ROBERT LAFFONT. 1947. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Coiffe en tête abîmée, Intérieur acceptable. 524 pages - ex dono sur la page de faux titre.. . . . Classification Dewey : 320-Science politique
Reference : R240136799
Edition critique publiée avec une introduction et des notes par Louis André et une préface de Léon Noël. Classification Dewey : 320-Science politique
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Cologne Chez le Politique 1695 Bel exemplaire de cette première édition falsifiée. Presque tout ce qui figure sur la page de titre est faux. Le véritable auteur est le soldat devenu écrivain Coutilz de Sandras (1644-1712). La date de publication de 1695 est exacte. L'uvre est essentiellement une fiction, écrite dans une langue majestueuse et tissée dans un contexte historique. Reliure en plein cuir avec petite étiquette en cuir et titre doré. Un peu de frottement et de marque, mais dans l'ensemble en très bon état. Marques sur les papiers de fin provenant de l'ancien ruban adhésif. Le frontispice montre le marquis grovelling présentant ses mémoires au roi. L'arrière Louvois mourut avant la rédaction de cet ouvrage. [x], 576. pages. Le dernier feuillet blanc de la fin a été enlevé. Habituellement attribué à Gatien de Courtilz. cf. B.M. Woodbridge, Gatien de Courtilz, 1925, p. 207 ; Sources de l'hist. de France, XVIIe siècle (1610-1715) IV, p. 353. conforme à OCLC : 13682009. 160 par 100mm
Nice copy of this first edition forgery. Almost everything on the title page is false. The real author is the soldier turned author Coutilz de Sandras (1644-1712). The publication date of 1695 is accurate. The work is essentially fiction, written in a stately language and woven into a historical background. Full leather binding with small leather label and gilt title. A little rubbing and marking, but overall in very good condition. marking to the end papers from old tape. Frontis showing the grovelling marquis presenting his memoirs to the king. The rear Louvois died before this work was written. [x], 576. pages. Final blank end paper has been removed. Usually ascribed to Gatien de Courtilz. cf. B.M. Woodbridge, Gatien de Courtilz, 1925, p. 207; Sources de l'hist. de France, XVIIe siècle (1610-1715) IV, p. 353. conforms to OCLC: 13682009. 160 by 100mm (6Œ by 4 inches). .
A Lausanne, Chez Marc-Michel Bousquet & Compagnie, 1753. In-12 de XXX-460 pp. Relié à la suite : Bolingbroke (Henry St. John). Testament Politique de Milord Bolingbroke, écrit par lui-même ; ou considérations sur l'Etat présent de la Grande-Bretagne, principalement par rapport aux Taxes & aux Dettes nationales, leurs Causes & leurs Conséquences. Traduit de l'Anglois. A Londres, 1754. In-12 de (2)-IV-103 pp.Les deux pièces reliées en 1 vol. in-12, veau havane, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge, triple filet doré sur les plats (reliure de l'époque).
1 - Édition originale. Testament apocryphe du cardinal Giulio Alberoni (1664-1752). Joseph-Marie Durey de Morsan (1717-1795), « après avoir à Madrid rassemblé de nombreux documents relatifs au cardinal, les refondit et leur donna le titre de Testament… Dans un voyage qu'il fit en Hollande, il montra son manuscrit à Maubert de Gouvest, qui, tout en disant que ce travail ferait fortune, n'en donna que vingt écus, et le publia avec ses initiales (M.D.G.) » (Michaud).2 - Première édition française. « Ecrit inséré déjà sous le titre de Réflexions politiques parmi les discours de David Hume. Bolingbroke n'a pas mis la dernière main à ce travail, sans quoi le titre de Testament Politique lui eût paru trop pompeux pour un opuscule de 103 pp. Il y décrit la situation financière de l'Angleterre sous un jour très sombre, dénonce les dilapidations commises et l'accroissement considérable de la dette, etc. » (Stourm). Stourm, 98 ; Kress, 5330. Bel exemplaire.
P., Editions Pages d'Histoire, 2018, gr. in-8°, 134 pp, notes, biblio, index, reliure pleine toile carmin, dos lisse, titres dorés, bon état. Tiré à 150 exemplaires seulement
"Le Testament politique du cardinal de Richelieu a troublé ses lecteurs depuis sa première publication en 1688, quarante-sept ans après la mort du cardinal. Le livre d'Orest Ranum propose à la fois une lecture attentive de ce texte difficile et important et une série de réflexions sur certaines des questions plus larges qu'il soulève. Aucun spécialiste n'était plus qualifié pour entreprendre cette double tâche, car Ranum a enseigné à des générations d'historiens à réfléchir en profondeur aux mécanismes du pouvoir aux débuts des temps modernes et au langage complexe utilisé alors pour décrire les actions politiques. Ses recherches sur ces questions ont été remarquables par l'ampleur de leur vision. Dans "Les Bienfaits", Ranum se concentre sur un seul des multiples thèmes du Testament politique, celui du don..." (Jonathan Dewald, H-France Review Vol. 19, 2019)
1892 | 20 x 29.50 cm | 4 pages sur un double feuillet
Exceptionnel manuscrit autographe complet signé du véritable testament de Ravachol - en grande partie inédit - inconnu sous cette forme, précédant sa réécriture par un tiers pour la publication dans la presse. Unique témoignage de la véritable pensée de l'icône de l'anarchie. Manuscrit de quatre pages in-4 lignées, entièrement rédigé à l'encre noire et doublement signé «Konigstein Ravachol» en pied de chaque feuillet. Corrections au crayon de papier dans le texte, peut-être de la main de son avocat. Quelques pliures transversales et très infimes déchirures marginales sans manque. Écrit en cellule durant le second procès de Montbrison qui mènera à sa condamnation à mort, ce texte, rédigé d'une écriture hâtive, sans ponctuation ni majuscules et à l'orthographe naïve, devait être prononcé par Ravachol lors de l'audience. «Ravachol avait une sacrée envie de coller son grain de sel dans la défense, non pour se défendre, mais pour s'expliquer. Y a pas eu mèche, nom de dieu ! à la quatrième parole, le chef du comptoir lui a coupé le sifflet. Sa déclaration n'est pas perdue, nom d'une pipe ! ». (Émile Pouget, in Père Peinard 3-10 juillet 1892). Le Rocambole de l'anarchisme ne sera en effet pas autorisé à déclamer son texte, mais il le remettra à son avocat Maître Lagasse et, dès le 23 juin, la déclaration interdite se retrouvera reproduite dans le journalLe Temps. Cette première parution dans un journal conservateur se veut fidèle au texte original jusqu'à reproduire l'orthographe fantaisiste de son auteur. Ce souci d'exactitude sera d'ailleurs dénoncé par Émile Pouget dans le Père Peinard du 3 juillet 1892, une semaine avant l'exécution de Ravachol: «Le Temps, le grand drap de lit opportunard l'a collée nature. En vrai jésuitard, il l'a même collée trop nature. Ravachol avait écrit le flanche pour lui; il savait comment le lire, - mais y avait pas un mot d'orthographe, vu qu'il se connait à ça, autant qu'à ramer des choux. Le Temps a publié le flambeau sans rien changer, de sorte que c'est quasiment illisible [...]. C'est ce que les jean-foutre voulaient, nom de Dieu! [...] Je colle ci-dessous, sans y changer un mot, m'étant contenté d'y mettre de l'orthographe.» Suit, dans ce même numéro du 3 juillet 1892, la reproduction exacte, mais sans les fautes, du discours initialement publié dans Le Temps. Cette double publication associée à la noble attitude de Ravachol devant la guillotine aura un impact considérable sur l'opinion publique. En effet, même les organes anarchistes avaient jusqu'à lors conservé une certaine distance avec ce criminel provocateur accusé d'utiliser la cause anarchiste à des fins crapuleuses. Mais après l'exécution, ce testament sera rapidement repris par de nombreux autres journaux et l'ultime cri de révolte de Ravachol deviendra bientôt un véritable hymne de l'anarchie pour les libertaires de toutes nations. Pourtant, la version reproduite par ces journaux, seule connue à ce jour mais dont la source manuscrite a disparu, diffère sensiblement du manuscrit en notre possession. En effet, le style a été légèrement amélioré, quelques tournures ont été arrangées, et surtout, de larges passages ont été supprimés, dont le paragraphe de conclusion qui a été entièrement remplacé. Notre manuscrit, comportant des ratures et des reprises semble ainsi être, à tout le moins, la version primitive de ce testament politique. Écrit d'une traite, d'une graphie compacte, sans ponctuation, ni paragraphe, ce manuscrit comporte deux longs passages révélant des préoccupations de santé publique totalement absentes de la version publiée. La première concerne un long passage, d'un tiers de feuillet, sur les «ingrédients dangereux» adjoints à la fabrication du pain: «n'ayant plus besoin d'argent pour vivre, plus de crainte que le boulanger introduise dans le pain des ingrédients dangereux pour la santé et dans l'intention de lui donner une belle apparence ou le rendre plus lourd puisque cela ne lui rapporterait rien e
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In-12 veau blond, dos lisse, pièce de titre marocain rouge, plats ornés en leurs centres d'armes dorées. Toutes tranches rouges. Petit manque en coiffe de tête, reliure d'époque. Bousquet. Lausanne. Édition originale de ce testament apocryphe du cardinal Alberoni 1664- 1752. Joseph-Marie Durey de Morsan rassembla à Madrid divers documents relatifs au cardinal, qui furent achetés par Maubert de Gouvest pour les réunir en un seul ouvrage traitant de sujet divers comme l'Espagne de Charles VI, les affaires de la France et l'Espagne, l'agriculture, la marine, ou bien encore l'équilibre des forces en Europe. Très bel exemplaire. Les armes sont celles de la famille d'Espinay Saint-Luc originaire de Normandie. Timoléon-Antoine-Joseph-François-louis-Alexandre, comte d'espinay de Saint-Luc, marquis de Ligneris, fils de François, mestre de camp de cavalerie, et de Marie-Madelaine-Louis-Catherine de Samson, né le 18 octobre 1724, servît comme officier de cavalerie; il quitte le service pour raison de santé, puis se marie le 22 septembre 1760 avec Marie-Bernardine Cadot de Sebbeville. armes or peut être 9 carats?.
Hors frais d'envoi.En L'État.