Espaces 34. 1996. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos abîmé, Intérieur acceptable. 107 pages - quelques annotations au crayon à papier sans conséquence sur la lecture. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Reference : R200121728
ISBN : 2907293346
Drame - présentation de Pierre Larthomas Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
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Paris, 1834. Paris, Madame Charles-Béchet, 1834.In-8 de 384 pp., (1) f. de table. Demi-veau rouge cerise à coins, dos à nerfs orné de triple filets dorés et de fleurons estampés à froid. Elégante reliure de l’époque.206 x 125 mm.
Précieuse édition originale d’ « Eugénie Grandet », chef-d’œuvre balzacien, conservée dans l’une des rarissimes reliures de l’époque non tomées spécialement réalisée à Paris pour cette œuvre remarquable.Carteret, I, 69 ; Vicaire, I, 197.Ce volume « contient : ‘Eugénie Grandet’ (inédit). C’est l’édition originale de ce roman » (Vicaire).L’édition originale d’« Eugénie Grandet », l’une des plus recherchées de l’œuvre balzacienne, se trouve généralement insérée dans les douze volumes tomés des « Études de Mœurs au XIXe siècle » et les bibliographes attirent notre attention sur le fait que, vendu isolément, l’on a généralement masqué la tomaison du volume sous un fleuron moderne. M. Clouzot (p. 21) écrit notamment : « Eugénie Grandet se vend souvent séparément. Ce volume en reliure d’époque porte en principe un numéro de tomaison au dos, chiffre souvent dissimulé sous un fleuron moderne. Se méfier. » D’où l’intérêt majeur de cet exemplaire relié séparément dès l’origine sans mention de tomaison. Eugénie Grandet publié vers la fin de 1833 est le premier des grands livres de Balzac. Quelques-uns disent son chef-d’œuvre. Dans la ville de Saumur, le terrible père Grandet, ex-tonnelier, a réuni grâce à une série d’heureuses spéculations une fortune qu’il augmente avec une héroïque et atroce avarice. Le lecteur est transporté au sein de la famille, qui comprend la fidèle servante Nanon, l’épouse de Grandet, femme sans volonté, et la fille de Grandet, la jeune Eugénie, un être d’une lumineuse beauté à l’âme noble et délicate, autour de laquelle se combattent les cupidités et les intrigues des deux grandes familles bourgeoises de la ville, les Cruchot et les Des Grassins, qui espèrent s’unir par un mariage à la très riche héritière. Le soir même de l’anniversaire d’Eugénie, occasion d’une petite fête chez les Grandet, arrive à l’improviste Charles Grandet, jeune Parisien élevé dans le luxe et l’oisiveté, fils d’un frère du vieux Grandet qui, à la suite d’une faillite de quatre millions, s’est fait sauter la cervelle. Le vieil avare apprend la mort de son frère par une lettre qui le prie de prendre soin de la liquidation et de fournir à son fils des moyens d’aller tenter fortune aux Indes. Durant les quelques jours que passe dans la maison ce jeune homme bouleversé par le malheur prend naissance chez Eugénie une profonde passion pour son cousin, un véritable grand amour que Charles, ému, semble partager. Puis le jeune homme part, non sans avoir prêté des serments d’éternelle fidélité.Cette première partie est la meilleure : les personnages ont un relief incomparable, les faits s’entremêlent et se développent d’une façon classique, l’amour d’Eugénie enfin est saisi avec une délicatesse qui ne fut peut-être jamais plus atteinte par Balzac. Le reste n’est que la conclusion, l’histoire d’Eugénie dépendant entièrement de ce premier épisode décisif auquel s’oppose le portrait classique de l’avare, le personnage du père, qui prend peu à peu une terrible importance.L’œuvre resplendit d’une force d’art incomparable : le personnage d’Eugénie et celui de son père sont justement considérés parmi les plus heureux de tous les portraits dus à la plume de ce créateur de génie. Le style se montre, ici, mobile, pénétrant et beaucoup moins minutieux et lourd que dans bien d’autres œuvres du même romancier ; pas de longues digressions morales qui, si elles confèrent à certaines de ses œuvres un réel intérêt, en gâtent souvent la pureté de lignes.L’un des plus beaux exemplaires répertoriés, non lavé et presque totalement dénué de rousseurs, de l’un des chefs-d’œuvre de la littérature mondiale.
Eugénie de Guérin Journal et Fragments publiés avec l'assentiement de sa famille par Guillaume-Stanislas Trébutien, Paris, Librairie Victor Lecoffre, 1891,1 volume broché, 190 x 125 mm., xii, 447 pp., usures d'usage, plus prononcées au dos et premier plat rousseurs.Lettres d'Eugénie de Guérin, publiés avec l'assentiement de sa famille par Guillaume-Stanislas Trébutien, Paris, Librairie Victor Lecoffre, 1890, 1 volume broché, 190 x 125 mm., vi, 516 pp., usures d'usage, plus prononcées au dos, rousseurs éparses.
Eugénie de Guérin quitta rarement son lieu de naissance, excepté pour de courts séjours dans les villes environnantes. En novembre 1838, elle se rendit à Paris pour le mariage de son frère Maurice. Elle y demeura six mois, logée chez le couple et chez Mme de Maistre, dont elle était la guide spirituelle. Rentrée au Cayla le 8 juillet 1839, elle assista à la mort de son frère onze jours plus tard. Ce sera l'événement le plus marquant de sa vie. Elle ne se remettra jamais de cette séparation et mourra neuf ans plus tard, inconsolée.À partir de 1834, elle commença à rédiger un journal destiné à son frère.Contemporain de Lamartine, de Victor Hugo, et de Jules Barbey d'Aurevilly, dont il fut l'ami, Maurice de Guérin est l'auteur du Centaure, de la Bacchante et de nombreux poèmes qui se situent dans l'histoire littéraire à la charnière du romantisme religieux de Chateaubriand et de la « modernité poétique » de Baudelaire et Mallarmé. L'hommage posthume qui lui fut rendu par des auteurs tels que Remy de Gourmont, George Sand et Sainte-Beuve atteste la qualité d'une oeuvre méconnue, mais qui n'en fut pas moins célébrée pour son romantisme exalté. Marguerite Yourcenar le plaçait dans son panthéon poétique personnel.
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Eugénie Doche intervient en fveur d'un pianiste accompagnateur. ...Il sollicite ce titre auprès de vous à Monte-Carlo - il vous a remis une lettre de recommandation de M. Plunckett, mon frère. S'il vous est possible d'accorder à votre protégé ce qu'il désire, vous ferez grand plaisir à M. Plunckett...Les cartes de visites concernent des demandes de places et l'envoi de remerciements.
Librairie lecoffre 1924 in8. 1924. Broché. 3 volume(s). Eugénie de Guérin - 3 volumes: Lettres à Louise de Bayne tome I - 1830-1834 avec quatre gravures et fac-similé - études historique et littéraire par Emile Barthès Lettres à Louise de Bayne tome II - 1835-1847 portrait fac-similé d'autographe et de deux dessins lettre au lecteur et table analytique de Emile Barthès Lettres à mon frères Maurice - textes inédites - coll. oeuvres d'Eugénie et de Maurice de Guérin avec planche illustrée hors texte et un fac-similé - avant-propos littéraire et suivis d'une table analytique par Emile Barthès
Bon état général sous papier de soie intérieurs propres jaunis
GLM/Perrin, 2000, gr. in-8°, 615 pp, 8 pl. de gravures et photos en noir et en couleurs hors texte, index, reliure souple illustrée de l'éditeur, bon état
Le 11 juillet 1920, à 94 ans, disparaissait l'impératrice Eugénie, dernière souveraine des Français, à la fin d'une vie qui ne l'avait pas épargnée. Elle fut accusée d'avoir provoqué le désastre de 1870 ; taxée de frivolité à l'instar de Marie-Antoinette ; soupçonnée de frigidité, si bien que Napoléon III dut chercher satisfaction ailleurs. Ainsi l'Impératrice, poupée de la fête impériale, était coupable de tout. En réalité, qui était-elle ? Née en 1826 à Grenade d'un père ouvertement acquis aux idées napoléoniennes, elle a, petite fille, sauté sur les genoux de Stendhal et écouté les fascinantes histoires de Mérimée. Sportive et fière, elle enflamme, presque par hasard, le séducteur Napoléon III. Brillant symbole du Second Empire, Eugénie ne se contente pas de préserver les apparences face aux liaisons tapageuses de l'Empereur. Nommée régente après la naissance de son fils, en 1856, elle s'initie à la politique. La chute du Second Empire et l'exil en Angleterre marquent le début d'une existence modeste, mais non sans grandeur. Après la mort de Napoléon III, en 1873, Eugénie reporte son amour et ses espoirs sur le Prince impérial, qui meurt en 1879, transpercé par les sagaies des Zoulous. Alors commence une longue expiation. Pendant quarante années, Eugénie, veuve respectée et mère accablée, parcourt l'Europe dans une inépuisable nostalgie. Dans ce livre où Jean des Cars apporte de nombreuses révélations, Eugénie est aussi l'impératrice d'une infinie générosité, la pionnière du féminisme, la complice de l'unité italienne, la lectrice favorable à Flaubert, la passionnée de spiritisme, l'épouse heureuse à Biarritz, la femme éclairée qui encourage Pasteur. Voici le portrait vivant d'une grande dame, parfois maladroite mais toujours digne et d'un courage unanimement reconnu.