‎DAUDET LEON‎
‎SOUVENIRS POLITIQUE.‎

‎ALBATROS. 1974. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 307 pages - couverture contrepliée.. . . . Classification Dewey : 320-Science politique‎

Reference : R240132505


‎Préface de Michel de Saint Pierre - Réunis par René Wittmann. Classification Dewey : 320-Science politique‎

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‎JACQUES BAINVILLE DIRECTEUR‎

Reference : R240001653

(1931)

‎LA REVUE UNIVERSELLE tome XLV n°1 : souvenirs politique, l'allemagne et la guerre aérienne, Napoléon : le gendre des Césars, lamennais ou le prêtre maglré lui, la balance faussée,‎

‎PLON. AVRIL 1931. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 128 pages. Ouvrage débroché.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎ Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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‎Lémery (Henry)‎

Reference : PZX-72

(1944)

‎Dans la mêlée politique (1894-1944) Souvenirs - Tapuscrit signé‎

‎Henry Lémery, né le 9 décembre 1874 à Saint-Pierre et mort le 26 avril 1972 à Paris, est un homme politique français. Parlementaire entre 1914 et 1940, il est au début du XXe siècle le premier Martiniquais à devenir membre d'un gouvernement en France. Éphémère garde des Sceaux en 1934, il est ministre-secrétaire d’État aux Colonies de juillet à septembre 1940, au début du régime de Vichy. Exemplaire dactylographié et dédicacé des mémoires d'Henry Lémery : "Dans la mêlée politique (1894-1944) Souvenirs". Cet ouvrage est paru en 1964 aux éditions de La Table Ronde sous le titre "D'une république à l'autre : Souvenirs de la mêlée politique 1894-1944". En page de titre, une dédicace "à mon cher Louis Guitard qui a vu et revu mon texte m'a signalé quelques erreurs et s'est dévoué à cette tâche ingrate avec mes sentiments affectueux et mes remerciements Lémery 28 juillet 1964". Texte de 296 pages + des annexes in-fine avec des corrections manuscrites. Jaquette en papier kraft abimée, couverture en bon état, intérieur frais.‎


En Quête du Livre - Paray-le-Monial

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‎AUBERT OCTAVE‎

Reference : R300064081

(1943)

‎DE L'HISTOIRE... ET DES HISTOIRES - SOUVENIRS D'UN JOURNALISTE - I.— Les souvenirs du journaliste. — Les écrits volent commedes papillons. — Le grave et le plaisant. — Première manifestation politique d’un petit bonhomme. — La Garde Nationale. — De l‎

‎DELMAS. 1943. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 229 pages.. . . . Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine‎


‎TABLE DES MATIERES : I.— Les souvenirs du journaliste. — Les écrits volent commedes papillons. — Le grave et le plaisant. — Première manifestation politique d’un petit bonhomme. — La Garde Nationale. — De l’Ecole du Moulin au « Moulin Parlementaire ». — Mes premiers honneurs. — On voit grand quand on est petit ..II.— Les Lycéens après la défaite. — Le grave enseignement desMaîtres. — Le Lycée « Louis Barthou ». — Les tableaux du parloir. — Journaux manuscrits. — Neuf années d’internat. — Le beau panorama des Pyrénées et les marchands de soleil. — Le plus beau pays du monde, pour chacun de nous, c’est notre pays. — Notre camarade Louis Barthou..M. — Mon humble carrière administrative. — Des hommes de lettres bureaucrates. — Les jeunes conférenciers. — A 1’ « Union de la Jeunesse ». — La légende napoléonienne et le coup d'Etat. — Le brav’ général. — Les batailles de crabes. — Le « jeune » Millerand. —1 Un beau dépouillement. — Le scrutin de liste de 1885. — Une digression : Clemenceau, Ferry et le Tonkin ..IV. — Mon ami Dollfus et mes débuts journalistiques. — Une œuvre inachevée de bénédictins. — Un admirateur du budget anglais. — « Vive la Pologne, Monsieur ! » — Arrivé par le chapeau, achevé par le chapelier. — Ah ! quel malheur d’avoir un gendre ! — Un voyant qui fut sénateur. — Il fait beau, la route est large ! — Les bataillons scolaires et un futur ministre de la guerre V.— La Ligue des Patriotes devient une ligue politique. — Lagrande bagarre boulangiste. — Le pauvre Jacques. — Du café-concert aux réunions électorales. — Earben-zingue et Barbapoux. — La fuite et les lâcheurs. — Les déçus VI.— Un homme à systèmes. — Un planton, garde national. — Mapremière campagne. — Un brave journal de province. — Mon futur patron. — Mes débuts glorieux. — La candidature Léon Say. — Un royaliste qui s'est converti. — Je fais de la propagande chez ma nourrice. — La première élection de Louis Barthou. — Un montagnard grave le fait rire .VU. — « Voici ma main ! » — Une préface de Coppée et un refus d’Eugène Manuel. — Avec Francis Jammes. — Des livres de prix. — Mon passage à l’Estafette. — Placide Fulminât et Martial Douceret. — Les désillusions d’un marchand de parapluies radical. — Mon aventure au Journal des Débats. — On me confie la rédaction en chef de l’Indépendant. — Emile Garet et le devoir social. — L’apaisement et le ralliement. — Le principe d’autorité ____VIII.— La vie d’un petit journal départemental. — L’influencede la petite presse. — L’ardeur syndicaliste des écrivains cégétistes. — L’utopie et la réalité. — La conscience professionnelle des vrais journalistes. — La Chapelle des Cordeliers et ses desservants. — Les recommandations et les sollicitations. — L’uniforme des députés commissionnaires. — Quelques mots sur la grande Affaire. — L’ex-père Loyson et son rejeton IX.— Léon Say et la bourgeoisie. — M. Canard et l’éloquencesouriante. — « Les Soirées Populaires ». — Sans la France que deviendrait l’harmonie du monde ? — Une préface de Raymond Poincaré. — Les généraux Mercier et Picquart. — Des échanges de balles. — L’ « Histoire du Béarn », de Marca. — Pacifisme et spiritisme X.— Le tunnel international. — Le décintrement d’un pont. — Lacroisade de Charles Benoist. — Les parlementaires et les premiers vols des aviateurs. — Les rois au pays d’Henri IV et de Bernadotte. — Les débuts de Léon Bérard. — L’opinion de Laberdesque. — Deux ans après sa première élection, il entre dans le ministère Poincaré, sur l’insistance de Louis Barthou ..XI.— Les noirs à la Chambre. — Le vice-président Candace. —Une inauguration artistique avec le jeune Albert Sar-raut. — Le Congrès radical-socialiste de Pau. — La guerre aux trois ans. — Le Comité Mascuraud était pour la conciliation ..XII.— Les ministères éphémères : M. Doumergue et M. Ribot. —Les angoissantes élections de 1914. — La Fédération des Gauches, état-major sans troupes. — La coalition des adversaires des trois ans. — La guerre et l’union sacrée. — Ce que disait Jaurès à la veille de sa mort tragique. — Quelques erreurs de M. Viviani. — Défilé de cabinets avant celui de la Victoire ..XIII.— Les Comités secrets et les parlementaires mobilisés. —L’incurie de l'intendance. — Mes articles sur la « situation ». — La foi en la victoire. — Intrigues parlementaires. — Les crédits pour la guerre. — La question du charbon. — Les gothas et la Bertha ..XIV.— Clemenceau fait la guerre. — Inquiétude du public. —Les menées défaitistes. — Ignace et Mandel. — La canaille du « Bonnet Rouge ». — La Haute-Cour juge Malvy, puis Caillaux. — Les verdicts. — L’amnistie. — L’appel aux électeurs .XV.— L’Armistice. — Après plus de quatre ans de valeureuxcombats, l’adversaire se reconnaît vaincu. — Il aurait pu être vainqueur. — Clemenceau, ayant gagné la guerre, veut être l’homme de la paix. — L’émouvante séance du 11 Novembre. — La conférence de la paix et l’influence anglo-saxonne. — L’idéologie de Wilson. — Le couloir de Dantzig. — L’opinion de Nitti et celle de Barthou..XVI.— Au lendemain de l’armistice. — L’entrée des troupes enAlsace-Lorraine. — Poincaré et Clemenceau. — L’enthousiasme général et l’émotion de M. Cachin. — La bagarre électorale reprend avec un système truqué. — Les tribulations de la Proportionnelle XVII.— La R. P. juste et loyale. — En Bretagne, en Béarn. — Lefameux « Bloc National » a-t-il triomphé ? — La préparation du Cartel. — La combinaison Rothschild-Clemenceau et la Présidence de la République. — La courte présidence de M. Deschanel. — La Conférence de Spa. — Un beau 14 Juillet. — Le toast de Foch ..XVni. — L’élection de M. Millerand. — La révision constitutionnelle. — Le Cartel et le coup d’Etat contre le Président. — Vers le scrutin d’arrondissement. — Les radicaux dupés et contents — Le défilé des Présidents de la République. — Le ministère Herriot ..XIX.— La manifestation rouge du Cartel. — Jaurès au Panthéon.—Les cabinets radicaux. — Le slogan : la France est radicale. — Herriot et ses démissions. — Le rôle du nau-frageur. — Un homme susceptible. — La présidence de la Chambre. — Les couloirs et les journalistes parlementaires d’aujourd’hui et d’autrefois. — Batailles de personnes et de clans .XX.— lies partis, les groupes. — Les intérêts électoraux. — Lesdébitants de tabac protégés contre les fumeurs. — La pipe des philosophes. — Erreurs fiscales. — Abus des interpellations. — Le redressement et les idées de rénovation. — Il y a longtemps que des sages réclamaient un nouvel ordre de choses. — Lois sociales et socialismeXXI.—Le désordre parlementaire et l’indifférence des électeurs. —Les courtiers marrons de la politique. — Des bons mots avant les grands maux. — Le commis-voyageur du Scrutin d’arrondissement. — Le triomphe de la bureaucratie. — L’instabilité ministérielle. — Le cas de M. Briand. — Vaines tentatives pour réformer le parler mentarisme. — L’opinion du maréchal Lyautey XXII.— Le règlement de la Chambre. — Quelques enfants ter-ribles. — Amusettes parlementaires. — Le spectacle et la machinerie du Palais-Bourbon. — Pataquès et charabia. — Changement de mots et non d’idées. — Les orateurs lents et les volubiles ..XXIII.— Le scandale Stavisky. — Chautemps et sa famille. —Les brutales maladresses de Daladier. — Les manifestations de la place de la Concorde et des Champs-Elysées. — La révision du gouvernement. — Le désordre s’accroît et Daladier doit se soumettre ou se démettre. —Le gouvernement de M. Doumergue. — Les belles intentions demandaient une belle vigueur. — L’assassinat de Louis Barthou. — Le discours d’Arras, — Les successeurs de M. Doumergue .XXIV.— Léon Bérard et Louis Barthou. — L’Académie françaiseet les Béarnais. — Les académiciens au Parlement. — Les radicaux installés dans la Constitution monarchiste.—Les lauréats du Concours général. — L’union nécessaire des élites. — L’Ecole d’Hossegor XXV.— La majorité du Front Populaire. — Les sabotages de ladéfense nationale. — Les nations n’avaient plus confiance en nous. — Notre diplomatie au cœur Léger. — L’alerte de 1938. — Daladier messager de paix. — Daladier se bat pour la Pologne à laquelle Gamelin n’apporte aucune aide. — Paul Reynaud attendait un miracle. — L’opinion ignorante de tout. — La censure sévit. — Les attentats terroristes XXVI.— De Bordeaux à Vichy. — Pierre Laval et les prépara-tifs de l’Assemblée nationale. — Le Maréchal Pétain. — La future Constitution sera ratifiée par les nouvelles Assemblées et par la nation. — C’est vers l’avenir qu’il faut aller. — La Constitution de 1873 n’avait pas été appliquée. — Il fallait remédier à la faiblesse de l’Exé-cutif. — La notion de l’intérêt général XXVII.— La nation, elle aussi, est responsable du malheur com-mun. — La grande pénitence. — N’attendons pas le salut des symboles et des formules. — Il faut que le pays puisse comprendre. — Un socialisme non défini. — Le marxisme et le socialisme français. — L’organisation corporative de l’Etat. — La France doit être administrée, ravitaillée et entendue. — Nous sommes tous maîtres du destin de notre pays Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : R110079214

(1889)

‎REVUE BLEUE - REVUE POLITIQUE ET LITTERAIRE 26e ANNEE N° 12 - Souvenirs des années de début VIII par André Theuriet, Double conquête par Jeanne Mairet, Villiers de l'Isle-Adam par Henry Laujol, La politique de Danton par Albert Sorel, Montchrétien‎

‎BUREAU DES REVUES. 21 septembre 1889. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 353 à 384. Lecture en colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Souvenirs des années de début VIII par André Theuriet, Double conquête par Jeanne Mairet, Villiers de l'Isle-Adam par Henry Laujol, La politique de Danton par Albert Sorel, Montchrétien, son traité d'économie politique par Th. Funck-Brentano Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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‎THIELEN (Maximilian von).‎

Reference : 103147

(2003)

‎Souvenirs de guerre d'un vétéran autrichien sur les campagnes de 1805 à 1815. Suivis d'une Annexe sur la politique de l'Autriche de 1809 à 1814.‎

‎ La Vouivre, 2003, in-8° carré, ix-333 pp, édition établie par Roger Quentin, texte sur 2 colonnes, 2 cartes hors texte, biblio, index, broché, bon état‎


‎Ces souvenirs d’un officier autrichien appartenant à l’état-major de Schwartzenberg durant la campagne de 1814 suivent et commentent la chute de l’Empire avec rigueur et souci du détail. Jeune officier autrichien, Thielen évoque tout d’abord la vie de garnison et ses premières campagnes dans le régiment des cuirassiers du prince-royal, de 1805 à 1809. Il participe avec lui aux batailles d’Essling et de Wagram. Devenu aide de camp, il est attaché en 1813 au général Radetzky, chef d’état-major de l’armée de Bohême commandée par le prince Schwarzenberg. Sous ses ordres, Thielen analyse la stratégie de l’armée alliée et observe l’empereur Alexandre ainsi que les généraux autrichiens ou prussiens. Durant sa retraite, Thielen écrit et publie de nombreux articles sur la campagne de 1814. Il interroge Metternich sur la politique de l’Autriche sous l’Empire et correspond avec d’anciens généraux. Ses souvenirs, publiés pour la première fois en français, sont également émaillés de nombreuses lettres de Schwartzenberg, qu’il admire et défend contre les attaques des historiens prussiens et russes. ‎

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