OZANNE ET CIE. 1948. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 220 pages - ouvrage recouvert d'un plastique transparent - 1er plat illustré en couleurs - ouvrage orné de 15 hors textes d'après des documents anciens.. . . . Classification Dewey : 908.44242-Régionalisme : Basse-Normandie
Reference : R240082559
Couverture de Mlle Marguerite Marie le Boeuf. Classification Dewey : 908.44242-Régionalisme : Basse-Normandie
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Imprimerie de la Vicomté, Rouen 1926. In-8 broché, 167 pages, illustré de photographies, gravures, ornements typographiques, bon état. Envoi autographe de l'auteur (dédicace).
Lisieux, Typographie E. Piel, 1873 2 volumes in-4, [4]-11-[3]-DCLIII pp. et [4]-XXXI-415 pp., avec deux tirages photographiques d'époque contrecollés sur papier fort (portrait-frontispice de l'auteur, la cathédrale de Lisieux), et une carte dépliante en couleurs, toile grise, étiquettes de titre manuscrite (reliure moderne).
Edition originale, peu courante, de l'une des dernières monographies de Henri de Formeville (1798-1879), natif de Lisieux, même s'il fit toute sa carrière de magistrat à Caen.Oursel I, 370. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Lisieux, Émile Morière, 1899. 502 x 663 mm.
Grand plan de la ville de Lisieux lithographié en couleurs. Le plan a été dressé d'après le cadastre et d'après les plans réalisés lors de l'annexion à la ville de Lisieux de quartiers appartenant aux communes limitrophes de Saint-Jacques et de Saint-Désir, annexion décidée par décret du Conseil d'État le 24 mars 1875. Le plan montre en orangé la ville de Lisieux avant l'annexion, en vert les quartiers annexés. Saint-Jacques fut dépossédée de 129 hectares, Saint-Désir en perdit 38. Dans le même temps, la superficie de Lisieux fut triplée. Le plan est accompagné de 37 légendes numérotées permettant de situer rapidement les monuments et établissements publics, ainsi que l'usine à gaz et station d'électricité. Bon exemplaire. Quelques traces de pliures. Site de la ville de Saint-Désir, Brochure n° 2. Les limites de notre commune.
Lisieux, Imprimerie de F. B. Mistral, Paris, Barbou, s.d. (1788) in-4, [2] ff. n. ch., lxxv pp., 331 pp., [4] ff. n. ch., avec 5 tableaux dépliants hors texte (2 réparés), déchirure au f. 45-46, sans perte de lettre ; en début de volume ont été placées les pp. 37-52 d'un autre texte relatif à l'assemblée de la généralité d'Alençon en août 1787 (édition d'Alençon, Malassis), broché sous couverture factice postérieure de papier bleu.
La généralité d’Alençon, qui prit le nom de Moyenne-Normandie, comprenait le département actuel de l’Orne et une partie de l’Eure et du Calvados. Elle se divisait en neuf élections, qui formèrent ensuite sept arrondissements, Alençon, Bernay, Lisieux, Conches, Verneuil, Domfront, Falaise, Argentan et Mortagne. L’assemblée provinciale fut convoquée à Alençon, chef-lieu de la généralité, pour la session préliminaire d’août; mais elle exprima le vœu de se réunir à l’avenir à Lisieux, et la session de novembre s’y tint en effet. Le président de l’assemblée, M. de La Ferronnays, évêque-comte de Lisieux, fut sans doute pour beaucoup dans ce changement, qui devait faire de sa ville épiscopale le chef-lieu de la province. Lisieux avait, outre son évêché, de véritables titres à cette préférence; située au milieu de la partie la plus riche et la plus peuplée de la généralité, cette ville était en communication facile avec Paris, Rouen et Caen, tandis qu’Alençon, occupant le sommet d’une sorte de triangle, se trouvait loin de tout le reste. Le maire d’Alençon, M. Pottier du Fougeray, défendit les droits de sa ville, mais il ne put changer le vote.Frère II, 422. Exemplaire de la municipalité de Maison-Maugis (Orne), avec ex-libris manuscrit.
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Lisieux, Imprimerie de F.-B. Mistral, Paris, Barbou, s.d. in-4, [2] ff. n. ch., lxxiv pp., [333] pp. mal chiffrées 331, [4] ff. n. ch. de composition des bureaux, avec 5 tableaux dépliants hors texte, dont 3 "in fine", broché sous couverture d'attente de papier gris, étiquette de titre au dos. Manques de papier au dos, mouillures claires en fin de volume.
La généralité d’Alençon, qui prit le nom de Moyenne-Normandie, comprenait le département actuel de l’Orne et une partie de l’Eure et du Calvados. Elle se divisait en neuf élections, qui formèrent ensuite sept arrondissements, Alençon, Bernay, Lisieux, Conches, Verneuil, Domfront, Falaise, Argentan et Mortagne. L’assemblée provinciale fut convoquée à Alençon, chef-lieu de la généralité, pour la session préliminaire d’août; mais elle exprima le vœu de se réunir à l’avenir à Lisieux, et la session de novembre s’y tint en effet. Le président de l’assemblée, M. de La Ferronnays, évêque-comte de Lisieux, fut sans doute pour beaucoup dans ce changement, qui devait faire de sa ville épiscopale le chef-lieu de la province. Lisieux avait, outre son évêché, de véritables titres à cette préférence; située au milieu de la partie la plus riche et la plus peuplée de la généralité, cette ville était en communication facile avec Paris, Rouen et Caen, tandis qu’Alençon, occupant le sommet d’une sorte de triangle, se trouvait loin de tout le reste. Le maire d’Alençon, M. Pottier du Fougeray, défendit les droits de sa ville, mais il ne put changer le vote.Frère II, 422. Envoi autographe au verso de la première couverture : "Pour Mr de Bonvoust, major d'artillerie, de la part de MM. les députés du bureau intermédiaire de Mortagne". Il s'agit de Charles de Bonvoust (1737-1811), né précisément à Mortagne-au-Perche et entré en service comme volontaire dans l'artillerie, le 1er mai 1753. En 1757, il intégra l'École d'artillerie de La Fère, puis celle de Strasbourg en 1758, et termina sa carrière comme général de brigade. Son frère cadet, l'abbé de Bonvoust, doyen de l'église collégiale de Mortagne, était président de ce bureau intermédiaire, ce qui explique notre envoi.
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