EDITIONS DE LA SOCIETE D'ETUDES ARDENNAISES. 1969. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 178 pages - ouvrage recouvert d'un plastique transparent - quelques planches en noir et blanc en fin d'ouvrage - envoi de l'auteur sur la page de garde - 2 photos disponibles.. . . . Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
Reference : R240084491
Les cahiers d'études ardennaises n°7. Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
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Charleville-Mézières, Société d'Etudes Ardennaises, 1969, in-8 br. (16 x 22,5), 178 p., coll. "Les Cahiers d'Etudes Ardennaises, 17", 12 planches photos in-fine, envoi de l'auteur, très bon état.
"On rencontre le nom de Nozon-de-les-Braux pour la première fois dans une charte datée de 1234. Nouzonville porte alors l'appellation de l'abbaye qui règne sur la région. Ce petit village de pêcheurs restera longtemps modeste. C'est l'apparition de l'industrie du fer qui en fera un bourg industriel dont la renommée s'étendra au-delà des frontières. En 1468, pour échapper à Charles le Téméraire, Thomé, cloutier de son état, s'installe avec d'autres Liégeois près de la rive. Il choisit la Goutelle pour ses forges à clous. En 1490, une vingtaine de feux de forge s'allument tous les jours. Au XVIe siècle, des calamités en tous genres s'abattent sur le bourg: épidémies (typhus et peste), gelées mortelles, crimes des tueurs de Charles Quint. Antoine de Louvain met la région à feu et à sang : Nouzon est alors entièrement brûlé et la moitié de ses habitants sont massacrés. Un siècle plus tard, on fabrique des ferrures de charronnage et bâtiment. Citons les noms de précurseurs et d'inventeurs : Nicolas Dewé, Jehan Malicet... En 1680, trente forgerons, ajusteurs ou ferronniers, travaillent pour le sieur Victor Foumier. Le XIXe siècle sera témoin de grèves d'une extrême gravité dont Jean-Baptiste Clément aura été l'ardent propagandiste. En 1910, l'industrie nouzonnaise emploie plus de 3 000 ouvriers et trente-cinq artisans forgerons œuvrent encore à façon. La Première Guerre mondiale ralentira l'activité et le développement de la ville. En 1934, Nouzonville est exsangue. Le second conflit mondial n'arrangera rien. Beaucoup d'habitants s'exileront dans les Deux-Sèvres. Théophile Malicet évoque avec une grande précision l'histoire de cette commune qui le vit naître. Ce passionnant récit remet en mémoire le combat de tous ceux qui ont « lutté et peiné pour conserver à Nouzonville un peu du renom qu'elle a conquis jadis. Voir le sommaire sur photos jointes".
SOCIETE D'ETUDES ARDENANAISES CHARLEVILLE MEZIERES. 1969. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 178 pages - envoi de l'auteur sur la page de garde - 2 photos disponibles - quelques planches en noir et blanc en fin d'ouvrage.. . . . Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi
Collection les cahiers d'études ardennaises n°7. Classification Dewey : 97.2-Dédicace, envoi