FLAMMARION. 1950. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 207 pages.. . . . Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945
Reference : R240130160
Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945
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Paris Flammarion 1950 1 In douze broché , très bon état, 207 pp, Edition originale sur Alfa , 1/550 sur papier Alfa ( 475 )
très bon état
Editions Flammarion 1950 1950. Edouard Herriot - Episodes 1940-1944 / Flammarion 1950 Référence interne: LBA 5
Bon état
ÉPISODES 1940-1944 Edouard Herriot Bel envoi autographe de l'auteur vol broché, 180x120, bel état, 242pp. Paris, Flammarion, 1950 joint : La Gerbe et le Fagot, André Devaux, Prix Edouard Herriot 1954, Illustrations de P.Belle, vol broché, 190x140, 254pp, La solidarité par le livre, 1963 ref/133
Flammarion, 1950, in-12, 207 pp, broché, bon état
"Ces Mémoires portent sur les événements de 1940, à Bordeaux et à Vichy, puis sur l'arrestation dont la victime a gardé, on le conçoit, un amer souvenir. Il est seulement fâcheux que M. Herriot n'ait pas su conserver un jugement plus impartial sur les affaires publiques. C'est ainsi que l'armistice lui apparaît non seulement comme une manifestation anglophobe, mais comme une mesure dirigée contre le Parlement et même la République !" (Henri du Passage, Etudes, 1950) — "Jules Jeanneney et Edouard Herriot, le 10 juillet 1940, n'avaient brillé ni par leur courage, ni par leur clairvoyance. Sacrifiant à un juridisme pointilleux, les deux présidents s'étaient résolus à immoler la République sur l'autel de l'unité nationale. Sans adhérer aux principes de la révolution nationale, ils admettaient la légalité d'un régime qu'ils n'aimaient guère, sans chercher pour autant à le combattre." (Olivier Wieviorka). — Le 9 juillet 1940 au matin, Edouard Herriot prend la parole devant la Chambre des députés. Après avoir fait état du décret de convocation, il déclare ouverte la session extraordinaire et enchaîne par une brève allocution écoutée debout par les députés, sans faire mention, même d'un mot, à l'armistice. Une véritable ode au Maréchal Pétain, et aucune mise en garde sur les périls du débat qui s'ouvre... Il conclut, en appelant au rassemblement autour du maréchal Pétain. Il n'hésite pas à parler de « vénération », avant de critiquer une République devenue « trop facile ».
Paris, Flammarion, (juin) 1950. 1 vol. (130 x 195 mm) de 207 pp. et [2] ff. Broché, à toutes marges. Édition originale. Un des 200 premiers exemplaires sur papier chiffon (n° 72).