‎RAVARY JEAN‎
‎J'OSE LE DIRE.‎

‎LES EDITIONS POPULAIRES DU QUEBEC. 1988. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 94 pages. Nombreuses planches photos en noir et blanc hors texte.. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires‎

Reference : R200024747
ISBN : 2980109711


‎Préface du Père Emilien Tardif. Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires‎

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‎GIRAULT de COURSAC, Paul et Pierrette.‎

Reference : 19837

‎Entretiens sur Louis 16. Deux ou trois choses que vous devriez savoir et qu'on n'a pas osé vous dire.‎

‎Paris : O.E.I.L., 1990. Un volume in-8°, broché.‎


‎Très bel exemplaire. [19837]‎

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‎Pierre-Joseph-Marie PROUDHON‎

Reference : 89375

(1862)

‎"mon idée triomphe, j'ose le dire, sur toute la ligne" Lettre autographe signée à Alphonse Lebègue‎

‎Alphonse Lebègue (destinataire) | Paris, Passy 7 novembre 1862 | 13.9 x 21.1 cm | Trois pages sur un bifeuillet‎


‎Lettre autographe de Pierre-Joseph-Marie Proudhon, signée et datée du 7 novembre 1862. 3 pages pages à l'encre noire sur un bifeuillet. Pli du bifeuillet fragilisé, sans atteinte au texte. Absente de sa correspondance parue chez Lacroix en 1875. Importante missive probablement inédite de Proudhon à son éditeur Alphonse Lebègue, qu'il considère comme "la cause de la liberté en France et de l'indépendance en Belgique" dans ces lignes. Proudhon souligne l'importance de son combat idéologique pour le fédéralisme en Europe, après la publication controversée de son pamphlet La Fédération et l'unité en Italie, et quelques mois avant la parution de son testament politique Du Principe fédératif. Il critique violemment la piètre qualité de l'Histoire du Consulat et de lEmpired'Adolphe Thiers, son célèbre adversaire. Depuis ses années à Bruxelles, Proudhon avait voulu écrire un livredéboulonnant le mythe de Napoléonporté dans cet ouvrage. * Ayant quitté définitivement la Belgique deux mois auparavant, Proudhon subit alors les réactions des Belges à ses articles prédisant l'annexation du pays par l'empire de Napoléon III, qui prendrait comme modèle l'unification de l'Italie. A l'unification centralisée, Proudhon oppose le fédéralisme, qui est selon Jorge Cagiao y Conde, "la partie positive ou reconstructive dune uvre qui, jusquà la fin des années 1850, en était restée à un stade négatif ou critique. Prenons donc au sérieux les mots de Proudhon : après le démolisseur, il y a bien un bâtisseur. La théorie fédérative de Proudhon occupe sans aucun doute une place de choix dans lhistoire de lidée fédérale. Tout comme la Constitution des États-Unis de 1787 marque un avant et un après dans lhistoire du fédéralisme, on peut considérer quil y a aussi un avant et un après Proudhon." Cette profession de foi s'accompagne de projet de pamphlet : "Le principe de fédération que j'ai posé tend à prendre sa place, et les Belges intelligents ne peuvent manquer de comprendre que leur véritable garantie est là. [...] Ma brochure a produit une émotion aussi grande qu'en Belgique: la masse, infatuée d'unités et de Garibaldisme, est contre moi. Mais les clairvoyants battent avec énergie, la réaction se fait; déjà le ton des journaux a baissé; on s'aperçoit que la question doit être remise à l'étude le soupçon que la cause de la liberté et de la République est compromise par l'unitarisme garibaldien se répand de tous côtés. Encore une brochure de ma part, de 30 ou 40 pages au plus, et mon idée triomphe, j'ose le dire, sur toute la ligne. Dans 3 mois, les belges qui résonnent reconnaîtront qu'avec cette idée de fédération sur laquelle je compte faire reposer toute la politique intérieure et extérieure, l'annexion de leur pays est impossible. Vous savez comme les idées vont vite en France: nous sommes en train de voir un de ces revirements. C'est que c'est pourtant, qu'une contradiction énergique, formulée à propos, et dirigée contre des hommes autorisés!... Supposez quau lieu de m'adresser à Mazzini et Garibaldi j'eusse dirigé mon argumentation contre M. Grauquillot ou [Alphonse] Peyrat [directeur de La Presse], rien n'était fait, je perdais mon temps et mon papier. Ceci, cher monsieur Lebègue est confidentiel et entre nous. Prenez note de la communication que je vous fais, si vous le jugez utile, ne me citez pas. Dans une quinzaine vous recevrez mon quatrième article. LOffice en souvenir de ma collaboration, on voulait faire un petit commentaire et quelques citations, cela ferait bien, je crois, pour tout le monde. Vous savez que je ne cherche ni adulations ni adhésions ; de la publicité seulement ; et je me tiens pour satisfait. Vous seriez la cause de la liberté en France et de l'indépendance en Belgique []" La missive de Proudhon se fait également le témoin de la grande rivalité qui l'opposait à Adolphe Thiers. Ce dernier avait notamment rejeté en bloc le célèbre projet de loi du 31 juillet 1848 porté par Proudhon visant à établir ‎

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‎STENDHAL‎

Reference : 68967

(1808)

‎Lettre autographe adressée à sa soeur Pauline : «?Voilà mes rêveries, (...) tu es la seule personne au monde à qui j'ose les dire.?» ‎

‎26 mars 1808 | 20 x 24.80 cm | 3 pages 1/2 sur un double feuillet‎


‎Longue lettre autographe de Stendhal, adressée à sa sur Pauline, rédigée d'une écriture fine à l'encre noire. Adresse du père de Stendhal chez qui réside sa sur, à Grenoble et tampon «?n°51 Grande Armée?». Cachet de cire rouge aux armes de Stendhal. Plusieurs pliures d'origine, inhérentes à l'envoi postal. Un manque de papier, dû au décachetage de la lettre, habilement comblé. Très belle lettre, empreinte de passion romantique, mêlant nostalgie de l'enfance et histoires sentimentales et préfigurant Le Rouge et le Noir. * Cette lettre provient de la correspondance qu'entretint le jeune Henri Beyle ici âgé de vingt-cinq ans avec sa sur Pauline de trois ans sa cadette. Cette véritable liaison épistolaire, qui prit bien vite la forme d'un «?journal?» les réponses de Pauline étaient rares est un jalon essentiel dans la constitution du parcours intellectuel du futur Stendhal?: «?Voilà mes rêveries, ma chère amie ; j'en ai presque honte ; mais, enfin, tu es la seule personne au monde à qui j'ose les dire.?» Dans cette lettre témoignant du lien fort entre frère et sur, Stendhal, alors en Allemagne, fait part de toute sa nostalgie?: «?J'ai repassé dans ma mémoire tout le temps que nous avons passé ensemble?: comment je ne t'aimais pas dans notre enfance ; comment je te bâtis une fois à Claix, dans la cuisine. Je me réfugiai dans le petit cabinet de livres ; mon père revint un instant après, furieux, et me dit?: «?Vilain enfant?! Je te mangerais?!?». Ensuite, tous les maux que nous fit souffrir cette pauvre tatan Séraphie ; nos promenades dans ces chemins environnés d'eau croupissante, vers Saint-Joseph.?» Ces regrets d'un temps passé s'accompagnent d'une mélancolie toute stendhalienne?: «?Hélas?! Ce bonheur charmant que je me figurais, je l'ai entrevu une fois à Frascati, quelques autres à Milan. Depuis lors, il n'en est plus question ; je m'étonne de n'avoir pu le sentir. Le seul souvenir en est plus fort que tous les bonheurs présents que je puis me procurer.?» Cette évocation de l'Italie regrettée va de pair avec les femmes qu'il a aimées?: «?Je t'ai conté qu'étant à Frascati, à un joli feu d'artifice, au moment de l'explosion, Adèle s'appuya un instant sur mon épaule ; je ne peux t'exprimer combien je fus heureux. Pendant deux ans, quand j'étais accablé de chagrin, cette image me redonnait du courage et me faisait oublier tous mes malheurs. Je l'avais oubliée depuis longtemps ; j'ai voulu y repenser aujourd'hui. Je vois malgré moi Adèle telle qu'elle est ; mais, tel que je suis, il n'y a plus le moindre bonheur dans ce souvenir.?» Ce long passage concernant Adèle Rebuffet, sa cousine avec laquelle il vécut une histoire sentimentale forte avant d'entretenir des relations plus intimes avec sa mère, témoigne du sentimentalisme de Stendhal. Il évoque d'ailleurs une autre de ses brûlantes passions, Angelina Pietragrua, idéal de la femme italienne et incarnation de ses souvenirs milanais?: «?Madame Pietragrua c'est différent?: son souvenir est lié à celui de la langue italienne ; dès que, dans un rôle de femme, quelque chose me plait dans un ouvrage, je le mets involontairement dans sa bouche.?» Ce «?rôle de femme?» que mentionne Stendhal est un écho à l'essentiel de cette lettre, l'uvre Il Matrimonio segreto du compositeur Cimarosa?: «?Joues-tu quelquefois le Matrimonio?? C'est le passage Cara sposa au commencement entre Carolina et Paolino. [...] Mais joue le Matrimonio pour l'amour de moi surtout Signor deh permettette et la finale Io rival de mia sorella.?» Cet opéra de Cimarosa, loin d'être une lubie passagère, jalonnera toute la vie et l'uvre de l'écrivain. Dans ses Souvenirs d'égotisme (1832) il explique?: «?à Milan, en 1820, j'avais envie de mettre cela sur ma tombe [...] Je voulais une tablette de marbre de la forme d'une carte à jouer?: «?Errico Beyle Milanese Visse, scrisse, amò Quest'anima adorava Cimarosa, Mozart e Shakspeare Morì di anni... il ... 18...?» («?Henri Beyle Milanais Il vivait, écrivait‎

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‎Collectif‎

Reference : R260258125

(1950)

‎Le rouge et le Noir La Bataille N°1 28 février 1950 La bombe soviétique gèlera les océans Sommaire: Ce que Cancan n'ose pas dire à la radio; 4 polices en guerre se battent sourdement... à la table d'écoute; A lang-son, la tragique j'ai vu les hordes rouge‎

‎Au bureau du journal. 1950. In-Plano. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 12 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire: Ce que Cancan n'ose pas dire à la radio; 4 polices en guerre se battent sourdement... à la table d'écoute; A lang-son, la tragique j'ai vu les hordes rouges de Mao Tse Toung laver leurs plaies dans la rivière... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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‎SAULIERE Auguste‎

Reference : 25501

‎Ce qu'on n'ose pas dire‎

‎ Edition E. Dentu, Paris, 1884. In8 broché, couverture illustrée d'une vignette, eaux-fortes e tvignettes de Henri Somm, 294 pages.‎


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