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ROGER L. LACHAT
MEURTRE A LA COUR
EDITIONS SELCO / LES PLUS GRANDS ROMANS HISTORIQUES. 1953. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos fané, Quelques rousseurs. 195 pages. Jaquette illustrée en couleurs légèrement abîmée au niveau des coiffes. Tampons de bibliothèque.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : R260127308
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
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L'anthologie du mystere N°219 bis- special 8 - printemps 1966 - l'empreinte de pas dans le ciel par john dickson carr, l'homme qui tua le renard par chesterton, un defi loyal par agatha christie, le meurtre du pere noel par tage la cour, l'eternelle ...
Opta Collection Mystère Magazine. 1966. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos frotté, Quelques rousseurs. 288 pages. Texte sur deux colonnes. 1er plat légèrement abîmé. Dos plié.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Ellery queen , mystere magazine, La revue littéraire de tous ceux qui s'interressent au policier et au mystère. SOMMAIRE: l'empreinte de pas dans le ciel par john dickson carr, l'homme qui tua le renard par chesterton, un defi loyal par agatha christie, le meurtre du pere noel par tage la cour, l'eternelle poursuite par anthony gilbert, recherche: ville par fredric brown , charlie ne sera pas a la maison ce soir par william irish, l'assassin porte une couronne par nathalie henneberg, le collier empoisonne par miriam allen deford, qui me suit par holly roth, les pas qui couraient par dorothy sayers, coup monte sur la grand route par hawkins, jericho et les temoins sans voix par hugh pentecost. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Reference : 1588
Relation circonstanciée de l'Arrêt rendu par la Cour d'assises de Versailles, qui condamne à la peine de mort, les nommés MORINET, PECHARD et MORIN, atteints et convaincus de meurtre et de vols à main-armée au presbytère du Curé de Guillerval,
Imprimerie de Vigor Renaudière, 1820., 1 feuillet in-folio recto-verso
Sur un ton grandiloquent, le rédacteur rapporte l'épouvantable forfait commis par trois scélérats sur un ecclésiastique qui après l'avoir torturé, s'emparèrent de ses biens ainsi que des calices de l’église. Épouvanté et choqué par l’agression, le malheureux fut retrouvé pendu dans son humble demeure.A la suite de débats aussi contradictoires que confus, les trois bandits furent confondus et condamnés à avoir la tête tranchée. Quelques jours auparavant, la même Cour avait jugé un jeune homme qui avait tiré sur son père. Sur décision unanime, et bien que le père, indemne n'eut pas porté plainte, il fut condamné "au supplice des parricides ; il sera conduit au lieu d’exécution en chemise et pieds nuds (sic), et il aura le poing droit coupé avant d'être décapité". L'un des défenseurs de cette affaire n'était autre que Chaix-d'Est-Ange, le futur défenseur de Charles Baudelaire.
Accusation de viol et de meurtre contre Louis Bonafous frére Léotade débats devant la Cour de Cassation et devant la Cour d'Assise de Haute Garonne publié par Maitre Delbreil et Maitre A.Pages du Port in-8,broché,538 pages.2 gravures hors texte de Louis Bonafous et Cécile Combette,carte dépliante du plan figuratif des lieux.
Delboy Libraire éditeur 1948
Assez bon état
[Canard]. Relation circonstanciée de l'Arrêt rendu par la Cour d'assises de Versailles qui condamne à la peine de mort, les nommés Morinet, Péchard et Morin, atteints et convaincus de meurtre et de vol à main armée au presbytère du Curé de Guillerval, près d'Etampes.
Paris, De l'imprimerie de Vigor Renaudiere, 1820. In-folio de 2 pages (43 x 28 cm).
Canard de 1820 illustré d'un bois gravé (18,5 x 12,5 cm) qui relate l'affaire des chauffeurs assassins du curé de Guillerval et les « moyens employés par ces scélérats pour s'introduire pendant la nuit au domicile de M. Travers ; détails des persécutions que ces monstres ont fait endurer à leur victime ; cruautés commises par ces brigands qui ont chauffé les pieds du respectable vieillard âgé de 77 ans pour lui faire avouer où était son argent ; comment ils lui mirent un pistolet sous la gorge menaçant de le tuer ; intrépidité de ce vénérable ecclésiastique lorsque les brigands voulurent emporter les vases sacrés, récit douloureux sur la fin déplorable de ce malheureux pasteur ».
Mémoire justificatif de l'innocence de Frère Léotade, des Ecoles chrétiennes de Toulouse, condamné aux travaux forcés à perpétuité par la Cour d'assises de la Haute-Garonne, le 4 avril 1848, comme auteur du viol et du meurtre de Cécile Combettes, décédé au bagne de Toulon le 26 janvier 1850.
Toulouse, H. de Laboüisse-Rochefort, 1859. 1 vol. in-8°, demi-percaline verte, titre doré au dos. Reliure modeste du temps, coins fragiles. xij-304 pp., (1) p.; 140 pp. et 3 planches h.-t. repliées.
Passionnant mémoire en réhabilitation, composé par le fondé de pouvoir du frère du condamné, de cette affaire criminelle tristement célèbre du milieu du XIXe siècle. Cécile Combettes, employée d'un relieur de Toulouse avait été retrouvée violée et assassinée après avoir accompagné son maître aux Ecoles chrétiennes où celui-ci venait livrer des livres qu'il venait de relier. L'enquête se dirigea rapidement, dans un climat clairement anticlérical, contre l'un des frères de la congrégation, le frère Léotade, qui clama toujours son innocence. Cazeneuve tenta en vain, à plusieurs reprises entre 1850 et 1860, d'obtenir la réhabilitation en produisant des mémoires remarquablement étayés, comme celui-ci. Un vrai sujet de film noir dont il est étonnant qu'aucun scénariste n'ait eu l'idée de s'emparer pour une adaptation cinématographique...
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