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GILLES VALLET
LES FRANCAIS SUR LE VIF
ENCRE. 1979. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 236 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Reference : R200022173
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
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Nouvelle Revue Française N° 557 Sommaire : Lexique ( Jude Stéfan ) - De la difficulté de se libérer du fil barbelé ( Antonio Tabucchi ) - Petites proses à l'improviste ( Eva Almassy ) - Les beaux œufs sont cassés ( Guy Goffette ) - Salami ( Gérard Oberlé ) - LE ROMAN FRANCAIS MORT OU VIF : Eloge d'André Gide au bain ( Michel Braudeau ) - Ce qui compte ( Dominique Noguez ) - Sans les dieux ( Michel Crépu ) - La fracture esthétique ( Lakis Proguidis ) - La littérature comme machine de troisième espèce ( Maurice G. Dantec ) - Voyage au bout de la page ( Alberto Manguel ) - D'où l'on vient ( Bernard Comment ) - PRF ( François Nourissier ) - PROMENADES ET PROMENEURS : Le vingtième me fatigue ( Jacque Réda ) - A la lisière de la forêt de l'Isle-Adam ( Jean-Pierre Le Goff ) - L'art du promeneur ( Olivier Houbert ) - Machine de fuite, moyen d'accès ( Yann Kerninon ) - On ne contemple jamais ( Pierre Jourde )
N° 557 de avril 2001 - Directeur de la publication : Antoine Gallimard - in-8 Broché - 366 pages
Bon état
Les FRANCAIS SUR le VIF
Un ouvrage de 237 pages, format 155 x 240 mm, illustré de cartes et de tableaux, broché couverture couleurs, publié en 1979, Encre Editions, bon état
Comment vivent les Français quotidiennement ? Quels sont leurs rapports avec l'argent, la justice, les loisirs, etc. ?
Phone number : 04 74 33 45 19
LES FRANCAIS SUR LE VIF.
ENCRE.. 1979.. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 236 pages. 1ère de couverture illustrée en couleurs.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
LE MIROIR DES SPORTS N° 29 - Fantassin français 1940, Le livre d'or de l'héroisme français, Chars d'assaut par centaines, obus par milliers, cartouches par millions, Avec ceux qui montent la garde au Rhin, Pris sur le vif, voici cinq épisodes
BUREAU DE LA REVUE. 17 MARS 1940. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Non paginé. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945
Sommaire : Fantassin français 1940, Le livre d'or de l'héroisme français, Chars d'assaut par centaines, obus par milliers, cartouches par millions, Avec ceux qui montent la garde au Rhin, Pris sur le vif, voici cinq épisodes de l'occupation d'un petit bois Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945
[ Deux lettres autographes signées, adressées à Théodore Massiac, collaborateur au Gil Blas : ] 1 L.A.S. de 2 pages, non datée : [ Sorti tard des répétitions, il s'excuse de ne pouvoir s'être rendu au Gil Blas, et lui transmets quelques notes : ] "Pas grand chose d'ailleurs à vous donner, comme indiscrétions. Le plus intéressant là-dedans c'est le début de Mily Meyer aux variétés ! C'est une [...] et une féticheuse. Elle avait eu dans "Benjamine" un succès personnel très grand. Réfugiée aux Variétés, à la suite de ce succès, elle a tenu à y débuter sous le patronage des auteurs de "Joséphine vendue par ses soeurs". Aussi, dans le concours de pièces proposées pour elle, penchait-elle obstinément pour une pièce de Ferrier et Carré. Et voilà comment je suis entré aux Variétés... pour la première fois. Il y a vingt ans que je connais Bertrand [... ] jamais je n'avais été joué. Carré lui avait eu "La nuit de noce P.L.M." moi rien. J'ai passé par tous les Théâtres de Paris, depuis l'Opéra & le Français jusqu'aux Menus Plaisirs & même Beaumarchais ! La glace est rompue... j'espère. Mily joue une petite bouquetière des rues - et Baron une sorte de gouapeux vif, querelleur, bruyant... mais pas filou ! [ Là on retrouvera des souvenirs d'avocats : Carré l'est encore - moi je l'ai été. J'aurais même continué cette carrière... à Montpellier, mon barreau natal, sans une circonstance assez particulière : j'avais vingt ans et une jeune moustache. Vint un Président du Tribunal qui ressuscitant de vieux règlements exigea la suppression de nos moustaches. Je jetai ma robe aux orties et je vins faire du Théâtre à Paris. Il y a vingt ans de cela... hélas ! Carré lui continue à défendre la veuve, l'orphelin [... ] ; [On joint : ] 1 L.A.S. d'une page
2 L.A.S. à savoir 1 L.A.S. de 2 pages, non datée [ circa 1887 ? ]: [ Sorti tard des répétitions, il s'excuse de ne pouvoir s'être rendu au Gil Blas, et lui transmets quelques notes : ] "Pas grand chose d'ailleurs à vous donner, comme indiscrétions. Le plus intéressant là-dedans c'est le début de Mily Meyer aux variétés ! C'est une [...] et une féticheuse. Elle avait eu dans "Benjamine" un succès personnel très grand. Réfugiée aux Variétés, à la suite de ce succès, elle a tenu à y débuter sous le patronage des auteurs de "Joséphine vendue par ses soeurs". Aussi, dans le concours de pièces proposées pour elle, penchait-elle obstinément pour une pièce de Ferrier et Carré. Et voilà comment je suis entré aux Variétés... pour la première fois. Il y a vingt ans que je connais Bertrand [... ] jamais je n'avais été joué. Carré lui avait eu "La nuit de noce P.L.M." moi rien. J'ai passé par tous les Théâtres de Paris, depuis l'Opéra & le Français jusqu'aux Menus Plaisirs & même Beaumarchais ! La glace est rompue... j'espère. Mily joue une petite bouquetière des rues - et Baron une sorte de gouapeux vif, querelleur, bruyant... mais pas filou ! [ Là on retrouvera des souvenirs d'avocats : Carré l'est encore - moi je l'ai été. J'aurais même continué cette carrière... à Montpellier, mon barreau natal, sans une circonstance assez particulière : j'avais vingt ans et une jeune moustache. Vint un Président du Tribunal qui ressuscitant de vieux règlements exigea la suppression de nos moustaches. Je jetai ma robe aux orties et je vins faire du Théâtre à Paris. Il y a vingt ans de cela... hélas ! Carré lui continue à défendre la veuve, l'orphelin [... ] ; [On joint : ] 1 L.A.S. d'une page
Très intéressante lettre autographe signée dans laquelle l'écrivain et librettiste Paul Ferrier (1843-1920) évoque sa collaboration avec Fabrice Carré, sa jeunesse d'avocat (et sa robe jetée aux orties pour une moustache !), et évoque la soprano Emilie Mily-Meyer qui tient le premier rôle dans leur dernière oeuvre.
