version quant à l'auteur: Jean de La Quintinye dans la préface de son Instruction pour les Jardins, nous apprend que c'est Arnaud d'Andilly qui, sous le nom et sur les mémoires du fameux curé d'Hénonville, a si poliment écrit sur la culture des arbres fruitiers. Frère.
Précieux exemplaire relié à l’époque en maroquin rouge aux armes de Charles-Alexandre de Lorraine (1712-1780). Paris, L. F. Delatour, 1773. In-8 de (1) f. de frontispice, 60 pp., 5 planches dépliantes hors texte. Maroquin rouge, plats richement ornés d’une large dentelle dorée, grandes armes frappées or au centre, dos lisse orné de fleurons dorés, roulette intérieure dorée, filet doré sur les coupes, doublure de papier moiré bleu, tranches dorées. Reliure de l’époque. 165 x 94 mm.
Édition originale de ce traité consacré à la taille des arbres fruitiers. Barbier, II, 246 ; Janson, 398 ; Conlon 73 : 1120 ; inconnu de Nissen et de Pritzel. Cet intéressant manuel décrit la méthode mise au point par Pelletier de Frépillon pour tailler les arbres fruitiers en se basant sur des règles géométriques : « D’après les observations que nous avons faites sur les effets de la Nature, nous avons cru pouvoir assujettir aux regles de la Géométrie, la Taille des Arbres fruitiers ; & nous avons imaginé, pour la rendre plus intelligible, de réduire en plan géométrique la forme que doit avoir l’Arbre perfectionné par l’Art ». « Etienne Pelletier De Frepillon est probablement fermier ou seigneur censier de Frépillon, sous la houlette de l’abbesse de Maubuisson. Fourrier de la cour jusqu’en 1773 (ou 1775), il se retire définitivement à Frépillon, où il a sans doute, pendant ses heures de loisirs, ou avec l’aide d’un jardinier, expérimenté dans son jardin une nouvelle méthode pour tailler les arbres fruitiers, en particulier les pêchers. Les premières recherches de Le Pelletier semblent rencontrer un certain succès : en 1785, on trouve dans une brochure de conseils pratiques l’annotation suivante : ‘Pêchers. M. Pelletier de Frépillon demeurant à la Vallée de Montmorency, près Paris, a imaginé une nouvelle manière de tailler les pêchers, elle leur fait rapporter un plus grand nombré de fruits qu'ils n'ont habitude de donner’ ». « En 1773, parut un petit ouvrage dans lequel on proposoit de fortes modifications dans la méthode de Montreuil. C'est dans ‘L'essai sur la Taille des Arbres fruitiers’ par une Société d'Amateurs. Cette société se réduisoit à un seul particulier, nommé Le Pelletier, qui avoit été fourrier de la Cour. Il se retira dans un petit domaine, à Frépillon, près Saint-Leu, dans la vallée de Montmorency. Et là, il chercha à diriger des espaliers avec une précision géométrique : les figures qu'il en publia sont effectivement très régulières. Mais les Amateurs de culture qui, sur son invitation, furent examiner ses travaux, trouvèrent que la Nature, suivant son génie, n'avoit pu se plier à des formes aussi exactes, et que souvent, pour déguiser ses caprices, Le Pelletier avoit employé l'art de la greffe.» (Aubert-Aubert Dupetit-Thouars, Recueil de rapports et de mémoires sur la culture des arbres fruitiers, 1815, p. 67). En 1843, la société académique d’Agriculture de l’Aube émettait un avis assez proche : « (Ce) petit traité, format in-12, … est assez estimé. Les meilleurs principes y sont enseignés. Il est fort court et très-clair. Il y est souvent question du pêcher en espalier. Mais l'auteur parut alors, et longtemps depuis, avoir trop insisté sur certaine forme, la forme carrée à donner aux arbres. On ne regarda pas cette forme comme devant contribuer beaucoup, ni autant que celles adoptées jusque-là, à leur produit, ni même plus qu'elles à leur conservation ». L’illustration du plus haut intérêt se compose d’un frontispice gravé et de 5 planches dépliantes présentant la méthode de taille proposée par l’auteur. Précieux exemplaire relié à l’époque en maroquin rouge aux armes de Charles-Alexandre de Lorraine (1712-1780). Charles-Alexandre de Lorraine (1712 - 1780) fut gouverneur général des Pays-Bas autrichiens (1741-1780), grand maître de l’ordre Teutonique (1761-1780) et chevalier de l'Ordre de la Toison d'or. Il était le douzième enfant de Léopold Ier, duc de Lorraine et de Bar, et d'Élisabeth Charlotte d'Orléans. Il était également le beau-frère de l'impératrice Marie-Thérèse. Il fut fait maréchal d'Autriche en 1740. En avril 1741, il fut désigné comme successeur aux Pays-Bas de la gouvernante générale, l'archiduchesse Marie-Élisabeth. Pendant la Guerre de Succession d'Autriche, il fut l'un des principaux commandants autrichiens. Il fit son entrée à Bruxelles, en compagnie de son épouse, l'archiduchesse Marie-Anne d'Autriche, le 26 mars de cette année. Deux mois plus tard, il reprenait le commandement des armées du Rhin, laissant son épouse seule aux Pays-Bas. Après le décès de celle-ci des suites de ses couches en décembre 1744, l'invasion, puis l'occupation française (1745-1748) empêchèrent son retour aux Pays-Bas. Ce n'est que le 24 avril 1749 qu'il put réellement entamer son gouvernorat. Il fut certainement le plus populaire des gouverneurs généraux des Pays-Bas autrichiens. En témoignage de cela, une statue à son effigie fut élevée en 1775 à Bruxelles sur la toute nouvelle place de Lorraine, devenue depuis place Royale. Sans trahir les intérêts de la couronne impériale, il parvint à défendre ceux des Pays-Bas, et à en faire respecter les privilèges. Il encouragea simultanément le progrès des Lumières et le développement économique, patronnant des entreprises telles que la création de l'Académie thérésienne de Bruxelles (1772), la réalisation par le Comte Josef de Ferraris d’une carte très précise du territoire (1770-1778), ou encore diverses expériences techniques et industrielles dans son château de Tervuren.
Dupuis, A, Arbres D'ornement de pleine terre, Libraire Agricole de la Maison Rustique. Bibliotèque du jardinier. París. 18x12. Ouvrage orné de 40 gravuresA. PUVIS, DE LA TAILLE DES ARBRES FRUITIERS , Paris librairie agricole de la maison rustique 1868 , 167 pages , deux volumes reliés dans un seul , parfait etat reliure demi chagrin vert plat percaline
Ray B4*
LA REVUE HORTICOLE. 1931. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 24 pages illustrées de gravures dans le texte et d'une gravure couleurs hors texte.. . . . Classification Dewey : 635-Horticulture
SOMMAIRE : H Martinet. .F.Lesourd. ( Chronique horticole.G.Bellair. — Faits et commentaires :Dégénérescence de nos arbres fruitiers.A. PÜ.T1T, — Choix d’une terre pour l’obtention d’Hortensias à fleurs bleues. C. Souchet. — Le forçage du Lilas. Marius Bertola. — Aide-mémoire horticole : Les noms des Plantes.F. Lesourd. — Rose Colette Martinet.V. Enfer. — Arbres fruitiers en pots. J.-D. — Société nationale d'Horticulture de France.A Gjillaumin.— Les Cactées: Comment les reconnaître.F. Lesourd. — Les plus gros arbres de France : Les Feuillus {fin).Fr. Charmeux.— Revue commerciale.PLANCHE COLORIÉERose Colette Martinet.GRAVURES NOIRESVue d’une partie de l’établissement de M. C. Souchet, à Vitry-sur-Seine (Seine). — Serre de Lilas forcé, variété Casimir Périer. — Lilas Marie Legraye — Lilas Souvenir de Louis Spath. — Arbres fruitiers en pots : Pêcher, Prunier, Vigne. — Les vieux Lierres de Picpus, à Paris. — Le Laurier Camphrier de la villa Madrid, à Cannes. Classification Dewey : 635-Horticulture