ROBERT MOREL. 1968. In-12. Cartonné. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 175 pages.. . . . Classification Dewey : 800-LITTERATURE (BELLES-LETTRES)
Reference : R200013997
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22 juillet 1970 | 14.60 x 10.10 cm | une feuille
Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuirChypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «maison Tartès», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante "Jany" (Janine Brun), montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «Buttons» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «Buttons», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes sur un menu de restaurant et à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs. Sa correspondance reste inédite et inc Carte postale autographe inédite signée de Lawrence Durrell à sa jeune amante française à Janine Brun, prénommée "Buttons". 15 lignes à l'encre noire, signées "Larry". Lacarte porte au verso une photographie en noir et blanc du village de Sommières, coloriée par Durrell de couleurs vives. "Je passe tout mon temps dans la région de Fleurac avec des clochards" (ligne 5) La carte fut envoyée à une jeune amante de l'auteur,qui, àSommières comme à Paris, égaya ses journées solitaires à la fin des années soixante et soixante-dix. Janine Brun, aussi surnommée "Buttons" dans les lettres et cartes postales de l'écrivain, fut ainsi décrite par le biographe de Durrell Ian McNiven : "She was almost thirty but she looked much younger, with a girl's small-breasted figure, as dark-haired as Claude Kiefer was blonde, and not languorous but tremendously energetic" (" Elle avait presque trente ans mais avait l'air bien plus jeune, avec une silhouette de jeune fille aux seins menus, aussi brune que Claude Kiefer [une autre de ses amantes, femme d'un chirurgien suisse] était blonde, pas tant langoureuse qu'extrêmement énergique", (Lawrence Durrell: A Biography, page 591). Durrell adresse cette carte multicolore depuisle tournage d'une série d'interviews organisée dans le Midi : "mais ce vilain temps nous a déjà coûté une semaine de tournage. Tout le monde furieux - et le [sic] météo Encore pessemiste [sic] ! Quoi faire ?". L'écrivaindécrit ses innombrables conquêtes féminines à sa jeune amante: "Je rode un peu avec Diane Deriaz qui joue dans le film et apport[sic] tout les considérations possible [sic] dans les circonstances avec Margaret McCall." Il avait rencontré l'acrobate Diane Deriaz dans l'avion deux ans auparavant,et entretenait une relation houleuseavec Margaret McCall, productrice de la BBC, qui tourna plusieurs documentaires sur lui et la vie deRobert Graves etGraham Sutherland entres autres. La relation de Jani/Buttons avec l'écrivain se prolongea jusqu'à la fin des années 1970, la jeune fille apparaissant à l'occasion dans les oeuvres de Durrell (et notamment le poème« Vaumort»,Collected Poems: 1931-1974) et dans la fameuse correspondance de l'écrivain avec Henry Miller : "that little demon Buttons [...] turned
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29 mai [1866] | 10.40 x 13.20 cm | une page sur un bifeuillet
Lettre autographe signée d'Alexandre Dumas à son amante Marie Richon, dont le nom figure en partie inférieure du feuillet. 12 lignes sur une page d'un bifeuillet. Retranscrite par la Société des Amis d'Alexandre Dumas, dans le cadre de l'exposition "Dumas et les femmes" au château de Monte-Cristo. « Ma chère petite Religieuse, Je suis parti sans te dire adieu et je me suis plus d'une fois reproché ce crime, mais comment aurais-je pu partir après une nuit passée avec toi. Tu sais bien que c'eût été chose impossible. Je t'écris ce mot pour te donner de mes nouvelles, te dire que je t'aime et que je te baise sur toutes les coutures. Fais-moi de bons vers pour mon retour. A toi » On ne sait rien de cette liaison avec Marie Richon, seulement connue grâce à de rares billets enflammés de l'écrivain adresss à cette amante de toute évidence sensible aux belles-lettres («Fais-moi de bons vers pour mon retour », lui réclame-t-il ici). Actrice, femme du monde ou de savoir, le mystère reste entier autour de ce personnage qui inspire chez l'insatiable Dumas une correspondance torride.Il donnait notamment rendez-vous à sa conquête en son domicile du 107 Boulevard Haussmann, où il s'était installé à partir de 1865. Une phrase de Dumas sur un autre billet nous apprend qu'elle rencontra même la fille de Dumas, qui vivait avec son père et subissait les visites de ses amantes («elle t'adore - ou plutôt nous t'adorons» lui écrira-t-il). On peut situer cette missive probablement dans le courant de l'année 1866, alors que l'écrivain adapte au théâtre son roman Gabriel Lambert et mentionne dans une lettre une lecture de la pièce, créée à l'Ambigu-Comique le 16 mars 1866.Les dernières années de sa vie ne démentent pas son incommensurable amour des femmes; durant cette période riche en aventures, il partageait également ses nuits avec la féministe et gérontophile Olympe Audouard, ainsi que la fameuse Adah Isaacs Menken, dont les portraits aux côtés de l'écrivain furent divulgués par leur indiscret photographe. Précieuse et ardente missive du grand écrivain, en proie à la plus vive passion pour cette amante encore inconnue des biographes. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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lundi soir [1866 ?] | 13.30 x 20.90 cm | une page sur un bifeuillet
Lettre autographe signée d'Alexandre Dumas à son amante Marie Richon. 6 lignes sur une page d'un bifeuillet de papier vergé, aux initiales couronnées de l'écrivain. « Chère amoi [sic] Ton ami arrivé moulu brisé de deux nuits de voitures et de chemins de fer. Il t'attend demain soir mardi. Oh ce sera avec grand bonheur qu'il s'assurera que toutes choses sont dans l'état où il les a laissées a toi» On ne sait rien de cette liaison avec Marie Richon, adressés à cette amante de toute évidence sensible aux belles-lettres («Fais-moi de bons vers pour mon retour », lui réclame-t-il dans un autre billet). Actrice, femme du monde ou de savoir, le mystère reste entier autour de ce personnage qui inspire chez l'insatiable Dumas une correspondance torride. Il donnait notamment rendez-vous à sa mystérieuse conquête à son domicile Boulevard Haussmann, où il s'était installé à partir de 1865. Une phrase de Dumas sur un autre billet nous apprend qu'elle rencontra même la fille de Dumas, qui vivait avec son père et subissait les visites de ses amantes («elle t'adore - ou plutôt nous t'adorons» lui écrira-t-il). On peut situer cette missive probablement dans le courant de l'année 1866, alors que l'écrivain prépare l'adaptation théâtrale de son romanGabriel Lambertet mentionne dans une lettre une lecture de la pièce, créée à l'Ambigu-Comique le 16 mars 1866.Les dernières années de sa vie ne démentent pas son incommensurable amour des femmes; durant cette période riche en aventures, il partageait également ses nuits avec la féministe et gérontophile Olympe Audouard, ainsi que la fameuse Adah Isaacs Menken, dont les portraits aux côtés de l'écrivain furent divulgués par leur indiscret photographe. Esthétique billet rempli d'anticipation, de la main du grand écrivain et adressé à une mystérieuse amante encore inconnue des biographes. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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s. d. [1866 ?] | 8.60 x 11.10 cm | une page sur un bifeuillet
Lettre autographe signée probablement inédite d'Alexandre Dumas à son amante Marie Richon. 13 lignes sur deux pages d'un bifeuillet. Trace de pli horizontale inhérente à l'envoi. « Mon amour chéri Penses tu à moi Veux tu me garder ta soirée de demain [...]nous irons au spectacle en tous cas viens en arlaisienne [sic] Je t'écrirai demain, pour te redire que je t'aime. Ma fillea été on ne peut plus touchée de ton explosion vis à vis d'elle. Elle t'adore - ou plutôt nous t'adorons Aime moi» On ne sait rien de cette liaison avec Marie Richon, seulement connue grâce à de rares billets enflammés de l'écrivain adressés à cette amante de toute évidence sensible aux belles-lettres («Fais-moi de bons vers pour mon retour », lui réclame-t-il ici). Actrice, femme du monde ou de savoir, le mystère reste entier autour de ce personnage qui inspire chez l'insatiable Dumas une correspondance torride. Il donnait notamment rendez-vous à sa mystérieuse conquête à son domicile Boulevard Haussmann, où il s'était installé à partir de 1865. Une phrase de Dumas sur cette missive nous apprend qu'elle rencontra même la fille de Dumas, qui vivait avec son père et subissait les visites de ses amantes («Ma fillea été on ne peut plus touchée de ton explosion vis à vis d'elle.Elle t'adore - ou plutôt nous t'adorons» écrit-t-il ici). On peut situer cette missive probablement dans le courant de l'année 1866, alors que l'écrivain prépare l'adaptation théâtrale de son romanGabriel Lambertet mentionne dans une autre lettre une lecture de la pièce à l'Ambigu-Comique, le théâtre où elle est créée le 16 mars 1866.Les dernières années de la vie de Dumas ne démentent pas son incommensurable amour des femmes; durant cette période riche en aventures, il partageait également ses nuits avec la féministe et gérontophile Olympe Audouard, ainsi que la fameuse Adah Isaacs Menken, dont les portraits aux côtés de l'écrivain furent divulgués par leur indiscret photographe. Esthétique et débordante déclaration d'amour du grand écrivain, adressée à une mystérieuse amante encore inconnue des biographes. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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M.J.Minard. 1966. In-24. Broché. Etat d'usage, Coins frottés, Dos satisfaisant, Papier jauni. 87 pages - texte en espagnol avec la traduction française en regard.. . . . Classification Dewey : 860-Littératures espagnole et portugaise
Collection Passeport n°14 - introduction de François Séguret - traduction de Claudine Fitte. Classification Dewey : 860-Littératures espagnole et portugaise