FRANCE LOISIRS / GRASSET ET FASQUELLE. 1994. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 362 PAGES.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : R240028930
ISBN : 2724278194
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1867 | 6.20 x 9.70 cm | une photographie
Photographie originale sur papier albuminé représentant Sissi, au format carte de visite, contrecollée sur un carton. La photographie est vierge d'indication éditoriale. Rare photographie en médaillon figurant Sissi à l'âge de 30 ans. Elle se présente dans une pose étudiée, le buste de profil et le visage tournée de 3/4 vers celui qui regarde la photo. On sait que Sisssi appréciait particulièrement les diamants en forme d'étoiles, elle se montre ici avec un diadème à étoiles dans sa chevelure et un ruban à étoiles autour du cou, donnant d'elle une image conforme à son désir. Les cheveux auburn et les yeux marrons, sa mère lui dira qu'elle n'est pas belle, au sens où elle ne respecte pas les canons de beauté de l'époque, n'étant ni blonde, ni brune. Sa beauté sera pourtant universellement célébrée. Sa robe fleurie laisse supposer qu'elle pose ici dans la tenue de mariage qu'elle porta lors de sa célébration avec l'empereur François-Joseph, le thème qu'elle avait elle-même donnée était fleurs et diamants. Cette photographie, très certainement retouchée, illustre le contrôle de l'image et représente une impératrice parfaite figée pour l'éternité. Cette séance de pose photographique fut faite en même temps que le portrait en peinture qui se trouve au musée Sissi de Vienne, exactement semblable, mais la photographie au format carte de visite était certes destinée à d'autres usages que la peinture unique. Il fut faire plus tard des cartes postales à partir du négatif. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Les exemplaires en maroquin sont particulièrement rares puisque RBH, ABPC et le fichier Berès ne recensent en maroquin que l'exemplaire Jacques Bemberg. Paris, Guillaume Desprez, 1756. In-folio de (2) ff., 1 frontispice gravé, xii pp., 103 pp., 107 planches gravées dont 31 sur double page. Maroquin rouge, triple filet doré autour des plats, fleurs de lys dorées aux angles, grandes armoiries impériales russe au centre, dos à nerfs orné de six grandes fleurs de lys, filets or sur les coupes, roulette intérieure dorée, tranches dorées, doublures et gardes de moire bleue. Reliure parisienne de l’époque. 420 x 280 mm.
L’exemplaire offert par le roi Louis XV à l’Impératrice de Russie Élisabeth 1ère (1741‑1762). Titre imprimé en rouge et noir, fleurons, vignettes, culs-de-lampe et lettres ornées, gravés par Cochin. Illustration : frontispice avec un portrait de Louis XIV d'après Cazes gravé par Cochin et 107 planches dont 31 imprimées à double page. Elles sont gravées par Cochin, Lucas et Hérissent et d'autres d'après les dessins de Mansart, Pierre Dulin, Robert de Cotte, Maler, Charles de La Fosse, B. Boulogne, Louis de Boullongne, Jean Jouvenet, Nicolas Coypel et divers autres artistes. En 1670, Louis XIV désigna Louvois (1641-1691), Secrétaire d'État à la Guerre depuis 1656, pour la mise à exécution de l'un de ses plus grands projets : la construction d'un hôpital destiné aux blessés de guerre. Le Roi réconcilierait ainsi d'un même geste la France, le peuple démuni des très nombreux blessés et l'armée, ouvrant ainsi la voie à des projets de conquêtes grandioses par un État-nation unifié. Louvois avait réorganisé les armées et les contrôlait d'une main de fer. L'architecte en chef du projet, Libéral Bruant (1635-1697), choisi par Louis XIV et Colbert parmi huit projets, propose pour l'Hôtel des Invalides un plan quadrillé sur le modèle de l'Escurial, motif sur lequel il avait déjà travaillé au cours d'un autre chantier : l'hôpital de la Salpêtrière. Les vocations de ces deux institutions se rejoignent. Elles doivent offrir la charité aux délaissés, supprimer la mendicité et masquer les soldats mutilés de la funeste Guerre de Trente ans que l'on voyait traîner dans Paris. Tandis que le cardinal Mazarin avait souhaité réunir les misérables à la Salpêtrière, les vétérans, auparavant livrés à leur propre sort, seront dorénavant nourris et logés aux Invalides. Depuis l'entrée principale située au nord, on accède à la cour royale. Les bâtiments qui encadrent cette grande place abritent au rez-de-chaussée les réfectoires, tandis qu'au troisième on trouve les manufactures et les ateliers occupent les pensionnaires : une cordonnerie, une tapisserie, mais aussi un atelier de calligraphie et d'enluminure qui se rendra célèbre bientôt. L'ordre s'imposait : tous les invalides devaient participer à la vie de l'institution. Les chambres des soldats, des officiers et des moines étaient réparties dans différents bâtiments. Les plus faibles trouvaient quelques soins et repos dans les infirmeries placées à l'est de la chapelle royale et organisées selon un plan en croix. Des jardins sont plantés de l'autre côté, à l'ouest. Symboliquement, l'église des soldats et la chapelle royale se situent au centre de la composition. Dès 1674, ce gigantesque ensemble occupe, sur la plaine de Grenelle, une superficie de plus de treize hectares. Il comprend une caserne, un couvent, un hôpital, une manufacture, un hospice, une église, une chapelle, et même une boulangerie. À la fin du XVIIe siècle, environ quatre mille personnes vivent à l'hôtel des Invalides. La mort de Colbert permet à Louvois d'écarter le Libéral Bruant et de confier le chantier à son protégé Jules Hardouin-Mansart. Il crée la célèbre chapelle royale et son dôme fameux. Elle forme l'un des édifices les plus complexes et le plus richement décoré du XVIIe siècle français, qui abrite aujourd'hui le tombeau de Napoléon. À l'origine réservée à l'usage exclusif de la famille royale, elle communiquait avec l'église des soldats au nord par le chœur où les offices étaient célébrés. Louis XIV ordonne un programme décoratif tout entier tourné vers la gloire de la nation, de l'armée, de l'Église catholique et de lui-même. L'entrée nord, par exemple, est traitée comme un arc de triomphe, où l'on retrouve en haut la figure du Roi Soleil et Louis XIV prenant les traits d'un empereur sur sa monture. Le plan de la chapelle est centré : une croix grecque s'inscrit dans un carré presque parfait. Tous ces éléments attirent le regard vers le haut pour admirer la coupole - ou dôme - qui coiffe la croisée (point de convergence des travées). Il s'agissait de la plus haute construction de Paris avant l'érection de la tour Eiffel en 1889. Au soir de sa vie, Louis XIV écrit dans son testament que l'hôtel des Invalides est l'œuvre la plus utile de son règne. Il est fier d'avoir réuni, sous un même toit, charité, assistance, gloire des armées et de la Nation : «Entre différents établissements que nous avons faits dans le cours de notre règne, il n'y en a point qui soit plus utile que celui de notre Hôtel royal des Invalides». Les Invalides furent loués dans tout le pays, et même au-delà. Le tsar Pierre le Grand ne manque pas de visiter l'ensemble en 1717 et s'attarde même à table avec les soldats. L'Europe entière construisit des ensembles similaires comme à Chelsea en 1682 (commandité par Charles II), à Pest en 1724, à Vienne en 1727, à Prague en 1728, à Berlin en 1748, à Ulriksdal en 1822, à Runa en 1827, ou encore à Madrid en 1837. L'immense programme décoratif des Invalides ne fut terminé qu'au milieu du XVIIIe siècle. L'hôpital et son église furent en effet ornés de peintures et de sculptures exécutées par les plus grands artistes du temps. C'est cette splendeur d'art que le talentueux graveur Cochin a voulu ici restituer. Gabriel-Louis Calabre Pérau (1700-1767) achève en effet avec sa Description historique de l'hôtel royal des Invalides (1756) les travaux d'édition effectués auparavant par Le Jeune de Boulencourt (Description générale de l'Hostel Royal des Invalides, 1683), Jean-François Félibien des Arvaux (Description de la nouvelle église de l'hostel royal des Invalides, 1706) et Jean-Joseph Granet (Histoire de l'hôtel royal des Invalides, 1736). Pérau écrit dans son Avant-propos : «On avait la vérité historique de l'établissement, la description et les plans tant généraux que particuliers. Mais lorsque la Peinture et la Sculpture eurent orné l'église du dôme de toutes leurs richesses, les amateurs parurent souhaiter que par le secours de la Gravure, on mit les Curieux en état de parcourir & d'examiner dans le silence du cabinet les différents chefs-d'œuvres que les Arts réunis ont répandu de toutes parts dans ce somptueux Monument». Les exemplaires en maroquin sont particulièrement rares puisque RBH, ABPC et le fichier Berès ne recensent en maroquin que l'exemplaire Jacques Bemberg. Le célèbre exemplaire offert par le roi Louis XV à Élisabeth 1ère Impératrice de Russie qui fait entreprendre la construction du palais d'Hiver et du couvent Smolny dans la capitale, qui comptait à l'époque 75 000 habitants et réaménage Peterhof et Tsarskoïé Selo. C'est le fameux style Élisabeth, magnifique et baroque, qui allait donner son empreinte à cette époque brillante. Les bals de la Cour sont renommés dans toute l'Europe. Son règne marque aussi le début de la francophilie et de l'usage de la langue française dans la noblesse qui allait durer jusqu'à la révolution de 1917. Le premier théâtre russe est fondé, beaucoup de pièces traduites du français sont jouées, comme celles de Molière. L’impératrice fait venir de Paris la compagnie dramatique de Charles Sérigny en 1742. Les acteurs français recevaient un contrat de deux à cinq ans. La compagnie demeura seize ans à Saint-Pétersbourg, tandis que d’autres s'installaient. Ce flot ininterrompu durera jusqu'en 1918, notamment au théâtre Michel. Élisabeth donne aussi l'impulsion au renouveau de la musique d'Église, mais pour le reste, il s'agit d'une culture massivement importée dont la greffe demandera encore du temps. L'image de la cour est brillante et francisée, mais il s'agit parfois d'une façade, car les courtisans - comme dans d'autres cours - ne sont pas tous cultivés et préfèrent rivaliser par le luxe de leurs dépenses. Certains possèdent leurs propres troupes de théâtre et leurs orchestres de chambre. D'autres possèdent des bibliothèques immenses et se font construire des palais néoclassiques par des architectes italiens. Les dames de la cour s'habillent comme à Versailles. Bibliographie: Katalog der Ornamentstichsammlung 2513; Millard I 385-387; Cohen de Ricci 788 (fausse collation).
L’édition est ornée d'un frontispice gravé en taille-douce par Dieudonné Bassompierre et d'une vignette aux armes de la reine Marie-Antoinette. Paris, Liège, Anne-Catherine Bassompierre, 1778. 5 volumes in-8. Collationné complet. Demi-maroquin rouge à coins, dos lisses ornés en long de roulettes dorées, chiffre couronné en tête, tranches vertes. Reliure de l’époque. 177 x 105 mm.
L’un des modèles des Liaisons dangereusesrelié à l’époque au chiffre de Maria Féodorovna (1759-1828), grande duchesse, puis Impératrice de Russie. «L’abbé Gérard (1737-1813) a transposé dans la société aristocratique et catholique française les problèmes de psychologie et de morale familiales qui faisaient la matière des romans de Richardson et de Rousseau ; il y a ajouté les problèmes de la vie publique » (H. Coulet, Le Roman jusqu’à la Révolution). Le Comte de Valmont, œuvre du Chanoine Gérard (1737-1813), connut un immense succès. Les égarements personnels dans lesquels était tombé l’auteur avant de devenir prêtre paraissent lui avoir donné l’idée de cet excellent ouvrage qu’il publia d’abord en 3 volumes in-12, et qui aujourd’hui en a 5. Le Comte de Valmont a eu plus de quinze éditions. L’auteur «y montre dans une fiction les écarts d’un jeune homme entraîné par ses passions et par des sociétés pernicieuses, et y établit les preuves qui ramènent tôt ou tard à la religion un esprit droit et un cœur vertueux ». «Au royaume de la littérature en prose de l’époque c’est l’abbé Philippe-Louis Gérard qui réconciliait le mieux le monde du devoir et celui du plaisir. Le bon abbé écrivit un roman épistolaire qui allait être réédité à plusieurs reprises jusqu’à la fin du siècle. Le titre même de l’ouvrage, «Le Comte de Valmont, ou les égarements de la raison», évoquait celui du roman scandaleusement grivois de Crébillon, «Les Egarements du cœur et de l’esprit»; et nous voyons rétrospectivement que Valmont, le héros du roman, préfigurait par son nom et son caractère, le protagoniste essentiel du chef-d’œuvre de Laclos. Le roman de l’abbé nous raconte la rédemption d’un aristocrate roué. Celui-ci a retrouvé la foi en la seule vraie religion grâce à une épouse dont la vertu est indiscutable. Ce roman émoustilla les lecteurs de Gérard grâce à une série de longues notes figurant au bas des lettres. Elles s’intitulent «notes sur l’adultère», «sur tout engagement irrégulier», «notes sur les lieux de débauche», «sur le jeu» … en même temps, l’abbé avait inséré d’édifiants passages sur «l’amour de Dieu», «les devoirs des pères de famille» et «la dignité de l’homme» » (Otis Fellows). Philippe-Louis Gérard fit ses études au collège Louis le Grand sous les jésuites. «Après 1789 l’abbé Gérard fut témoin des excès de la révolution, et eut sa part des persécutions de ces temps troublés; il resta longtemps en prison. Rendu à la liberté, il alla passer dans la retraite le reste de sa vie, occupé de la culture des lettres ». L’édition est ornée d'un frontispice gravé en taille-douce par Dieudonné Bassompierre et d'une vignette aux armes de la reine Marie-Antoinette. Très bel exemplaire au chiffre de Maria Feodorovna (1759-1828), grande-duchesse puis Impératrice de Russie. Née princesse Dorothée-Sophie-Augusta de Wurtemberg, nièce de Frédéric le Grand, elle épousa en octobre 1776 Paul, fils de la grande Catherine. Il monta sur le trône à la mort de sa mère, le 17 novembre 1796. Sa haine de la Révolution française fut telle qu’il interdit l’importation de tout livre français.
Goupil & Cie | Paris 1902 | 24 x 32 cm | relié
Edition originale tirée à 1000 exemplaires sur papier de rives. N°870. Un frontispice rehaussé en couleurs et 51 illustrations imprimées en sépia et diverses teintes, d'une superbe exécution. Reliure de l'éditeur de luxe en plein maroquin à grains longs vert olive signée Durvand en bas du plat supérieur. Dos lisserichement ornés de 2 caissons à la grotesque et du monogramme de l'impératrice, et de diverses roulettes. Plats frappés des armes de l'impératrice au centre, d'une lrage frise d'encadrement avec feuillages dans les écoinçons. Frise intérieure composée de motifs Empire. Tranches dorées. Dos éclairci uniformément. Traces de frottement. Etroite fente du cuir le long du mors supérieur après la coiffe, sur plusieurs cm. Ensemble frais mais quelques rousseurs éparses, notamment sur les premiers feuillets. Très bel exemplaire dans sa rare reliure d'éditeur - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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[L'Impératrice MARIE-LOUISE] - BOURGOING (Baron de), publiés par.-
Reference : 53342
(1938)
1938 P., Calmann-Lévy (Nouvelle Collection Historique), 1938, petit in 8° broché, VIII-230 pages ; illustrations ; couvetrure fanée.
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