ARTHAUD. 1999. In-4. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 215 pages- nombreuses illustrations en couleurs dans et hors texte- jaquette légèrement usée en tête du premier plat. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 962-Egypte et Soudan
Reference : R200042269
ISBN : 2700312457
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Paris: Félix Juven, 1903 in-12 carré, non paginé, Broché, couverture illustrée, bon état. L'An 1903 est le premier d'une série d'Almanachs prophétiques publiés par Madame de Thèbes jusqu'en 1917. Il est particulièrement intéressant par sa remarquable llustration art nouveau: 16 encadrements différents gravés sur bois, imprimés en rouge et noir et répétés de façon aléatoire sur cha-une des 84 pages de l'ouvrage. Le dessinateur est anonyme, mais son style s'apparente beaucoup à celui de certains collaborateurs de la revue Le Rire, publiés précisément par Félix Juven, notamment Lucien Métivet. A remarquer aussi, comma autre piste, les deux fleurons au verso de la page de titre et en dernière page, tout à fait dans le style de Georges Auriol. Cett illustration n'a été utilisée que pour ce premier des almanachs de Madame de Thèbes. Les prophéties sont précédées d'une note de l'éditeur sur Mme de Thèbes. Dorbon 4824.
Le livre de tous les prodiges et de tous les mystères. L'An 1903. Conseils et prophéties de Madame A. de Thèbes. (Paris: Félix Juven, 1903). [M.C.: almanach, cartomancie, divination]
Didot | Paris 1803 | 40.50 x 54 cm | une feuille
Gravure originale in folio non rognée, extraite du Voyage dans la Basse et la Haute Egypte de Vivant Denon. Planche composée de 5 vues ainsi décrites par l'auteur : N° 1. Plan d'un des tombeaux des rois à Thebes, le premier que l'on rencontre à droite, dans la vallée des morts, à l'ouest de cette ville. A, l'entrée, dont on voit la vue, même planche, n° 2 , creusée dans le rocher ; les parois en sont revêtues en stucs décorés de peintures ; le plafond est une voûte dont la ligne est surbaissée ; les trois repos, dans cette premiere galerie, peuvent avoir appuyé des portes ; les especes de tribunes, marquées B, doivent avoir servi à déposer, ou des corps, ou des figures, ou des offrandes, d'autant qu'il y a une espece de soubassement à hauteur d'appui ; les lettres CC sont des especes de niches au même usage; DD, d'autres niches plus grandes pour y placer peut-être de la musique dans les cérémonies, car j'en ai trouvé de peinte dans des pompes funebres; E, la chambre sépulcrale avec le sarcophage de granit de 8 pieds de longueur, sur 6 de hauteur, et 5 de largeur ; sur le couvercle une figure en haut relief, couchée à plat, coiffée et vêtue en habit sacerdotal, qui, selon toute apparence, étoit le costume de cérémonie des initiés ; le sarcophage est ouvert, et le couvercle rompu ; la piece F paroît avoir eu une porte particuliere, et avoir été un sanctuaire ; celle marquée G, qui semble aussi avoir été fermée, est terminée par une espece d'autel qui tient tout le fond de la piece, et paroît avoir été destiné à poser des offrandes ou des figures sacrées ; trois lectisternes sont peints sur la paroi contre laquelle est appuyé cet autel. N° 2. Ouverture du rocher qui sert d'entrée au tombeau, dont le plan vient d'être décrit ; cette entrée paroit prise au hasard, et laissée à toute sa rusticité: étoit-ce dans le dessein d'y apposer des rochers et de perdre ainsi la trace de l'existence de ces monuments pour les consacrer par l'oubli à un éternel repos? mais alors pourquoi cette pompe intérieure ? pourquoi cette vallée consacrée à cet usage ? Avec la vue d'une de ces ouvertures on a l'image de toutes les autres ; car il y a peu de différence entre elles, ou ces différences ne sont d'aucune importance; les portes se ressemblent toutes, elles sont toutes décorées du même bas-relief en forme d'attique ( voyez planche CXXII, n° 10). N° 3. Plan d'un autre tombeau à deux issues : le sarcophage, qui est brisé, étoit dans la pièce B, entre quatre piliers qui portent le plafond ; c'est à la lettre D que sont situées les petites chambres que j'ai décrites, planche CXXXV, dans lesquelles sont peints chacun à part les attibuts des sciences, des arts, et des métiers. N° 4. Nécropolis de Thebes, situé au nord-ouest de cette ville, sur un plateau de la partie basse de la chaîne libyque : cette partie déserte et aride étoit par sa nature dévolue au silence de la mort. En taillant le rocher sur un plan incliné, trois côtes ont offert tout naturellement des escarpements, dans lesquels on a creusé des doubles galeries, et derriere, des chambres sépulcrales ; ces excavations sont innombrables, et occupent un espace de plus d'une demi-lieue carrée ; ils servent à présent de logement aux habitants du village de Kournou, et à leurs nombreux troupeaux. Il seroit très intéressant d'observer les détails de ces tombeaux : mais la premiere fois que je les vis, j'y entrai avec Desaix, et nous pensâmes y être tués à coups de piques par les habitants qui s'y étoient cachés ; la seconde fois on nous y tira des coups de fusils ; la derniere fois nous y étions allés pour faire la guerre aux habitants, et, la paix faite, on ne voulut pas les tourmenter par une visite domiciliaire. N° 5. Vue de ce que l'on est convenu d'appeler le Memnonium sur la rive gauche du Nil ( voyez le plan, planche XCIII, n° 5 ). A gauche de la vue est la ruine d'une grande porte, couverte de bas-reliefs barbarement composés, représentant une bataille ; entre cette grande porte et une autre
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Fayard Fort volume broché au format In-8°, couverture bleue rempliée glacée ill (bas relief au sphinx), 649 pages, cartes in fine, important Index, bel exemplaire un peu fané tout de même mais de belle allure.
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Didot | Paris 1803 | 40.50 x 54 cm | une feuille
Gravure originale in folio, extraite du Voyage dans la Basse et la Haute Egypte de Vivant Denon. Planche composée de 3 vues ainsi décrites par l'auteur : N° 1. Le voyageur aime à jouir du premier aspect de l'objet qu'il cherche, à le voir de loin placé dans un plus grand espace, à en comparer les masses, à en embrasser l'ensemble, comme on aime à observer le personnage auquel on va avoir affaire ; le lecteur doit avoir la même sensation: c'est ce qui m'a fait prendre souvent des vues très éloignées, qui semblent d'abord n'offrir qu'une ligne vague, et qui à l'examen deviennent de petites cartes topographiques, qui ont un genre d'intérêt particulier ; celle-ci offre toute la vallée de l'Egypte, terminée à l'est, à gauche du spectateur, par la chaîne arabique ; et à droite, à l'ouest, par la chaîne libyque ; le fleuve, dans la traversée de l'emplacement de Thebes, court d'abord du sud-est au nord-ouest, revient du sud-ouest au nord-est, et partage la ville. Sur la rive droite sont les ruines les plus apparentes de l'estampe, celles que l'on voit au milieu, et qui sont connues sous la dénomination de Karnak ; celles qui sont plus loin et du même bord, sont celles du temple qui est à Luxor ; l'endroit où sont deux statues, que l'on découvre de cinq lieues, est le Memnonium ; derriere sont les temples du village de Medinet-Abou, et en se rapprochant toujours sur la droite Kournou, qui sont les cinq points principaux de l'emplacement de l'ancienne Thebes, ceux où on retrouve ses grandes ruines.N° 2. La vue du grand temple de Karnak et d'une partie de l'emplacement de son enceinte ; la qualité saline du terrain de cette partie du site de Thebes a décomposé les grès, et produit des éboulements, des entassements, et une combustion, qui troublent l'intelligence des plans de cette ruine immense, qui, dans nombre d'aspects, n'offre plus que l'image d'un chantier de matériaux, au milieu desquels commence à s'élever l'édifice qu'ils doivent achever. En parcourant à plusieurs reprises tous les points de vue que présentent les parties de ce grand ensemble, celui qui m'a paru laisser voir le plus de formes qui pussent servir à l'intelligence de son plan est celui que j'ai pris de la porte de l'est : on voit d'abord sur le devant son mur d'enceinte couvert d'hiéroglyphes, les deux galeries, la grande cour, le sanctuaire, flanqué de deux portiques, les obélisques, les grandes avenues de colonnes, les portes, et au-delà de la cour les deux grands môles qui servent d'entrée à la partie opposée; à gauche ce qui reste des piecesd'eau, des monticules, des ruines des autres édifices contenus dans la même circonvallation, et tout au fond, de l'autre côté du fleuve, la chaîne libyque, et la montagne où sont les tombeaux des rois (voyez le plan , planche LXXXVIII.) N° 3. Vue des mêmes monuments, prise de la porte du sud, la mieux conservée et la moins enfouie ; on voit encore quelques sphinxs de l'immense avenue qui la précédoit, et qui arrivoit jusqu'à la porte d'un temple particulier, dont on voit la porte flanquée de deux môles ; dans le fond est la partie latérale du grand temple, dont le n° 2, même planche, est la vue ; on n'en voit que les deux grands môles ruinés, la seule colonne qui reste dans la premiere cour, et le commencement de l'avenue des colonnes colossales ; à droite de la porte du sud est une citerne ; sur le premier plan à gauche une partie du village de Karnak. Rousseurs, un infime accroc angulaire, sinon bel état de conservation. Publié pour la première fois en deux volumes, dont un atlas de gravures, chez Didot, en 1802, le 'Voyage dans la Basse et la Haute Égypte' connut un tel succès qu'il fut traduit dès 1803 en Anglais et en Allemand, puis quelques années plus tard en Hollandais et en Italien, notamment. Presque toutes les planches sont dessinées par Denon, qui en a aussi gravé lui-même un petit nombre, notamment des portraits d'habitants d'Egypte, qui ont encore gardée toute la fraîcheur d'esquisses prises sur le vif (nos 104-
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Didot | Paris 1803 | 76.50 x 54 cm | une feuille
Gravure originale in folio non rognée, extraite du Voyage dans la Basse et la Haute Egypte de Vivant Denon. Planche dépliante ornée d'une gravure subdivisée en 55 figures, ainsi décrites par l'auteur:N° 1. Triomphe d'un roi d'Égypte, de Sésostris, d'Ossimandue, de Memnon, d'un des rois conquérants qui ont régné à Thebes ; ce bas-relief historique est sculpté sur le mur intérieur d'une des galeries d'une cour du temple, ou du palais de la partie sud-ouest de Thebes, près le bourg de Médinet-Abou (voyez le plan, n° 4, planche XLVI, lettre Z).N° 2. Ce bas-relief commence à la lettre V ; les trois premieres figures de la ligne supérieure sont des soldats portant leurs lances et leurs boucliers ; des prêtres, avec des habits longs, et des panaches, marchent devant eux, tenant de longues palmes ; deux autres tiennent des tablettes, et des bâtons à fleurs de lotus ; deux autres semblent faire des proclamations.N° 3. Quatre personnages portent des gradins, pour monter sans doute à la chaise triomphale et en descendre.N° 4. D'autres prêtres tiennent des plumes, et sont couverts de tuniques transparentes.N° 5. Deux enfants tiennent des bâtons avec des fleurs de lotus.N° 6. Douze personnages portent sur un brancard le triomphateur, assis sur un trône, couvert d'un baldaquin ; le lion, le sphinx, l'épervier, le serpent, sont les emblêmes de la force, du mystere, de la vélocité, et de la prudence, qui caractérisent le héros ; le calumet et les palmes sont ceux de la victoire et de la paix : de plus petits enfants que les premiers marchent à côté du siege, portant les armes du héros ; le triomphateur est décoré des attribus de la grande divinité de Thebes ; il a un collier, et sur son vêtement est une tunique transparente comme celle des prêtres ou des initiés ; son nom ou ses victoires sont peut-être inscrits à côté de sa figure.N° 9. Un prêtre en haut, un autre en bas, lui présentent l'encens.N° 10. Deux autres en grand costume lisent et proclament ses victoires, et huit autres tiennent de grandes plumes ; couverts de tuniques, ils marchent devant lui : ils arrivent au temple de la grande divinité ; elle est sous un portique formé de deux tiges de lotus terminées par leur fleur, sur lesquelles pose une corniche, composée de serpents ; le héros, en habit de guerre, recouvert d'une tunique sacerdotale, présente d'une main l'encens à la divinité, et de l'autre fait une libation sur les préparatifs d'un sacrifice, composé de vases, d'eau, de curs et de cuisses de victimes, et de fleurs de lotus : ensuite la marche recommence ; deux personnages, n° 21, portent une espece d'autel, sur lequel sont cinq vases renversés ; figure que j'ai souvent trouvée à côté de la grande divinité.Au-dessus, n° 20, deux autres personnages portent une grande tablette, sur laquelle étoient peut-être écrites les victoires du héros ; ensuite la grande divinité, portée par vingt-quatre personnages, est entourée de toute la pompe des cérémonies, de panaches, de calumets, de trophées, de fleurs ; le triomphateur marche devant, coiffé d'un autre bonnet, et toujours accompagné de son génie tutélaire ; il est précédé du buf Apis, décoré de bandelettes, portant le disque d'Isis entre ses cornes ; un enfant lui présente l'encens ; vingt-une figures tiennent chacune une divinité ou l'attribut d'une divinité, ou des oiseaux, et autres animaux sacrés. Arrivés à une espece d'autel, un prêtre paroît être au moment de sacrifier devant ce triomphateur une jeune victime humaine ; un autre laisse aller un oiseau, qui semble être l'emblême de l'ame qui se sépare du corps de la victime ; ce qui attesteroit l'usage, que les Grecs nous disent égyptien, de sacrifier après une victoire le plus jeune des captifs de l'un ou de l'autre sexe : l'inscription qui y est jointe en est peut-être la consécration ; le personnage qui est au-dessus, n° 36, et qui tient une tige de lotus rompue dont la fleur n'est pas épanouie, est peut-être l'emblême de la mort prématurée de la victime.Vient après, n
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