LE PRE AUX CLERCS. VERS 1999. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 252 pages.. . . . Classification Dewey : 300-SCIENCES SOCIALES
Reference : R200073561
ISBN : 2842280504
Classification Dewey : 300-SCIENCES SOCIALES
Le-livre.fr / Le Village du Livre
ZI de Laubardemont
33910 Sablons
France
05 57 411 411
Les ouvrages sont expédiés à réception du règlement, les cartes bleues, chèques , virements bancaires et mandats cash sont acceptés. Les frais de port pour la France métropolitaine sont forfaitaire : 6 euros pour le premier livre , 2 euros par livre supplémentaire , à partir de 49.50 euros les frais d'envoi sont de 8€ pour le premier livre et 2€ par livre supplémentaire . Pour le reste du monde, un forfait, selon le nombre d'ouvrages commandés sera appliqué. Tous nos envois sont effectués en courrier ou Colissimo suivi quotidiennement.
LE PRE AUX CLERCS. 1999. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Mouillures. 252 Pages - Quelques annotations au stylo et surlignements sans conséquence pour la lecture. . . . Classification Dewey : 364-Criminologie
Classification Dewey : 364-Criminologie
L'INTERMEDIAIRE DES CHERCHEURS ET CURIEUX. SEPT 1958. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 769 à 864. Lecture en colonnes.. . . . Classification Dewey : 1-Le savoir
Mensuel de questions et réponses historiques, littéraires, artistiques et sur toutes autres curiosités. Sommaire : QUESTIONS 769 : Enfants naturels de personnages célèbres. — 770 : Mme de La Sablière, amie, de La Fontaine. — 770 : Prêts sur serment. — 770 : Berthoion, nom de famille. — 771 : L’action de faire l'amour décrite dans la littérature. — 771 : La seconde épouse du maréchal de Castellane.—771 : Chasse à la bécasse. — 771 :Pardaillan. — 771 : La trêve de Dieu. — 772 : Gauze et Le Bron. — 772 : Noiu velle-Amsterdam. —- 772 : L’amiral Cé-cille et les Bonaparte. — 773 : Folklore du pays basque espagnol. — 773 : Famille de Montalembert. — 773 : Le « souper d’Auteuil ». — 773 : La femme de du Guesclin. — 773 : D’une ruelle appelée « Moque-Soairis ». — 774 : Descendance du maréchal Bazaine. — 774:Quinbois. — 774 : L’ordre de la milice de Jésus-Christ. — 775 : Saint-Jacques-de-la-Lande, Moigné et Chavagne, communes d’Ille-et-Vilaine, — 775 : Berthelot.—775 : Médaille des volontaires catalans dans l’armée française (1914-1918).—776 : Mouchard de Chaban. — 776 :Mélusine, nom de feutre. — 776 : Mme Lachapelle née Dugès. — 777 : Le menuisier bombardé sous-préfet. — 777 : Armoiries — pélican, tour, guivre et alérion à identifier. — 777 : Une médaille de Jacques France. — 778 : Alexander William Douglas. — 778 : Sonneries militaires. — 778 : Quartiers de Claude-Louise d’Escannevelle. — 778:« Sois belleet tais-toi ». — 778 : Bridiers de Ville-mor. — 778 : Une savonnerie à Sète au xvme siècle. — 779 : Papion de La Ferté.—779 : Masséna et ses maîtresses en ti-tre. — 779 : Le général Brue. — 779 : Biens nationaux. — 780 : Frédéric de Cessoles, ingénieur militaire au xvie siècle. — 780 : Chiffres romains. — 780 : Mahaud d’Angleterre, dauphine de Viennois. — 780 : « ILe petit chaperon rouge », chanson. — 780 : Familles de To*u-berarbre et de Galet. -— 780 : L’ordre du clou. — 781 : Echoppes de savetiers. — 781 : Famille Dubosc. — 781 : Uniforme de gentilhomme servant. — 781:Alliance Roguin-Delfosse. — 782:Lefabuleux héritage du marquis de Leyde.RÉPONSES 782 : Saint Brandan, patron des explorateurs polaires (1951). — 782 : Une chanson franco-canadienne (1951). — 784 : Famille Morin de La Sablonner!« (1951).—784 : Famille de Lestre (1952). — 785 î Paléologue ou Pollack (1953). — 785 : Du Joncq de Boisquenay (1954). — 786 : Carnet mondain impérial, royal et ducal (1954). — 793 : « Il reviendra » (1955).—794 : Liane de Pougy (1956). — 794 : Quelles sont les plus anciennes familles non nobles de France (1956). — 795 : Les routes de Saint-Jacques-de-Compos-telis (19-56). — 795 : Prénoms géographiques (1956). — 796 : Mariages d’enfants (1956). — 796 : Prénoms qui ne sont pas des noms de saints (1956). — 797 : Serrement de main (1956). — 797 : Dénombrement des saints (1957). — 797 : Les Ponts-de-Cé, lieu maudit (1957). Classification Dewey : 1-Le savoir
Paris, chez Florentin et Pierre Delaulne, 1699 1 volume petit in-8 (16 x 9,5 cm), de (1)-378-(4) pages. Vignette à mi-page portrait de Louis XIV gravé par Crespy. Reliure du début du XVIIIe siècle aux armes du Comte d'Hoym (1694-1736). Plein veau caramel, dos à nerfs orné aux petits fers dorés, roulette dorée en encadrement intérieur des plats, tranches rouges, gardes peigne. Exemplaire en bon état malgré des mors fendus ou fragiles avec manque et réparations de fortune plus récente. Coins usés. Intérieur complet et assez propre. Quelques salissures sans gravité. Provenance : Exemplaire de la bibliothèque de Charles-Henry comte d'Hoym (1694-1736), ambassadeur de Saxe-Pologne en France et célèbre bibliophile. ÉDITION ORIGINALE. Qui se souvient aujourd'hui, après plus de trois siècle, que l'auteur malheureux de l'Histoire amoureuse des Gaules, Bussy-Rabutin, celui-là même qui paya cette belle plaisanterie qui distrayait alors toute la cour sur le dos des amours de Louis XIV, écrivit pour le loisir de ses enfants une Histoire en abrégé de Louis le Grand ? Personne, ou presque. Bussy-Rabutin meurt le 9 avril 1693. L'Histoire de Louis XIV qu'il livre ici de manière posthume (publiée par ses enfants) s'arrête donc à l'année 1692. Il restait au Roi Soleil 23 années de règne. La lecture de cet Abrégé n'est pas indigeste, bien au contraire, on y trouve une intéressante chronologie des jeunes années du Roi et des années de guerre. Bussy-Rabutin semble tout à fait impartial avec celui qui le condamna à rester loin de la cour dans son château de Bourgogne pendant plus de 17 ans. Bussy-Rabutin était un militaire, rempli d'orgueil et d'un amour irraisonné pour les honneurs. Ceci l'emporta sur le ressentiment et l'envie de vengeance qu'il aurait aisément pu déployer dans ces pages posthumes. Le texte imprimé diffère sensiblement du manuscrit d’où cette Histoire a été tirée. Le manuscrit autographe est conservé à la Bibliothèque nationale de France (n.a.f. 4208) sous le titre de Discours du comte de Bussy a sa famille sur le bon usage des prosperités. "Dernière étape d’un parcours littéraire hors du commun, le Discours du comte de Bussy à sa famille sur le bon usage des prospérités date de 1692. Il témoigne avec éclat de la maîtrise d’un art d’écrire assidûment cultivé durant les années d’exil. Sa richesse a pourtant longtemps été masquée par l’Histoire en abrégé de Louis le Grand, publiée en 1699 et dont il a fourni la matière – Bussy avait écarté l’idée même de publication, préférant réserver la lecture de son manuscrit à quelques lecteurs habilement choisis, dont le roi. Soigneusement calligraphié, le manuscrit autographe compte 136 pages et se divise en quatre parties fort inégales : trois Vies en abrégé (le cardinal Mazarin, la chancelier Le Tellier, le duc de Beauvillier) et une Histoire en abrégé de Louis le Grand quatorziesme du nom qui développe sa chronologie des folios 17 à 136. En dépit de ce déséquilibre, le texte doit être lu en son entier tant sa composition est soigneusement méditée. Premièrement, le choix des biographies semble concentrer les prospérités sur le règne de Louis XIV, autour de la figure duquel toute l’œuvre est organisée, comme si ses sujets n’avaient d’histoire que la sienne. Deuxièmement, cette construction suggère un parallèle avec Les Illustres malheureux, où Bussy occupe la place d’honneur. Au fond, il s’agit ici de l’auteur et de sa relation avec le roi. La singularité du Discours tient à la construction d’une œuvre littéraire pour conforter un statut qui n’est pas celui d’auteur, ainsi que l’indique le choix de la forme du discours : Bussy n’écrit pas en historien et encore moins en historiographe. Il a bel et bien pris acte du refus par le souverain de ses offres de service, d’où cette appropriation du genre de l’exemplum. En revanche, il ne désespère pas sinon de regagner sa faveur, du moins d’obtenir de nouvelles grâces. L’adresse initiale à ses enfants, destinataires officiels d’un manuscrit conçu pour le roi, suggère que l’adoucissement de ses malheurs pourrait bien préluder à leur prospérité. À l’intelligence de la composition correspond une écriture soigneusement polie et reprise jusque sur le manuscrit destiné à circuler. Bussy travaille plus d’une année à son ouvrage. Chaque mot y est choisi, chaque nuance est voulue. Avec ses phrases courtes et coupées, le style est non pas noble, mais fier malgré l’admiration vouée au souverain, ainsi que le montrent a contrario les nombreuses corrections apportées pour l’édition partielle de 1699. Pour pleinement goûter un tel texte, il convient d’accepter la place que l’auteur a réservée à son lecteur. Or Bussy feint d’écrire à ses enfants pour mieux toucher le roi et se représente dans cette posture. Le choix d’une diffusion par le manuscrit renforce l’effet recherché par la composition. Il découle de cette mise en scène que l’éloge, sincère par nécessité, se mesure à l’aune d’une convention : nulle flagornerie, donc, dans un exercice qui crée une distance inattendue par rapport à l’objet de la flatterie. Les leçons tirées des trois Vies en abrégé proposent d’ailleurs quelques règles précieuses pour les courtisans : Le Tellier est vanté pour avoir su rester pendant l’exil de Mazarin lui rester fidèle sans se brouiller avec ses adversaires, de sorte qu’ami de tout le monde, il avait l’assurance de rester ministre… L’auteur met dans cette ultime œuvre toutes les qualités qui ont durablement assuré le succès des précédentes. Plus encore que dans l’Histoire amoureuse des Gaules, on y goûtera l’habileté de la composition et l’on n’y trouvera pas moins d’esprit que dans la correspondance car le maître épistolier, qui avait transformé son discours de réception à l’Académie en épître, développe désormais son Discours avec virtuosité. Surtout, alors que le mémorialiste semblait s’interroger sur les causes d’une disgrâce à la dureté incompréhensible, il revisite ici l’histoire avec optimisme. Car, et ce n’est pas le moindre paradoxe de Bussy, cet homme qui a encouru la prison et l’exil pour ses écrits et qui n’avait cessé d’écrire avec l’espoir de retrouver la place qu’il ambitionnait à la cour comme à la guerre, choisit d’afficher son renoncement pour mieux remplir ses vues, d’où un incipit dans la grande tradition des Mémoires nobiliaires : l’œuvre du « dévot papelard » commence par détourner une convention littéraire. Voilà décidément un Discours à redécouvrir !" (Christophe Blanquie) Références : OHR, 672 (planche des armoiries du comte d'Hoym). BON EXEMPLAIRE AUX ARMES DU COMTE D'HOYM DE L'HISTOIRE EN ABRÉGÉ DE LOUIS XIV.
Phone number : 06 79 90 96 36
Fleurus Presse. 1992. In-8. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Agrafes rouillées, Intérieur acceptable. 27 pages agrafées - nombreuses illustrations en couleurs dans et hors texte - déchirure sur le second plat.. . . . Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants
Sommaire : Piloui cherche un chapeau - qui est là ? - comme les enfants fait le pont - dis le nom de chacun des animaux - arrête petit monstre ! - bonjour les monstres - ah les crocodiles - bonjour la nuit - le réveil - bonjour zoé ! Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants
3 L.A.S. de une ou deux pages, sur papier à bel en-tête illustré de l'Oeuvre reconnue d'Utilité Publique "Les Maisons Claires", Siège : 5 rue La Bruyère, Paris, s.d., [ vers 1917-1925 ] [ 3 lettres autographes signées de remerciements pour l'oeuvre "Les Maisons Claires" ] "Mais que vos 25 ans sont tendres et que votre lettre est bonne et généreuse. Votre mari doit être un homme heureux, et grâce à vous, mes gosses seront des enfants heureux [... ]" - "Merci de ce tendre souvenir en l'honneur de Ste Denise. Que Dieu rende à celle qui porte ce doux nom le bonheur qu'elle donne à mes petits ! [... ]" - "Francette et Denyse sont deux amies généreuses, amies de mes gosses ! Merci à elles de les aimer, de répandre sur eux leur bonheur et Bonne Année ! [...]"
Présidée par Yvonne Sarcey (1869-1950) l’œuvre dite des « Maison Claires » fut fondée le 8 juin 1917. Les enfants habitant en des lieux malsains et insalubres sont accueillis dans les Maisons Claires entre trois et douze mois ; on y récupère notamment les enfants des soldats pauvres morts pour la patrie. On peut lire sur chaque lettre la liste imprimée de 14 "Maisons" situées sur tout le territoire. Bon ensemble.