EDITIONS BERTIL GALLAND. 1974. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos plié, Intérieur frais. 164 pages. Couverture rempliée. Léger manque sur le revêtement du premier plat.. . . . Classification Dewey : 830-Littératures des langues germaniques
Reference : R260123430
Les meilleurs romans contemporains de Suisse alémanique traduit par Gerda Bouvier. Classification Dewey : 830-Littératures des langues germaniques
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Paris, Librairie polytechnique ch. beranger , 1942; in-4, 795 pp., cartonnage de l'éditeur. Traité pratique des distributions d'eau et des égouts hydraulique, hydrostatique, hydrodynamique, orifices, ajustages, derversoirs, calculs des canaux, des aqueducs, des égouts, calcul des conduites d'eau.
Traité pratique des distributions d'eau et des égouts hydraulique, hydrostatique, hydrodynamique, orifices, ajustages, derversoirs, calculs des canaux, des aqueducs, des égouts, calcul des conduites d'eau.
Paris, 1883 [1885]. 595 x 836 mm.
Beau plan d'ensemble du réseau d'alimentation en eau et des égouts de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Le plan, dressé d'après la carte du département de la Seine, indique les réservoirs, signalés par un rectangle hachuré en bleu, les machines élévatoires, par un symbole en mauve, les conduites d'eaux de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, les conduites d'eaux de source, tracées en vert, les conduites de refoulement, tracées en mauve, les aqueducs d'eau de l'Ourcq, tracées par un trait épais en bleu, et les aqueducs d'eau de source par un trait épais en vert. Tout autour de la ville, on peut voir l'enceinte de Thiers, du nom de l'homme politique qui conçut le projet. Construite entre 1841 et 1844, elle était constituée de 94 bastions, et englobait non seulement Paris mais aussi les communes environnantes annexées à Paris en 1859, telles Montmartre, La Villette, Belleville, Charonne, Bercy, Auteuil, ou encore Passy. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Bas de la pliure centrale bruni. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, [1889]. 608 x 768 mm.
Beau plan de Paris figurant le réseau d'égouts de la ville en 1789, dressé par le géomètre L. Fauve, gravé et chromolithographié par Wuhrer. Il est issu de l'ouvrage Les Travaux de Paris 1789-1889, retraçant les travaux effectués à Paris entre 1789 et 1889. Le réseau est illustré de trois couleurs : en rouge, les égouts maçonnés, en bleu, les égouts découverts, et en vert, le cours de la rivière de Bièvre, exutoire des eaux d'égout d'une partie de la Rive gauche. On constate qu'en 1789, le réseau était quasiment inexistant, et couvrait essentiellement la rive droite de la Seine. Après cette date, et à partir du XIXe, il commença à se développer, mais il ne couvrait que le centre de Paris. Il faudra attendre les grands travaux du baron Haussmann pour que le réseau se développe dans toute la ville. Les limites de Paris sont ici fixées par le Mur des Fermiers généraux, enceinte construite entre 1784 et 1790, et dont l'objectif était de permettre la perception, aux points de passage, d'un impôt sur les marchandises entrant dans la ville. Il fut détruit en 1860 lors de l'extension de Paris jusqu'à l'enceinte de Thiers. Le titre est orné en tête des armoiries de Paris, avec sa devise. Adolphe Alphand succéda au baron Haussmann au poste de directeur des travaux de Paris après la destitution de ce dernier en 1870. Il avait auparavant contribué à l'embellissement de la capitale avec la création et la transformation de nombreux parcs, jardins et promenades. Bel exemplaire. Pinon & Le Boudec, pp. 112-113.
Paris, 1883 [1885]. 605 x 800 mm.
Très grand plan du 7ème arrondissement de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, et les conduites d'eaux de source, tracées en vert. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.
Paris, 1883 [1885]. 592 x 752 mm.
Très grand plan des 1er et 2ème arrondissements de Paris, gravé par Louis Wuhrer pour l'Atlas administratif des Eaux de la Ville de Paris, publié en 1885. Il a été dressé lors des Grands Travaux de Paris par le Service des Eaux et des Égouts, sous la direction d'Eugène Poubelle, préfet du département de la Seine de 1883 à 1896. Dissous en 1968, le département de la Seine comprenait Paris et les départements actuels des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne. Les 20 arrondissements de Paris furent quant à eux créés le 16 juin 1859, lorsque les faubourgs situés entre les fortifications de l'enceinte de Thiers et le mur des Fermiers Généraux furent annexés à Paris. Le plan indique les conduites d'eau de l'Ourcq, tracées en bleu, les conduites d'eaux de rivières, tracées en rouge, et les conduites d'eaux de source, tracées en vert. Les traits pleins indiquent les conduites situées en égout, les traits ponctués, celles situées en terre. Les bâtiments publics sont en grisé. C'est à Eugène Belgrand que l'on doit le réseau d'eau et des égouts de Paris. L'ingénieur participa à la rénovation de la capitale sous le Second Empire au côté du baron Haussmann, qui lui confia en 1854, la double mission d'approvisionner Paris en eau potable et d'assainir la Seine. Entre 1854 et 1869, le réseau d'eau augmenta de 850 km et sa longueur totale doubla. Belgrand lança un projet novateur, celui de créer deux réseaux d’alimentation en eau indépendants, l’un destiné à l’alimentation des habitants, l’autre destiné à l’alimentation des fontaines publiques, à l’embellissement et la propreté de la ville. Il devint directeur du Service des Eaux de la Ville de Paris en 1856 et mit en place le double réseau d’eau public et privé dès 1859. Puis en 1880, c'est le système du « tout-à-l’égout » qui fut décidé par le Conseil municipal de Paris, et rendu obligatoire en 1894, soit deux ans après la dernière épidémie de choléra qui avait fait 700 morts à Paris. Ce système permit une amélioration notable de l’assainissement dans la capitale, où le pourcentage d’immeubles branchés à un égout passa de 32% en 1900 à 90% en 1931. Bel exemplaire. Gougy & Giraud-Badin, Catalogue de la bibliothèque de M. Edgar Mareuse, Première partie, Vente du 10 au 28 décembre 1928, 1928, p. 122, 1400.