HACHETTE. 1961. In-8. Relié. Etat d'usage, Coins frottés, Coiffe en tête abîmée, Intérieur frais. Environ 14 pages cartonnées rigide augmentées de nombreuses illustrations en couleurs - coiffes abîmées.. . . . Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants
Reference : R240095488
Images de A.SEIDEN . Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
P., Seuirl (Collection Points Histoire), 1974.
Alzonde et Koradin. A Paris, Chez Cerioux, Moutardier, et Ouvrier. A Versailles chez Blaizot. An VII [1799]. 2 tomes en 1 volume (demi-basane, reliure de l’époque). 2 ff, 228, 225 p., 2 frontispices. Feuillets 115-118 du tome 2 remontés (ils proviennent d’un autre exemplaire mais ils sont exactement à la taille de l’ouvrage), des manques marginaux à une quinzaine de feuillets, reliure frottée, rousseurs (modérées), galerie de vers discrète aux derniers feuillets. Exemplaire un peu fatigué, mais « dans son jus » et, par ailleurs, d’une très grande rareté. Dans une note de l’essai « Idée sur les romans », en tête du recueil Les Crimes de l’amour (1800), Sade affirme qu’Alzonde et Koradin est (à l’instar de Valmor et Lydia) une contrefaçon partielle d’Aline et Valcour (1795) : « Il est donc aussi essentiel pour nous, dans ce moment-ci, que pour ceux qui achètent des romans, de prévenir que l’ouvrage qui se vend chez Pigoreau et Leroux sous le titre de Valmor et Lydia, et chez Cérioux et Moutardier, sous celui d’Alzonde et Koradin, ne sont absolument que la même chose, et tous les deux littéralement pillés phrase pour phrase de l’épisode de Sainville et Léonore, formant à peu près trois volumes de mon roman d’Aline et Valcourt (sic) » Toutefois, il est possible qu’Alzonde et Koradin ait un statut tout autre que celui de Valmor et Lydia. Comme l’écrit en effet Michel Delon, « il n’est pas exclu que ce second roman soit un plagiat de plagiat par lequel Sade tente de battre le contrefacteur avec ses propres armes et de s’assurer un bénéfice, à un moment économiquement difficile. L’opération serait conforme à son goût du jeu sur les identités. » (Sade, un athée en amour, p. 280) Michel Delon fait en effet remarquer qu’Alzonde et Koradin est publié chez Blaizot, l’éditeur versaillais de la pièce de Sade, Oxtiern ou les malheurs du libertinage (1800) et que Léonore est rebaptisée Alzonde, anagramme du prénom provençal de Sade. Il indique également que les deux romans « se contentent de changer les noms des personnages, de supprimer les dissertations politiques de l’histoire de Sainville et d’édulcorer quelques passages trop osés. Ils découpent la narration en chapitres […] ajoutent de nouveaux frontispices. Valmor et Lydia rompt la symétrie entre les récits des deux amants [par sa répartition en trois volumes]. En deux volumes, Alzonde et Koradin rétablit la symétrie entre les amants. » Complétons quant à nous ces informations en faisant remarquer que Sade ne cite pas Blaizot dans sa note. En tout état de cause, il est certain que s’il l’avait fait, on aurait pu s’étonner de le voir publier Oxtiern chez l’éditeur qu’il accusait d’avoir contrefait son roman l’année précédente. Enfin, comme le souligne Blandine Poirier, Léonore [Alzonde, donc], « l’une des plus fortes incarnations de la liberté », personnage bien plus proche de Juliette que de sa sœur Justine ou encore d’Aline, pourrait bien être la véritable héroïne d’Aline et Valcour, celle qui incarne le mieux la pensée de Sade.* La rareté constatée de cette édition fait écho à son absence dans les catalogues de grandes collections, dans lesquels on trouve pourtant des éditions de Sade autres que les originales : Jean Bonna (Six siècles de littérature française), Gérard Nordmann (2 ventes), Tony Fekete, Les choix de Pierre Leroy, Roger Peyrefitte, K. L. Leonhardt, Michel Simon (Bibliothèque secrète d’un amateur connu), Jean-Pierre Faur et Emmanuel Pierrat (7 décembre 2007). Pia signale un exemplaire dans le catalogue Bonnel de 1932 (N° 195, « Dos de basane verte, ornés, tranches jaspées ; reliure ancienne »). Un autre dans Sade, un athée en amour, mais il n’est pas en mains privées (c’est celui de la bibliothèque du château d’Oron). N° 178 des Fatidiques (Librairie Pierre Saunier ; 2002) : il s’agit du seul autre exemplaire complet que nous connaissions qui soit passé dans le commerce (voir à ce sujet notre site : https://livres-rares-imaginaires.com/ ). * « Léonore, personnage central d’Aline et Valcour ? » (https://doi.org/10.4000/itineraires.664)
A Paris, Librairie Hachette & Cie, 1874.
In-folio relié (350x260mm), chagriné bleu, titre doré au dos, plaque de Souze, décor doré au dos et sur les plats, toutes tranches dorées. 799 pages. Tables in fine. Jean-Charles Davillier (1823-1883) fut sans doute l'un des premiers érudits français à s'intéresser à l'art espagnol, notamment à la sculpture sur bois et aux arts décoratifs. Si Davillier est un familier, dès les années 1850 des différentes contrées hispaniques, ce n'est qu'en 1862 en compagnie de Gustave Doré (1832-1883) qu'il décide un nouveau voyage afin de réaliser un inventaire des monuments et coutumes. Le voyage débute par les cités de la côte méditerranéenne (Figueras, Gerona, Barcelone), son inlassable curiosité l'emmène dans les faubourgs madrilaines jusqu'à la pointe de la péninsule ibérique Malaga, Grenade, Cordoue s'attachant aux danses (los Panaderos, la Jota), à la tauromachie, aux détails architecturaux des mosquées (de Cordoue) et des aqueducs (Mérida) enfin aux ''petits métiers''. Coins élimés, auréole en bas de page (120 premiers feuillets), des rousseurs (premiers et derniers feuillets).
[Chez Potier, Au Bureau de l'Auteur, Et chez les Principaux libraires de l'Europe, De la Fonderie et Imprimerie de Gillé Fils] - TERNISIEN D'HAUDRICOURT
Reference : 69627
(1804)
1 vol. in-4 reliure lég. postérieure demi-cuir à coins brun, dos à 5 nerfs On souscrit pour cet ouvrage, A Paris, Chez Potier, Au Bureau de l'Auteur, Et chez les Principaux libraires de l'Europe, De la Fonderie et Imprimerie de Gillé Fils, Paris, An XII, 1804, 4 ff. (Frontispice : Napoléon le Grand, titre gravé, titre, planche : Hommage), 1 f., 3 pp., 2 ff., 20 ff. (Lettres des Souverains, Princes, Ministres, etc...), 10 pp., 116 pl., 2 ff.
Edition originale du tome premier, bien complet des 118 belles planches. Etat moyen (reliure abîmée avec manque en dos et fente en mors, corps de l'ouvrage bien solide et en bon état par ailleurs). Prix en l'état. "Malgré ce que porte son titre, cet ouvrage a principalement trait aux guerres qui ont suivi la Révolution de 1789 , et aux Campagne de Napoléon" (Brunet, V, 726)
1 numéro in-4 br., Félix Juven, Paris, s.d. [ 1904 ]
Le numéro est bien complet de la planche à découper, intacte, représentant la Forteresse de Port-Arthur. Bon état.