EDITIONS L'ECOLE DES LOISIRS. 1993. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Coiffe en tête abîmée, Intérieur frais. 154 pages. . . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : R240006397
ISBN : 2211032133
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
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BUREAU DU JOURNAL. 18 SEPTEMBRE 1936. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 20 pages. Nombreuses photographies monochromes dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Voici voila par Florent Fels, Vitesse par Claude Blanchar, Une grande enquête sur les marchands de kilomètres par Pierre Hamp, Le cadavre aux joues roses par Geo London, Les secrets de mes girls par Earl Carroll, J'ai pêché par Michèle Miéris Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Paris, chez Emile-Paul Frères, 1919. Un vol. in-8 (223 x 143 mm) de 257 pp., broché.
Edition originale. Tirage unique à 445 exemplaires numérotés. Celui-ci, un des 425 du tirage sur vélin ambré de Moirans. La pièce valut à son auteur d'être révélé aux grand public. Allégorique, La Jeune Fille aux Joues roses, représentée au théâtre Sarah-Bernhardt en mars 1919, est aussi un conte de fée, symbolisant la lutte entre l’Amour qui délivre, qui crée, et qui est proprement la Vie, le divin, et le culte de la «Méthode» froide où se fige la pensée, de la «Forme» rigide, représenté par ses fidèles adeptes, «les faces grises», et qui n’est autre chose que la Mort. (Gérard Walch in Les Poètes nouveaux). Quelques discrètes piqûres affectant le premier plat. Du reste, très belle condition.
18e année - N° 256 - 14 juillet 1950 - nouvelle série - revue illustrée - broché
bon état
Lucien Vogel éditeur | Paris 1921 | 18 x 24 cm | une feuille
Estampe originale en couleur, tirée sur papier vergé, signée en bas à droite de la planche. Gravure originaleréalisée pour l'illustration deLa Gazette du bon ton, l'une des plus belles et des plus influentes revues de mode du XXème siècle, célébrant le talent des créateurs et des artistes français en plein essor de l'art déco. Célèbre revue de mode fondée en 1912 par Lucien Vogel, La Gazette du bon ton a paru jusqu'en 1925 avec une interruption durant la Guerre de 1915 à 1920, pour cause de mobilisation de son rédacteur en chef. Elle se constitue de 69 livraisons tirées à seulement 2000 exemplaires et est illustrée notamment de 573 planches en couleurs et de 148 croquis représentant des modèles de grands couturiers. Dès leur parution, ces luxueuses publications «s'adressent aux bibliophiles et aux mondains esthètes» (Françoise Tétart-Vittu «La Gazette du bon ton» in Dictionnaire de la mode, 2016). Imprimées sur beau papier vergé, elles utilisent une police typographique spécialement créée pour la revue par Georges Peignot, le caractère Cochin, repris en 1946 par Christian Dior. Les estampes sont réalisées grâce à la technique du pochoir métallique, rehaussées en couleurs et pour certaines soulignées à l'or ou au palladium. L'aventure commence en 1912 lorsque Lucien Vogel, homme du monde et de la mode - il a déjà participé à la revue Femina - décide de fonder avec sa femme Cosette de Brunhoff (sur de Jean, le père de Babar) la Gazette du bon ton dont le sous-titre est alors «Art, modes et frivolités». Georges Charensol rapporte les propos du rédacteur en chef: «En 1910, observe-t-il, il n'existait aucun journal de mode véritablement artistique et représentatif de l'esprit de son époque. Je songeais donc à faire un magazine de luxe avec des artistes véritablement modernes [...] J'étais certain du succès car pour la mode aucun pays ne peut rivaliser avec la France.» («Un grand éditeur d'art. Lucien Vogel» in Les Nouvelles littéraires, n°133, mai 1925). Le succès de la revue est immédiat, non seulement en France, mais aussi aux Etats-Unis et en Amérique du Sud. À l'origine, Vogel réunit donc un groupe de sept artistes: André-Édouard Marty et Pierre Brissaud, suivis de Georges Lepape et Dammicourt ; et enfin ses amis de l'École des beaux-arts que sont George Barbier, Bernard Boutet de Monvel, ou Charles Martin. D'autres talents viennent rapidement rejoindre l'équipée: Guy Arnoux, Léon Bakst, Benito, Boutet de Monvel, Umberto Brunelleschi, Chas Laborde, Jean-Gabriel Domergue, Raoul Dufy, Édouard Halouze, Alexandre Iacovleff, Jean Émile Laboureur, Charles Loupot, Charles Martin, Maggie Salcedo. Ces artistes, inconnus pour la plupart lorsque Lucien Vogel fait appel à eux, deviendront par la suite des figures artistiques emblématiques et recherchées. Ce sont ces mêmes illustrateurs qui réalisent les dessins des publicités de la Gazette. Les planches mettent en lumière et subliment les robes de sept créateurs de l'époque : Lanvin, Doeuillet, Paquin, Poiret, Worth, Vionnet et Doucet. Les couturiers fournissent pour chaque numéro des modèles exclusifs. Néanmoins, certaines des illustrations ne figurent aucun modèle réel, mais seulement l'idée que l'illustrateur se fait de la mode du jour. La Gazette du bon ton est une étape décisive dans l'histoire de la mode. Alliant l'exigence esthétique et l'unité plastique, elle réunit pour la première fois les grands talents du monde des arts, des lettres et de la mode et impose, par cette alchimie, une toute nouvelle image de la femme, élancée, indépendante et audacieuse, également portée par la nouvelle génération de couturiers Coco Chanel, Jean Patou, Marcel Rochas... Reprise en 1920 par Condé Montrose Nast, la Gazette du bon ton inspirera largement la nouvelle composition et les choix esthétiques du « petit journal mourant » que Nast avait racheté quelques années auparavant : le magazine Vogue. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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