E. DENTU & CIE EDITEURS. 1887. In-12. Relié demi-cuir. Etat passable, Couv. légèrement passée, Dos abîmé, Mouillures. 451 pages. Dos cuir vert avec auteur, titre, fleuron doré. Epidermures. Coiffes en tête et en pied abîmée. Manque un peu le revêtements sur les plats de couverture. Marque de tampon sur la page de titre.. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Reference : R240001411
Union Club Bordelais. Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
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Apud Federicum Morellum, in uico Bellouaco, ad vrbanam Morum | Parisiis 1558 | 16 x 22.7 cm | Relié
Rare édition originale, dont il nexiste aucune réimpression avant le xxe siècle, complète de toutes ses poésies néo-latines, écrites pour lessentiel à Rome. On trouve aussi deux poèmes en grec aux ff. 60 et 62, ainsi quun poème à lorigine du célèbre sonnet Heureux qui comme Ulysse. Reliure moderne en plein vélin souple, dos lisse, tranches rouges, contreplats et gardes blanches. Quelques défauts à lintérieur de louvrage?: discrète restauration en marge intérieure du verso de la page de titre?; petite déchirure sans manque en pied des ff. 2 et 3?; trace dhumidité en marge inférieure des ff. 25 à 28, et 45 à 48?; infime accident marginal au f. 44, sans atteinte au texte. Publié au mois de mars 1558, ce précieux exemplaire réunit quatre livres de poèmes latins Elegiæ. Varia Epigrammata. Amores Faustinae. Tumuli composés par Du Bellay à Rome et à Paris entre 1553 et 1557. Notre recueil, également référencés sous les noms de Poemata et uvres latines, fut imprimé la même année que trois autres ouvrages de la période romaine?: Les Regrets, Divers Jeux Rustiques et Les Antiquitez de Rome. * «Je parvins enfin à avoir les Poemata, recueil composé en latin durant la période romaine de Joachim du Bellay. Sa lecture fut une révélation, bouleversant ma compréhension de luvre. » (Éric Crubézy, Le Cavalier de Notre-Dame) Dans son manifeste de 1549, «?langevin?» écrivait contre les «?reblanchisseurs de murailles?» et leur poésie néo-latine. Pourtant, quatre années plus tard, dans la ville éternelle, lauteur fut à son tour bilingue. À la différence des autres recueils dits «?romains?», Les Regrets, Les Antiquitez de Rome et Divers Jeux Rustiques, tous écrits en langue vernaculaire, les Poemata furent entièrement rédigés en langue universelle, le latin. On trouve dans la pièce Ad lectorem (f. 16), quelques vers dans lesquels Du Bellay tente de justifier sa légère contradiction intellectuelle. Il utilise pour sa défense une image parlante?: «?Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito?: Pro Domina colitur Musa Latina mihi.?» [La Muse française est pour moi, je lavoue, ce quune épouse est pour son mari. Et cest comme une maîtresse que je courtise la Muse latine.] Une autre muse accompagnait également le poète pendant son exil romain?: Faustine, dont la «?lumière?» est omniprésente dans le livre des Amores. Sur le feuillet 37 de notre exemplaire, Du Bellay linvoque sous une variété de désignations?: elle est Pandore, dotée de tous les dons des dieux, mais aussi Déesse ou Colombe. «?Du Bellay laima vraiment, non plus de tête, comme il avait aimé Olive, mais avec son cur et sa chair, dune passion ardente, fougueuse, tourmentée.?» (Henri Chamard) Faustine des Poemata est une véritable romaine. La traduction de Thierry Sandre restitue son portrait?: «?elle avait des yeux noirs, des cheveux noirs, un front large dune blancheur de neige, des lèvres couleur de rose, et des seins sculptés par les mains de lAmour. Rome navait jamais vu et ne devait jamais voir femme plus belle, Faustine était charmante?». En 1558, au crépuscule de sa vie, Du Bellay ne chante plus lamour théorique comme il a pu le faire dans ses premiers recueils français, notamment dans LOlive en 1549. À Rome, au contact de la rime et de la femme latine, Du Bellay se livre sans retenue ni pudeur. «?Quelle différence entre Olive et Faustine?! La jeune romaine ne pétrarquisait pas?: laventure fut des plus simples.?» (Les Amours de Faustine, introduction de Thierry Sandre). Mais bientôt le mari de Faustine, «?trop froid, et laid, et vieux?» («?Sed quod frigidulus conjux, turpisque, senexque?» f. 36), «?ce rustre?» («?ferus?» f. 34), met fin à la romance courte mais bien réelle qui liait le gentilhomme français et la dame romaine. Lorsque Du Bellay quitte Rome à la fin du quatrième été. Jean Dorat, son professeur du collège de Coqueret, raille le retour de son brillant élève. Selon lui, en retrouvant sa patrie, Du Bellay se réappropriait certes la
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GLN-724, Editions Jules Hovine 1985
Assez bon
GLN-724, Editions du Parvis, Hauteville, Suisse 2003
Assez bon
Editions du Parvis. 2003. In-18. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 90 pages agrafées - étiquette collée sur la coiffe en pied.. . . . Classification Dewey : 264.1-Les prières
Classification Dewey : 264.1-Les prières
1853, gr. in-8vo, Frontispiz-Ansicht (Brustbild ‘Joh. Adolph Hasse’ v. C Scheuchzer ) 15 S. (+1 leer), Original-Broschüre.
Image disp.
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